Le choix du Québec est d’abord politique
La force prime le droit : Les décisions de l’Assemblée nationale s’impose à la Constitution canadienne
- « La laïcité unit. Elle affirme que tous les citoyens du Québec, quelles que soient leurs convictions religieuses, philosophiques ou politiques, ont les mêmes droits, mais aussi les mêmes devoirs, dont celui de mettre de côté ces convictions quand ils travaillent dans la fonction publique.»
- « Aucun droit n’est absolu. Car, comme cela est spécifié dans la Charte québécoise : « les droits et libertés de la personne humaine sont inséparables des droits et libertés d’autrui et du bien-être général »».
- « L’adoption ou non par le Québec de ce suprémacisme religieux qui caractérise le Canada est une question politique et non juridique. C’est par le Parlement du Québec et ultimement par les Québécois eux-mêmes que cette question devrait donc être démocratiquement tranchée, et non par les juges de la Cour suprême nommés par Ottawa, dont le jugement sera forcément partial puisqu’ils se placent eux-mêmes sous la tutelle de Dieu et apparaissent donc — si l’on peut dire — à sa face même en conflit d’intérêts pour tout ce qui touche à la religion ou à la laïcité.»
https://www.ledevoir.com/opinion/idees/808466/point-vue-laicite-divise
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