Pour, par et avec les citoyens !
Les principes fondamentaux du RDH se positionnent sur le préambule de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme du 10 décembre 1948, à savoir :
« Considérant que la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénables constitue le fondement de la liberté, de la justice et d la paix dans le monde.
Considérant que la méconnaissance et le mépris des droits de l’homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l’humanité et que l’avènement d’un monde où les êtres humains seront libres de parler et de croire, libérés de la terreur et de la misère, a été proclamé comme la plus haute aspiration de l’homme.
Considérant qu’il est essentiel que les droits de l’homme soient protégés par un régime de droit pour que l’homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l’oppression.
Considérant qu’il est essentiel d’encourager le développement de relations amicales entre nations.
Considérant que dans la Charte les peuples des Nations Unies ont proclamé à nouveau leur foi dans les droits fondamentaux de l’homme, dans la dignité et la valeur de la personne humaine, dans l’égalité des droits des hommes et des femmes, et qu’ils se sont déclarés résolus à favoriser le progrès social et à instaurer de meilleures conditions de vie dns une liberté plus grande.
Considérant que les Etats Membres se sont engagés à assurer, en coopération avec l’Organisation des Nations Unies, le respect universel et effectif des droits de l’homme et des libertés fondamentales.
Considérant qu’une conception commune de ces droits et libertés est de la plus haute importance pour remplir pleinement cet engagement.
L’Assemblée générale proclame la présente Déclaration universelle des droits de l’homme comme l’idéal commun à atteindre par tous les peuples et toutes les nations afin que tous les individus et tous les organes de la société, ayant cette Déclaration constamment à l’esprit, s’efforcent, par l’enseignement et l’éducation, de développer le respect de ces droits et libertés et d’en assurer, par des mesures progressives d’ordre national et international, la reconnaissance et l’application universelles et effectives, tant parmi les populations des Etats Membres eux-mêmes que parmi celles des territoires placés sous leur juridiction. »
Biographie
Philippe Argillier a été élevé dans une famille très influente de la Côte d’Azur.
Son grand-père maternel, qui était Corse, et avec lequel il était très proche, était un héros de la résistance durant la deuxième guerre mondiale. Il a sauvé de très nombreuses familles juives. Commissaire de police à Nice, il recevait de la Gestapo les noms des personnes qui devaient être déportées dans les camps de concentration. Au péril de sa vie, il les prévenait ou parfois les cachait. Philippe était aussi très proche de sa grand-mère maternelle. Il n’a jamais connu ses grands-parents paternels.
Son père, le Commandant Argillier a joué un rôle très important durant la seconde guerre mondiale au Liban et en Syrie, où il a été chargé de régler les conflits entre les tribus bédouines. Patriote émérite, il fut l’un des premiers, et le plus jeune lieutenant à se rallier à l’appel du 18 Juin 1940 du Général de Gaulle. Pour sa brillante carrière militaire, il a reçu de très nombreuses distinctions : Croix de guerre des TOE avec palme, Croix du combattant volontaire de la Résistance, Croix du combattant, Médaille de la France Libre, Officier de la légion d’Honneur. Pendant plus de 20 ans, il a présidé l’association des Forces Françaises Libres des Alpes Maritimes.
De 1979 à 1989, son père, au côté de Jacques Medecin, député maire de la ville de Nice, est nommé Adjoint au maire chargé des anciens combattants et victimes de guerre. Parallèlement à ses activités d’Adjoint au maire, il participe à l’expansion de la ville de Nice. C’est à cette époque que Philippe développe une grande amitié avec Monsieur Medecin qui devient son parrain officieux. Monsieur Medecin avait été impressionné par les talents de jeune entrepreneur de Philippe, qui à l’âge de 16 ans, était déjà l’initiateur de deux clubs de Karaté à Nice.
Philippe avait découvert une passion pour les arts martiaux où il obtient sa ceinture noire. Il pratique le Karate Shotokan. Son maître, Sensei Taiji Kase.
“Lors de l’un de mes entrainements aux Etats Unis. Cette position se nomme Kiba-dachi. Elle est la position de base du Karate Shotokan que je pratique depuis l’âge de 16 ans.”
C’est aussi à cette époque que sa mère lui apprend à tenir son premier compte bancaire. Elle est très présente auprès de son mari, et gère les affaires de famille ainsi que l’entièreté du parc immobilier leur appartenant. Philippe a été très proche de sa nounou qui travaille toujours pour la famille. Elle s’occupe aujourd’hui des jardins de l’une de ses propriétés. Philippe a une grande sœur qui vit à l’étranger.
A l’âge de 19 ans en 1978, il rejoint l’armée de terre pour un an à Marseille dans le train des équipages où il arrive premier de sa promotion dans un programme national de défense spéciale. Il obtient les honneurs militaires des mains de son colonel.
En 1981, il organise la vente de plusieurs biens immobiliers qui appartiennent au patrimoine de sa famille. C’est aussi en 1981, à l’arrivée au pouvoir de François Mitterrand, que Monsieur Medecin lui conseille de le rejoindre à Los Angeles où il vit une partie de l’année. Voulant poursuivre ses études, Philippe s’inscrit à UCLA dans un programme intensif pour perfectionner son anglais où il termine premier de sa promotion.
En 1982, Philippe obtient le poste de directeur de la sécurité du Palace de Los Angeles (Hollywood and Vine). Après le Studio 54 de New York, qui connut son apogée durant une trentaine de mois, entre 1977 et 1980, le Palace devient l’établissement le plus connu des États Unis. En tant que directeur de la sécurité, il forme et dirige une équipe de 20 personnes.
En 1983, il obtient le poste de directeur général des trois restaurants Moustache Café où il démissionnera au bout de quelques mois. Philippe avait une toute autre ambition, celle de s’établir en tant que self-made.
En 1983, il Fonde ARGILLIER CORPORATION.
En 1984, Il sort une ligne de vêtements ciblée pour les jeux olympiques de Los Angeles. Il l’appelle Philippe Charles International (PCI).
C’est aussi à cette époque qu’il se passionne pour les trois grandes réalisations à venir de la ville de Nice : Le Palais des Congrès, inauguré le 31 Mars 1984, qui deviendra le numéro deux en France des plus reconnus « convention centers » après Paris.
L’aéroport T2 inauguré le 22 Mai 1987, qui deviendra l’un des plus importants aéroports de France. L’Arénas inauguré le 14 Février 1990, qui deviendra le premier centre d’affaires de la Côte d’Azur regroupant 350 compagnies et employant plus de 7000 personnes. A titre bénévole, il propose à Monsieur Medecin ses services de conseiller quant à la création de ces trois projets. Ils se voient fréquemment à Los Angeles où ils échangent leur vision pour leur ville. Grâce à cette collaboration, Philippe apprend comment les montages de projets d’une telle envergure se font et se positionnent au sein d’une municipalité. Cet apprentissage lui servira plusieurs années plus tard quand il s’affairera à un niveau gouvernemental.
En 1991, Philippe monte une maison d’édition ainsi qu’une maison de production en partenariat financier avec BMG ARIOLA Belgique.
Il décide aussi d’investir dans le domaine d’HORECA.
En 1992, il est à la tête de plusieurs restaurants. Il est aussi à la tête de plusieurs établissements de nuit dont l’Empire, la plus grande boite de nuit gay de Belgique, qu’il gardera qu’une année pour la céder fin 1992.
Il vit à Paris face au 55 rue du Faubourg Saint Honoré. Sa vue depuis sa chambre n’est autre que la cour de l’Elysée. Il se passionne alors dans les structures opérationnelles qui développent et supervisent le montage de sociétés offshores.
De 1994 à 1999, il retourne vivre aux Etats Unis où il décide d’investir dans plusieurs maisons de production cinématographiques en rachetant la majorité de leur stock, ce qui l’amène au marché de la bourse.
Il a une idée, celle de racheter les grosses entreprises au bord de la faillite pour les revendre à des multinationales. Il fut l’un des pionniers à créer en bourse un marché virtuel d’offre et de demande.
Son père décède le 27 Juillet 1999. Après un évènement dramatique qu’il vécut avec son épouse, le 14 décembre 1999, il décide de retourner vivre sur la Côte d’Azur pour faire un retour aux sources.
« Lors du tournage du clip My Baby. En 1991, j’avais monté une maison d’édition ainsi qu’une maison de production en Belgique. Suite à la signature d’un contrat de plusieurs albums, pour ma petite amie qui devint mon épouse par après, je décide de financer en partenariat avec BMG ARIOLA le clip My Baby. Je décide aussi de jouer le rôle du “mauvais garçon” qui tombe amoureux de cette fille très glamour. Ce cliché a été pris suite au tournage de la scène garage.»
Fin 2000, ses bureaux lui font savoir qu’un diplomate d’un pays souverain africain voudrait le rencontrer. Il accepte, et c’est à Monaco, à l’hôtel de Paris qu’ils se retrouvent. Le diplomate en question lui fait savoir que son Président avait été très impressionné pars son parcours professionnel, et à ce titre, lui proposait de devenir son conseiller privé pour structurer l’expansion économique qu’il voulait réaliser dans son pays. En effet, l’un des amis de ce Président n’était autre que l’un des partenaires financiers de Philippe qui avait fait fortune grâce aux investissements financiers que Philippe lui avait conseillés.
De 2001 à 2015, Philippe obtient de plusieurs pays des contrats de consultant concernant des projets d’état dans le tourisme, dans la télécommunication, dans l’énergie et dans la gestion d’actifs. Il devient aussi le conseiller privé de plusieurs Présidents. C’est ainsi, qu’il se positionne comme étant l’homme le plus écouté et le plus respecté dans ce domaine d’activité. On réfère à lui comme étant « l’homme de l’ombre ». Tous ses travaux de consultant feront l’objet de la plus grande confidentialité.
Pendant 15 ans, il opère au travers des systèmes qu’il met en place pour l’économie de plusieurs de ses pays. Plusieurs réseaux d’informations vont être créés à cette époque.
La fortune de Philippe Argillier s’élèverait à plusieurs milliards d’euros. Selon les informations obtenues, cette dernière serait sous forme de créances qu’il n’aurait jusqu’à présent jamais encaissé. Plusieurs états souverains africains, ayant des relations privilégiées avec la Chine, lui seraient redevables.
C’est aussi durant cette période, qu’il décide de s’impliquer dans des causes humanitaires. Il fait alors face à la cruelle réalité dont il avait déjà pris conscience que les causes humanitaires sont loin d’être la priorité de nos gouvernants. Cette réalité l’a frappé de plein fouet, quand il décida le 11 décembre 2006 de financer une cellule d’accueil pour les enfants victimes ou suspects de maltraitance à L’hôpital de l’Archet, CHU de Nice.
Le responsable du service de pédiatrie lui avait présenté un dossier concernant l’accueil des enfants victimes ou suspects de maltraitance. Il cherchait des fonds. Apparemment un dossier avait été présenté au Conseil Général des Alpes Maritimes ainsi qu’à la Mairie de Nice, malheureusement sans aucune suite favorable quant au financement de ce projet. Choqué par cette indifférence, et décidé à faire prendre conscience à ces institutions de la grossière erreur qu’ils faisaient de ne pas prendre en compte la maltraitance de nos enfants, il décide de financer un tiers du montant total du budget, à la condition que le Conseil Général des Alpes Maritimes, ainsi que la Mairie de Nice, s’associent pour un même montant à la création d’une telle cellule. En voulant financer un tiers du montant total du budget, Philippe voulait mettre une pression sur ces institutions publiques en les poussant à financer avec lui cette cellule, mais en vain !
Pour Philippe, œuvrer pour les enfants les plus défavorisés est une priorité absolue et non négociable car comme il dit, « tous les enfants sont tous, sans exception, un peu les nôtres. Il suffit tout simplement de regarder un enfant droit dans ses yeux pour comprendre qu’il existe un monde merveilleux à découvrir à travers lui. Ce sont ces enfants qui détiennent la sagesse et l’amour absolu, l’amour sans condition et c’est à nous adultes de trouver l’humilité et d’accepter que tous ces enfants sont bien là pour nous guider et nous apporter la paix ». Philippe insiste que nous devons tout faire pour préserver cette innocence que les enfants ont, car c’est eux qui forgeront, avec notre soutien, l’avenir de notre société.
Afin de mettre en place cette cellule avec les autorités compétentes impliquées dans de telles affaires, à savoir la police et le système judicaire aussi, Philippe propose d’organiser une rencontre avec Monsieur Christian Estrosi, Président du Conseil Général des Alpes Maritimes, à l’époque aussi Ministre délégué à l’Aménagement du territoire, avec Maître Jacques Peyrat, Sénateur Maire de la ville de Nice, avec Monsieur Pierre Marie Bourniquel, Directeur Départemental de la Sécurité Publique des Alpes-Maritimes, avec Eric de Montgolfier, Procureur de la République, et avec Monsieur Jean-Jacques Romatet, Directeur Général de l’hôpital de l’Archet, CHU de Nice, pour établir les termes et les conditions d’une telle association. Aucune de ces personnes n’ont eu la délicatesse de répondre à son invitation.
Maître Peyrat, lui avait fait parvenir un courrier indiquant que sa proposition avait été transmise au service en charge. Monsieur Romatet, sous la pression de Monsieur Xavier Bertrand, Ministre de la santé et des solidarités, lui avait écrit un courrier indiquant qu’il était prêt à poursuivre le projet, mais malheureusement, sans l’appui des autorités, rien ne pourrait se faire.
Choqué par l’indifférence des autorités en place, Philippe décidait d’informer Monsieur Nicolas Sarkozy, Ministre d’État, Ministre de l’Intérieur et de l’aménagement du territoire, Monsieur Pascal Clément, Garde des Sceaux, Ministre de la justice, Monsieur Xavier Bertrand, Madame Bernadette Chirac.
Suite à ce refus de coopération, Philippe finance un projet humanitaire dont il est le seul à l’avoir pensé et structuré. Ce concept unique au monde fait appel à l’usage de carte de débit, de carte crédit, pour tout paiement, tout en contribuant, sans coût supplémentaire, et en toute transparence, à des causes humanitaires choisies par le porteur de la carte.
Très impliqué dans de nombreuses fondations et associations caritatives, il choisit la discrétion quant à son identité et aux sommes qu’il alloue.
De Janvier 2014 à fin Novembre 2018, il prépare son entrée médiatique en France prévue pour Octobre 2019, mais suite aux évènements du 17 novembre 2018, il décide de reporter d’un mois son lancement médiatique pour s’aligner à cette première date d’anniversaire du 17 novembre 2019.
Jusqu’au 6 Décembre 2018, son nom et son image sont restés totalement méconnus des médias ou si peu. Entre autres, un article datant du 15 Septembre 1992 révélant l’Empire, et un article du 18 Novembre 2008. Il avait alors accepté de se faire photographier pour le lancement d’une fondation humanitaire qui appartient à l’un de ses amis, Apl.de.Ap du groupe musical des Black Eyed Peas. La presse avait fait référence à Philippe en tant que « business mogul ».
Philippe a écrit une autobiographie s’intitulant « Le Créancier ». Il ne l’a pas encore publié. Dans son autobiographie, vous découvrez comment fonctionne « le mécanisme des activités gouvernementales ».
Entre autres, vous apprenez aussi qu’il avait rencontré Son Holiness le Dalaï Lama. Avec l’appui de son premier ministre Samdhong Rinpoche, il lui avait élaboré les différentes étapes politiques et diplomatiques pour lui faciliter son retour au Tibet, mais la contre-attaque du gouvernement américain fit plier son Holiness. Dans un autre registre, vous découvrez l’amitié très proche qu’il a eu avec Michael Jackson qu’il a connu avec regret trop tard en 2008. Il était devenu son ami et son proche confident. Vous apprenez ce qu’il s’est vraiment passé en 2009. A ce jour, il est le seul à connaitre cette vérité.
“Lors d’une soirée privée avec mon épouse et mes deux enfants à mon domicile de Beverly Hills. A ma droite Marla Maples, l’ex épouse de Donald Trump. A ma gauche, Samdhong Rinpoché, Président du parlement tibétain auprès du Dalaï Lama, Deepak Chopra, conférencier et écrivain indo-américain, son fils, et le Révérend Michael Beckwith, fondateur d’AGAPE INTERNATIONAL SPIRITUAL CENTER.”
« Michael Jackson m’avait contacté pour participer à un programme humanitaire que j’avais élaboré et qui se consacrait aux enfants les plus démunis de notre planète. J’avais fait part à Michael de mon intention de racheter neverland pour que l’on puisse sa famille et la mienne, y vivre pour se préparer à ce dit programme. Neverland avait été racheté par Thomas Barrack, investisseur américain que j’avais d’ailleurs invité dans ma résidence de Beverly Hills pour faire sa connaissance. Sur ce cliché, je suis avec Marlon Jackson à Neverland après la mort de Michael ».
« Après le one man show, “the undisputed truth”, de Mike Tyson à Monaco sur la scène de la salle des étoiles, le jeudi 09/10/2014, nous nous retrouvons entre amis dans sa suite de l’hôtel Hermitage ».
Aujourd’hui, au travers du RDH, Rassemblement des Droits de l’Homme, et au travers du HRU, Human Rights Unity, Philippe s’engage à permettre au peuple de vivre dans un monde équitable. Depuis le 14 Décembre 1999, il s’était juré de se donner les moyens pour un jour prendre une revanche sur la vie en rendant accessible à toutes et à tous une justice humanitaire. A partir de 2014, il possède les éléments pour le faire.
La naissance de ses deux filles n’a fait que renforcer ses convictions.
C’est pour cette raison, qu’après quinze années passées à conseiller plusieurs chefs d’état à gérer l’économie de leurs pays, que Philippe a décidé de sortir de l’anonymat, et de mettre son expertise d’état à la disposition de son pays, la France.
Cinq facteurs l’ont poussé à prendre cette décision :
– Le premier a été motivé par la promesse qu’il s’est faite de rendre une justice sociale, financière, économique, diplomatique, et humanitaire à son pays la France, et à l’humanité.
– Le deuxième facteur a été motivé par sa conscience. En effet, il ne pouvait plus continuer à faciliter ce qu’il fait référence à l’exercice d’état, tout en gardant son intégrité. Trop de gouvernement maintiennent un niveau élevé d’opacité de leurs activités. Le fardeau d’information qu’il porte sur ses épaules est aujourd’hui un cadeau pour notre pays, pour notre humanité.
– Le troisième facteur a été motivé par son engagement pour la protection de l’environnement.
– Le quatrième facteur a été motivé par le séisme que notre pays a vécu durant ces dernières élections présidentielles. Philippe précise: “qu’on ne se dit pas être un homme d’état, on l’est. On n’essaie pas de diriger un pays, on le dirige. On ne promet pas des réformes, on les applique. On ne parle pas au nom de la France, on est la voix de la France.”
– Le cinquième facteur a été motivé par l’engagement qu’il s’est fait de donner aux françaises et aux français ce que les françaises et les français ont donné à la France.
Dans une transparence totale, il donne à son pays les moyens de remplir pleinement ses fonctions d’un pays d’élite où le droit de vérité est acquis.
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