Dans une lettre diffusée par Chloé Frammery puis par Zoé Sagan, Natacha Rey, qui a ouvert le dossier Brigitte Macron / Jean-Michel Trogneux, révèle être atteinte d’un cancer avancé, une condition médicale grave qui selon elle l’empêchera de purger toute peine de prison ou d’accomplir des travaux d’intérêt général.
Natacha Rey, malgré son cancer avancé, défie le tribunal dans sa lettre, affirmant que toute condamnation ne fera qu’accroître son soutien public et sa stature de martyre.
Natacha Rey exprime sa détermination face à l’avancement de son procès au 19 juin 2024, affirmant que toute condamnation ne fera qu’accroître le soutien et l’admiration du public à son égard. Elle se présente comme une figure de martyre, inébranlable malgré sa santé précaire, et prête à affronter les conséquences juridiques, tout en continuant à défendre ses convictions.
C’est un nouveau rebondissement dans l’affaire Brigitte Macron, qui a pris une tournure mondiale depuis que Candace Owens a décidé d’en parler à ses millions d’abonnés. De son côté, Xavier Poussard poursuit son enquête sur la « première dame » et s’apprête à publier le prochain numéro de Faits & Documents qui est très attendu…
Voici l’intégralité de la lettre de Natacha Rey :
J’écrirai une lettre pour leur dire qu’aucune « punition » ne sera possible sur moi, et que leur condamnation arbitraire déjà décidée d’avance, ne me laissant aucune chance, ne provoquera qu’une fois de plus le soutien et d’admiration de la part du public, en France et dans le monde entier.
Ils vont faire enfin de moi la Jeanne d’Arc que je rêvais d’incarner, en me brûlant ainsi sur place publique, pour que je serve d’exemple, de modèle !
Je ne paierai jamais aucune amende de milliers d’euros, mes comptes étant tous vides désormais. Rien à prendre.
Ils ne pourront pas me condamner à de la prison (pour « délit de presse » !) , je suis gravement malade, sous traitement néo-adjuvant et mon état demande un suivi constant. Aucun stage de citoyenneté, aucun travail d’intérêt général ne seront possibles.
Donc à part une condamnation symbolique sur un morceau de papier, relayée dans toute la presse mainstream que plus personne ne croit, me cracher dessus une énième fois, que peuvent-ils contre moi ?
Qu’ai-je à craindre, à redouter ?
Ça ne m’empêchera pas de continuer de parler de cette affaire, et ça n’empêchera pas non plus les autres de continuer à la relayer ici, en Russie, en Chine, Outre Atlantique et partout dans le monde.
Ils ne peuvent pas me condamner, je suis déjà condamnée, atteinte d’un cancer avancé.
Les médecins me donnent 2 ans maximum. Ce sera vite là.
Je mourrai dans la souffrance, rongée par les métastases osseuses, après avoir été persécutée des années durant par la Macronie et salie par l’ensemble de la presse et des médias français. Autant dire, sous les honneurs, quand on voit les hommages rendus aux véritables nuisibles de ce pays, tels le pédophile notoire Frédéric Mitterand.
Je préfère mille fois la condamnation glorieuse à la relaxe honteuse et attendue du garde des sceaux et autres ministres et politiques corrompus, couverts par la justice.
Le public m’érigera une statue et je deviendrai une Sainte Martyre, telle que j’ai toujours rêvé de l’être.
Merci à la République et à la Justice françaises, d’exaucer enfin mon RÊVE, de me permettre d’accéder à la postérité.
Ma reconnaissance éternelle au talentueux Monsieur Brigitte !
• Pour la contacter : natacharat@aol.com
• pour la soutenir : https://paypal.me/fraisdejustice?country.x=FR&locale.x=fr_FR
En début d’année, Kate s’était entretenue avec Xavier Poussard pour évoquer cette affaire mais également pour plonger dans les dessous de la présidence Macron, mettant en lumière des connexions étroites et un fil conducteur inquiétant : la pédophilie.
par Yoann
Source : Le Média en 4-4-2
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