Cette année, il y a trop d’actu chaude pour que la Journée de la femme soit un événement. Toutes les vannes antiféministes ont été faites, tous les superlatifs proféministes ont été utilisés dans la presse pour dire le génie féminin, ce qui n’a rien changé à l’infériorité naturelle de la femme dans tous les domaines, sauf dans celui de la ruse et du mensonge. On compense ses faiblesses comme on peut.
Ce soir, on va se faire boycotter par notre bonne femme, mais tant pis. Ah si !, il existe un homme plus menteur que toutes les femmes réunies. Quelque part, il doit être un peu femme ?
On se demandait justement, à la machine à café (du Venezuela) de la Rédac, pourquoi les femmes, si fortes en mensonge, étaient si nulles en politique.
Eh bien la réponse est toute simple : dès que ça devient professionnel, donc sérieux, y a plus personne. C’est-à-dire que mentir sur la durée, avec aplomb, de manière construite et stratégique, comme Macron, c’est un vrai talent. Regardez Hidalgo, elle ment si mal qu’elle se prend tout le temps les pieds dans le tapis. D’ailleurs, ses pieds et le tapis ont fini par fusionner.
Avec son score fleuve de 1,7 % aux élections, alors qu’elle comptait sur le vote des femmes pour être la première présidente de la République (les femmes sont majoritaires dans la population avec 51,5 %), on se rend compte que les Français punissent non pas le mensonge, mais l’amateurisme, voire la médiocrité, dans ce domaine.
Maintenant, l’égalité, la grande revendication féministe : dans le quotidien de millions de couples, personne n’en a rien à battre. S’occuper des gosses, du loyer et du reste prend trop la tête pour qu’on discute de l’égalité version Schiappa, qui est complètement perchée, malgré son poids.
On pourra ajouter cette petite pincée de poivre sur le sujet, et on passera à autre chose, histoire de vendre du Sapaudia (un lien avec Saudia ?), notre nouveau spécialiste de la Femme.
Mentir, c’est un arrangement avec le réel. Ce n’est pas interdit, puisqu’il y a la jurisprudence Jaku dans l’affaire Lelandais, mais l’accumulation de mensonges peut conduire un peu trop loin, du côté du mur ou du gouffre.
Inversement, parfois, on doit reconnaître que c’est dur de dire la vérité, ce que le serment du chevalier exige pourtant.
Par exemple le voisin vous fait chier du matin au soir avec TF1 à fond mais il c’est lui qui surveille les boîtes aux lettres ? On ne lui dit pas qu’il est chiant, parce qu’il est utile, quelque part.
Eh bien les femmes c’est pareil : elles sont chiantes, mais on en a besoin. Certes, elles savent merveilleusement jouer avec ce besoin, mais c’est tout le sel de la relation homme/femmes, le must consistant à être misogyne et avoir quand même accès au jardin des délices ! On parlera donc d’une négo quotidienne dans un combat politique permanent. Me Viguier avait raison.
Et maintenant, le bêtisier du 8 mars
Si on écoute ces féministes, relayées par France Désinfo, faire le ménage empêche d’être un génie :
À l’occasion de la journée internationale de lutte pour les droits des femmes, une cinquantaine d’organisations, associations et syndicats appellent à la grève du travail et des tâches domestiques, vendredi. Franceinfo a recueilli les témoignages de trois femmes qui disent « stop ». (…)
« Tout ce temps qu’une femme va consacrer à son foyer, c’est du temps en moins pour elle et pour sa carrière. Ça a un impact sur son émancipation personnelle et économique », souligne Youlie, du collectif Les Rosies.
Le musée de l’horreur misogyne
« C’est des remarques comme quoi on est des femmes, qu’on est jolies, oh vos yeux sont jolis aujourd’hui, enfin, plein d’trucs comme ça. »
Alain, pardon, Olivier de Benoist, expert en misogynie,
est applaudi par les femmes !
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation