Verhaeghe coupe beaucoup la parole. Cela affecte l’intelligibilité du message.
Ces interruptions, qui se veulent didactiques mais s’avèrent superfétatoires, font qu’à l’arrivée, on a pas de vision panoramique du raisonnement de Thierry Meyssan, mais un aperçu de l’hyper-guidage de l’intervieweur.
La conduite des entrevues par Verhaeghe est d’une grande pénibilité pour moi.
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