Témoignage d’un jeune papa : Justin
Bonjour à tous,
J’aimerai vous apporter mon témoignage en tant que jeune papa. J’ai une fille de 2 mois, et je fais partie des parents qui sont inquiets face à cette obligation vaccinale.
Lors de l’examen médical des 1 mois du bébé, le médecin traitant a prescrit pour mon enfant les vaccins Hexyon et Prevenar13 sans dire un mot ni explication, et ajoute qu’on est en retard sur le suivi de notre fille. Par curiosité, je demande s’il y a des examens préalables à faire en cas de réaction allergique ? Il me dit qu’il n’y en a pas.
Après la consultation, dans le doute, je vais regarder en détail les vaccins qu’on a prescrit à ma fille. Je vais sur le site mesvaccins.net, et je consulte les données.
En lisant la notice du vaccin Hexyon, Je vois dans la section « Mise en Garde et précautions d’emploi » que la vaccination doit être précédée d’une recherche d’antécédents médicaux ou allergie, et qu’elle doit être faite par un professionnel de la santé, ce qui n’a pas été le cas pendant la consultation avec mon médecin. Puis je tombe sur les effets indésirables qui vont de la fièvre aux convulsions, en passant par le risque potentiel que le nourrisson développe le syndrome de Guillain barré. Ces échelles de risques sont classées par catégorie et vont du plus fréquent au plus rare.
Pour le vaccin Prevenar13, les risques sont quasiment similaires.
A la suite de ces lectures, je ne savais pas ce qui était le pire : les risques causés par les vaccins, ou les maladies infantiles ?
En continuant mes recherches, mon inquiétude s’agrandissait de plus en plus, l’Agence National de la Sécurité des Médicament a classé les virus contenus dans les vaccins pour nourrisson comme des substances vénéneuses de classe I en 2023. Je vous invite à lire sa définition dans l’article L5132-6 du Code de la santé publique car la quasi-totalité des vaccins, soit 9 des 11 virus injectés dans le corps d’un bébé, sont classés comme étant les plus risqués pour la santé. J’ai compté une vingtaine d’injection, soit 29 valences avant les 18 mois de l’enfant. J’ai également lu des ouvrages pour approfondir le sujet de la vaccination et des maladies infantiles comme ceux du Dr de Lorgeril par exemple.
Aujourd’hui, je suis dubitatif au sujet de la vaccination. Je veux bien qu’on stimule le système immunitaire de ma fille pour qu’elle soit en bonne santé, mais avec des vrais vaccins préventifs et « sans produits toxiques pour la santé ». Qu’on ne me dise pas que les vaccins actuels sont sans risque car les adjuvants et excipients utilisés disent le contraire, comme les sels d’aluminium et le polysorbate 80, et surtout de la part des adultes qui n’ont pas reçu une vingtaine d’injection avant leur 18 mois car c’est incomparable avec la génération après 2018. J’ai l’impression que le sujet du vaccin est comparable à une religion, où il est impossible à le remettre en question.
Pour finir mon témoignage en tant que Père, j’ai décidé de protéger ma fille en repoussant au maximum les vaccins, en suivant les examens médicaux obligatoires, et en évitant de la mettre en collectivité. J’invite donc chacun d’entre vous à faire vos propres recherches sur les vaccins car nous, parent d’après la loi vaccinale de 2018, on est les responsables de l’exécution des 11 vaccins, mais on est aussi les 1er à subir les conséquences post-vaccinales en cas où cela se passe mal, et ça, on ne nous le dit pas car d’après certains médecins, les évènements indésirables sont le résultat du « manque de chance ».
Merci d’avoir lu mon témoignage.
Une belge vient de nous écrire et termine sa lettre par ceci, qui nous a beaucoup plu
Il y a toujours une nouvelle chance, elle s’appelle demain.
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