J’ai du mal à comprendre pourquoi Israël s’occupe tant que ça de Gaza.
Une histoire d’obscures frontières à récupérer ? mais pourquoi ?
Tout le monde est prêt pour le gouvernement mondial, les pays occidentaux sont alignés, ya plus qu’à signer, quel est l’enjeu que cette petite bande de terre soit soumise d’abord à Israël avant de l’être par le NOM ? Quel est l’enjeu de risquer de perdre ses alliés maintenant ?
Est-ce que c’est vraiment important pour Netanyahou (qui n’aime pas les juifs orthodoxes trop branchés sur le Livre) de satisfaire à cette exigence du texte auquel l’oligarchie juive n’a pas tellement l’air de croire (ils traînent dans trop de causes sordides pour qu’on puisse prendre leur lien judaïque au sérieux : LGBT, transhumanisme..).
Franchement, je ne comprends pas ce grand théâtre, on dirait presque que c’est les juifs eux-mêmes qui le ressuscitent à chaque fois, au cas où on risquerait de l’oublier. Moi je n’ai pas oublié que le peuple juif a servi plusieurs fois de laboratoire à leurs élites, selon la formule de P. Hillard (ils ont fait du peuple juif leur propre messie), le dernier exemple en date étant l’affreuse dictature sanitaire, particulièrement féroce en Israël.
Est-ce qu’Israël, en se rêvant la matrice du futur NOM, ne se sert pas d’elle-même pour le faire advenir ? Leurs massacres sont systématiquement couverts en mondiovision, des types s’auto-immolent à l’autre bout du monde, toutes les facs de l’occident prennent parti, personne n’échappe à ce conflit, volontairement hystérisé, comme pour obliger nos regards sur un scenario, un nouveau « plus jamais ça » justifiant la mise en place d’un embryon de gouvernement mondial dans ce petit coin oriental, où tout semble plus bouillant qu’ailleurs.
Souvenez-vous d’Attali critiquant Netanyahou, certains pensaient que les extravagances de Bibi gênaient la cause Attalienne, plus feutrée, plus « civilisée », mais ne serait-ce pas la manière de notre prophète national de préparer/avertir ses compères qu’un compte à rebours est lancé, et qu’il est tend d’ouvrir le prochain chapitre, non pas du sionisme (notion dépassée, et laissée aux gauchistes d’après Cerise), mais du NOM, à la faveur d’une indignation généralisée et largement provoquée ? (« après la guerre »…)
Est-ce que le sionisme (création d’un territoire d’émigration pour les juifs d’Europe) est encore un enjeu, un combat actuel ? n’est-on pas bcp plus avancé sur le programme, et n’est-il pas juste qu’une couverture désormais ?
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation