Extensions des droits des minorités, promotion de nouveaux standards sexuels, wokisme et combat contre les cultures indigènes, égalitarisme sans frontières… les idées « progressistes » ne cessent de gagner du terrain, en France en particulier. Comment en est-on arrivé là ? Le progressisme ne s’est pas imposé par sa seule puissance. Il a été financé et l’est encore de manière exponentielle. De nombreuses personnes ont pour métier de diffuser ces idées. Cela coûte des milliards d’euros. Tout le monde sait qu’il existe des associations subventionnées qui se mêlent de politique. Mais personne ne sait combien d’argent et d’emplois tout cela représente. Et personne n’a regardé quels circuits ont été mis en place. Avec leur ouvrage « Le vrai coût du progressisme », les journalistes Wandrille de Guerpel et Emmanuel Rechberg ont passé deux ans à éplucher les comptes de dizaines d’entreprises, associations, commissions étatiques, instances de villes et de régions. Le résultat est sidérant !
Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec