Des conférences où il ne se dit rien de fondamental, ça se répète en boucle sur le mode esthète gauchiasse qui pose, qui ne parle pas du vrai combat inéluctable et qui ne répondra jamais aux vrais questions, qui se contente de dénoncer les dérives techniques et administratives qui ne sont que des conséquences, qui rassure faussement et préconise de jouer de la guitare en se souriant niaisement, en étant sûr que tout dela n’est qu’un passage et que tout se régénèrera.
Justement non, il ne s’agit pas d’une crise qui débouchera sur un rétablissement mais de la venue douloureuse d’un monde dont il méconnait la dimension messianique, sacrée, surnaturelle… dans sa sociologie point de Dieu
Etalage de culture livresque gauchisante, sourires de bonnes intentions, communication non-violente idéologique culpabilisante, ça plaît aux bobos urbains de son audience.
Son anecdote du pass non-scanné est fortuite et destinée à faire rire les nanas ; moi je me suis retrouvé en garde à vue à cause d’une gérante de biocoop… !
J’ai cessé de l’écouter le jour ou il a déclaré que seuls les juifs ashkénazes étaient capables de saisir ce qui se passait car ils entendaient à nouveau la petite musique des années 30
Dans quelle mesure, involontairement, ne nous retarde-t-il pas en focalisant sur des sujets dépassés (pass, administartion hospitalière)
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