Répondant aux questions pointues de Thodinor, Lucien Cerise montre sous un autre angle la fonction historique de l’Ukraine, aujourd’hui captée, via ses suprémacistes d’Azov, par un mondialisme qui semble en tous points lui être opposé. Mais la politique profonde est affaire d’alliances provisoires contre-nature face à des ennemis communs. Et cet ennemi commun du mondialisme et du suprémacisme ukrainien s’appelle Russie.
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