Barbouzerie du 10 avril 2024
Il y a trois semaines, nous relations l’arrestation musclée par les gendarmes du ministre des Finances en exercice. Résultat : 3 côtes fêlées, une hospitalisation et 3 mois d’ITT. Cette arrestation fait suite à plusieurs mois de harcèlement par les gendarmes sur cet honnête commerçant Savoisien, le privant progressivement de son outil de travail.
Le 10 avril 2024, Thierry Becourt, Président de l’État de Savoie se rend en délégation avec quatre de ses ministres à la Préfecture de Chambéry et au Palais de Justice afin d’y remettre officiellement des documents.
Le passage à la Préfecture se passe de manière plutôt conviviale. Le responsable sécurité de cette administration rend même hommage à l’indépendance de la Savoie.
C’est sans compter sur le préfet, tapis dans son bureau, qui provoque une intervention de la police de Chambéry prétextant une incursion agressive de la délégation Savoisienne. Nous voilà avec 17 policiers qui procèdent à un contrôle d’identité sur la voie publique. Fin du premier épisode…
Notre délégation se rend au restaurant avant d’aller apporter des documents officiels à la Cour d’Appel.
C’est dans le restaurant, qu’une meute de 20 policiers procède à l’arrestation violente du Président de Savoie et des quatre ministres l’accompagnant. Mains dans le dos, menottés, ils sont extraits du restaurant sous les yeux ébahis de 70 clients pour être conduits à l’hôtel de police.
Placés en garde à vue, ils sont interrogés verbalement, à l’exception du ministre de l’Intérieur qui est auditionné officiellement. Ils sont mis en cellule.
A 17 H 00, le procureur de la République, informé de cette arrestation arbitraire, ordonne à la Police de libérer immédiatement tous les membres de cette délégation sans formalisme et surtout sans les auditionner.
Trop tard, Georges De Almeida, le ministre de l’Intérieur de l’État de Savoie, a été auditionné. Qu’à cela ne tienne, le procureur mentionne qu’il ne doit être, en aucun cas, fait état de cette audition et que ce document ne pourra être consulté avant un an. Une nouvelle bizarrerie de la Macronie…
Au delà des plaintes pour coups et blessures volontaires, arrestation et séquestration arbitraire qui vont enrichir le dossier juridique international des barbouzeries de la Junte Macroniste, il est intéressant de constater la dichotomie entre le droit administratif et le droit judiciaire.
En effet, la République Française a doté l’Autorité Préfectorale de pouvoirs exorbitants du droit commun, lui permettant d’utiliser à sa guise et à des fins politiques la force publique. Heureusement, le pouvoir judiciaire peut et doit fixer des limites à ces prérogatives administratives.
Le procureur de la République a mis fin à des infractions graves en sommant la Police de faire cesser les infractions susmentionnées, confortant ainsi le gouvernement légitime de l’État de Savoie depuis la déclaration d’indépendance du 27 octobre 2023.
COMMUNIQUÉ DE PRESSE du 14 avril 2024
Arrestation avec violences et séquestration arbitraire
du Président du Gouvernement de l’Etat de Savoie et de quatre ministres en exercice.
« Quand le procureur de la République veut « réparer » l’agression injustifiée commanditée par le préfet de Savoie. »
Non contente d’avoir brisé une vertèbre de notre Ministre des Finances, le 16 mars 2024, la police aux ordres de la Préfecture de Chambéry réitère ses actions de despotisme envers les représentants de Savoie trois semaines plus tard.
Ce mercredi 10 avril 2024 à 12H30, une vingtaine de policiers ont fait irruption dans le restaurant du Musée des Beaux-Arts, face à la Cour d’Appel de Chambéry, devant plus de 60 convives abasourdis, pour procéder à l’arrestation musclée et violente du Président du Gouvernement de l’État de Savoie et des ministres de l’Intérieur, de l’Instruction, des Relations publiques et de la Sécurité civile, qui l’accompagnaient.
Digne des films ‘Z’ ou ‘l’Aveu’ de Costa Gavras, cette police, digne des heures les plus sombres de notre histoire a extrait par la force les 5 représentants du gouvernement bénéficiant pourtant du statut diplomatique de la Convention de Vienne de 1961, en plein déjeuner et face à des convives ébahis.
Notre délégation officielle venait de quitter son siège national actuellement occupé par la République française sous couvert de Préfecture, pour remettre à François Ravier, actuel Préfet de Savoie, devenu Illégitime depuis la Déclaration d’Indépendance du 27 octobre 2023., deux courriers concernant le rappel à la négociation et une lettre de change. Courriers qui depuis plus de 4 ans, souffrent de l’omerta et du mépris de la RF.
Depuis un mois, le mépris du droit et des règles internationales n’a donc trouvé que la violence pour réponse. Nous savons que la violence est l’arme des faibles et des perdants.
Les faits :
Après avoir déposé lesdites lettres au service courrier et après quelques échanges cordiaux avec quelques membres de cette administration, dont le responsable de la sécurité, les cinq membres du Gouvernement précités se sont vus interpellés par des policiers en armes du Commissariat de Chambéry, sur la route de la Cour d’Appel où ils se rendaient.
Ces hommes en armes mandatés par la Préfecture étaient chargés d’effectuer leur arrestation sous couvert d’un trouble de l’ordre public ou voie de fait…
Refusant de décliner leur identité à cette milice agressive, la délégation s’est rendue au restaurant du Musée des Beaux arts, face à la Cour d’Appel de Chambéry, pour un déjeuner, avec l’intention de déposer pour 14 h, leur courrier à l’ouverture du Tribunal.
A 12h30, 20 policiers vont interrompre violemment leur repas pour les emmener au commissariat de police.
Devant son refus d’obtempérer, le président a été molesté, brutalement menotté dans le dos, comme sa septuagénaire Ministre de l’Instruction, avant d’emmener les membres de la délégation ainsi menottés et méprisés, comme de simples malfaiteurs, vers leur ‘hôtel de police’.
Cette arrestation arbitraire, sur ordre de la Préfecture, a été stoppée subitement et contre toute attente à 17 h par le Substitut du Procureur, Monsieur Christophe Dubois contre l’avis du Préfet. Ordre est donné d’une libération inconditionnelle, sans audition ni enquête dans un dossier qui ne pourra être consulté avant un an !
Ce dernier ayant appris cette arrestation arbitraire en violation de toutes les Conventions lors de la première audition du Ministre de l’Intérieur de l’Etat de Savoie, s’est empressé de mettre fin à cet acte indigne lourd de conséquences pour les agissements de la RF sur le sol de Savoie, sa dernière colonie.
On précisera que la délégation Gouvernementale, bénéficiant pourtant du statut diplomatique du fait des Conventions Internationales dont celle de Vienne, n’a eu à aucun moment la possibilité de contacter les services du Procureur, ce qui aurait instantanément mis fin à cette « farce Républicaine ».
A la violation manifeste de la convention de Vienne de 1961 s’ajoute un abus de pouvoir et une arrestation arbitraire manifestes. Sans compter le harcèlement, les fautes professionnelles et la violence avec circonstances aggravantes dont se rendent coupables les auteurs. Cette intervention déshonore la Police Nationale par le triste spectacle de la déliquescence de la République Française et de ses serviteurs zélés en uniforme.
Face à ces faits délictueux, nous ne pouvons que remercier le Substitut du Procureur qui a su faire appliquer le Droit et la Loi, et nous invitons les représentants de la RF à la table des négociations pour que, sans délai, soient mises en place les actions pacifiques de la décolonisation et éviter de nouvelles bavures.
Cet incident grave signe la dichotomie entre le pouvoir administratif et le pouvoir judiciaire, entre le politique et le juridique.
Voilà ce qui se passe quand les êtres humains reprennent leur souveraineté, leur dignité et leur humanité.
La résistance Savoisienne est pacifique mais ferme et déterminée face à une République Française sournoise et, maintenant violente.
La liberté n’est jamais gratuite, mais la richesse qu’elle procure est incomparable à toute autre chose !
Souveraineté, Intégrité, Respect
Pour le Gouvernement de l’Etat de Savoie
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