La mort de la France dans la Constitution
En fait, l’euthanasie n’est pas encore constitutionnelle, mais « on » y vient. On remarque que l’ultralibéralisme, c’est (presque) comme le nazisme, mais sans les juifs : on y élimine les improductifs, soit les bébés et les vieux. Au fond, tout revient à ça.
Faire grandir un bébé dans une famille, c’est trop de temps et d’argent perdus (vous remarquerez que l’amour n’est pas une donnée, pour les ultralibéraux), autant éliminer le bébé dans le ventre de sa mère – qui pourra ainsi se consacrer à la carrière et à Tinder – et importer du migrant pour compenser la perte démographique, qui en plus fera le sale boulot.
L’avantage, c’est que ce migrant n’aime pas la France, n’est pas français et ne le sera jamais. Coup double pour le mondialisme, cette idéologie antifrançaise bien captée par BHL ! Rien à voir avec ceux qui choisissent la France pour des raisons bien françaises : tolérance, qualité de vie, patrimoine, culture, par amour de la France, quoi. Ce fut le cas des Vietnamiens, des Chiliens, par exemple, après les années 70. Ensuite, il y a l’immigration économique, disons que c’est plus par nécessité que par amour. Mais on peut finir par aimer son pays d’adoption, comme dans un mariage forcé…
« Il sera plus rapide d’avoir accès à un médecin pour demander une aide à mourir que pour être soigné »
Claire Fourcade, médecin et présidente de la Société Française des Soins Palliatifs, dans Le Figaro
Ceux qui poussent des hauts cris contre le viol de la Vie, ce programme de déshumanisation mondialiste actuel, se réveillent un peu tard : la Macronie, dont le terrain glissant a été bien préparé par la Sarkozie et la Hollandie, est un programme de mort, de profit et de mort, comme à Auschwitz, ce camp de travail forcé qui éliminait les plus faibles.
Et puis l’euthanasie n’a pas attendu 2024 : elle a été déjà pratiquée à grande échelle dans nos Ehpad en mars 2020, avec les milliers de personnes âgées qui étouffaient, parce que pas soignées – volontairement ! – et qu’on a fait partir au Rivotril et autres cocktails lytiques.
Le décret meurtrier (#360) du 28 mars 2020 dans le Journal officiel
On espère que Manu, si Brigitte est un jour atteinte par la limite d’âge ou d’une maladie incurable, ne va pas lui appliquer son traitement spécial. L’amour pourra-t-il la sauver ?
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation