On commence peut-être à trafiquer les corps par la chirurgie esthétique puis on s’oriente vers la « merdecine »du genre qui doit mieux rémunérer et de surcroît remboursée par la sécu c’est à dire nos impôts.
par CovidHub
WPATH Files ou la fuite de données embarrassantes et choquantes de la plus ancienne association transsexuelle au monde.
L’ONG écologiste pro-nucléaire Environmental Progress a publié au début du mois de mars un rapport de 241 pages au sujet des pratiques de la WPATH (World Professional Association for Transgender Health), la plus ancienne association professionnelle au monde dédiée aux interventions médicales sur les personnes souffrant de «dysphorie de genre».
Ce rapport contient des données fuitées de l’association dont des emails, des documents, et une vidéo de 82 minutes, révélant «des irrégularités médicales graves sur les enfants et les adultes vulnérables».
Aveux à huis clos
Selon Michael Shellenberger, fondateur et président de Environmental Progress, le dossier WPATH «montre que ce que l’on appelle la «médecine du genre» n’est ni de la science ni de la médecine», et que «leurs expériences ne sont ni randomisées, ni en double aveugle, ni contrôlées. Ce n’est pas de la médecine puisque la première règle est de ne pas nuire. Et cela nécessite un consentement éclairé».
Les révélations contiennent des «aveux choquants» de la part de médecins et autres professionnels de la santés affiliés à la WPATH, qui admettent en secret qu’ils ne cherchent pas à obtenir un consentement éclairé de la part des parents et des enfants avant de mettre en œuvre des traitements ou des opérations chirurgicales de «changement de genre».
Des emails fuités de la WPATH et inclus dans le rapport contiennent aussi des aveux de médecins qui établissent un lien entre leurs traitements hormonaux et la survenance de cancers, et sur le fait que les patients ne sont pas correctement informés de ce risque.
«Acte important de journalisme»
Mme Dhillon, fondatrice et directrice générale du Center for American Liberty, qui représente plusieurs femmes qui auraient subi des préjudices et des dommages irréversibles à la suite des recommandations chirurgicales de la WPATH destinées à des enfants et adolescents, ces révélations représentent un «acte important de journalisme». Elle déclare :
«Ces dossiers divulgués montrent qu’à huis clos, les membres de la WPATH admettent qu’ils n’obtiennent pas le consentement éclairé des jeunes patients pour les interventions hormonales et chirurgicales, ce qui est le principe même de notre action en justice pour les jeunes femmes qui ont été mutilées par ces médecins lorsqu’elles étaient enfants».
Selon le rapport, la WPATH plaide pour que les enfants aient accès aux bloqueurs de puberté, aux hormones du sexe opposé et aux interventions chirurgicales visant à modifier leur corps en fonction de leur «identité de genre». Le rapport écrit :
«Alors que la WPATH soutient publiquement le consentement des mineurs et de leur famille à ces traitements hormonaux et chirurgicaux fondés sur un sentiment intérieur nébuleux, en privé, certains membres admettent que le consentement n’est pas possible (…). Secrètement, les professionnels de santé affiliés à la WPATH avouent que leurs pratiques sont basées sur l’improvisation, que les enfants ne peuvent pas les comprendre et que le processus de consentement n’est pas éthique».
Les enfants et les jeunes ne comprennent pas vraiment…
Dans une vidéo divulguée en même temps que le rapport, présentant un groupe de discussion interne de la WPATH, on entend notamment Dianne Berg, psychologue pour enfants, admettre que leurs experts ne s’attendent pas à ce que les enfants et les jeunes comprennent pleinement les effets des procédures transgenres, car il est «hors de leur développement de comprendre l’ampleur de l’impact de certaines de ces interventions médicales sur eux».
Cette même psychologue ajoute ensuite :
«ce qui me dérange vraiment, c’est que les parents ne peuvent pas me dire ce qu’ils ont besoin de savoir sur une intervention médicale qu’ils ont apparemment approuvée».
Elle suggère ensuite d’encourager les patients à poser des questions, et d’offrir un «véritable processus de consentement éclairé» plutôt que ce qui se passe actuellement, qui «n’est pas ce que nous devons faire d’un point de vue éthique».
Nous republions ci-dessous la vidéo dans son intégralité (archive ici). La transcription complète ainsi que certaines citations ont également été rendues disponibles par Environmental Progress.
L’Europe commence à faire marche arrière
Moins d’une semaine après la publication du dossier WPATH, le service national de santé britannique a interrompu l’utilisation de bloqueurs de puberté chez les enfants, et a déclaré :
«Nous avons conclu qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves de l’innocuité ou de l’efficacité clinique des hormones de suppression de la puberté pour que le traitement soit disponible en routine à l’heure actuelle».
En même temps, d’autres pays européens, tels que la Suède, la Finlande, la Norvège et la France, se montrent de plus en plus sceptiques à l’égard de ce que les partisans appellent le «modèle d’affirmation du genre».
En France, un rapport sénatorial a récemment été remis par la sénatrice Jacqueline Eustache-Brinio (LR), qui appelle à remettre en question le droit de «transitionner» avant 25 ans. Si cette proposition était adoptée, la France deviendrait le pays européen le plus restrictif sur le sujet.
Pas de remise en question en Suisse pour l’instant
En Suisse, le nombre d’interventions chirurgicales d’«affirmation de genre» est en augmentation : de 248 interventions en 2019, le chiffre est passé à 525 en 2022, soit une augmentation de 115%.
Cela concerne aussi les enfants et adolescents : entre 2018 et 2021, 10 enfants âgés de 10 à 14 ans et 58 adolescentes âgées de 14 à 18 ans ont subi une «torsoplastie», un néologisme signifiant une double masectomie visant à créer un torse «masculin».
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source : CovidHub
Source : Reseau International
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