L’État québécois doit contrôler qui entre chez nous
Je propose 10 questions claires et sans détour
Le Parti québécois vient de proposer un référendum sectoriel sur l’immigration. Il est conscient que la population en a assez de cette invasion massive et continue de tout bord, tout côté. En fait, toutes les populations occidentales envahies en ont ras-le-bol, incluant nos voisins du sud dont ce sera le thème principal de la prochaine élection. Ajoutons que la plupart des pays de L’Union européenne ont fait élire récemment des représentants qui s’engagent à régler la question.
La question référendaire porterait sur le rapatriement de tous les pouvoirs en matière d’immigration, ce qui permettrait au gouvernement qui nous représente de sélectionner les candidats qui correspondent le mieux à nos critères spécifiques, et non plus à ceux du Canada qui vont dans le sens du multiculturalisme, de la diversité, de l’anglicisation, du mode de vie communautariste, favorisant des communautés entières et grossissantes de fanatiques religieux ne respectant pas nos valeurs comme la laïcité, l’égalité homme/femme et la prépondérance de nos lois sur leur religion obscurantiste.
Il s’avère que tous les critères canadiens actuels qu’on impose contre notre volonté vont à l’encontre de la préservation des caractéristiques de notre identité collective québécoise historique, et c’est pourquoi ils doivent être condamnés.
Tant qu’à faire un référendum pan-québécois, pourquoi ne pas le faire sous la forme d’une série de questions pertinentes qui aideront le gouvernement à faire les bonnes revendications au fédéral et qui lui permettront de mieux orienter son action dans l’utilisation des pouvoirs qu’il possède déjà.
- Désirez-vous que le Québec possède les pleins pouvoirs en matière d’immigration?
- Le Québec doit-il pouvoir faire respecter toutes ses frontières face à l’entrée illégale de migrants et de pseudo-demandeurs d’asile?
- L’État québécois doit-il renvoyer tous les migrants illégaux et pseudo-demandeurs d’asile escroqueurs déjà entrés au pays?
- Faut-il accorder automatiquement tous les services de l’état à de nouveaux arrivants qui n’ont rien fait pour y avoir droit? (aide sociale, soins de santé, médicaments, écoles, cpe, logements sociaux, banques alimentaires, refuges pour nos sans-abris, etc.)
- Faut-il expulser tout criminel étranger dès la première offense?
- Faut-il renvoyer ou relocaliser ailleurs au Canada ceux qui échouent lamentablement les tests de francisation et d’intégration?
- Faut-il relocaliser ailleurs au Canada le surplus actuel d’immigrants, de migrants, de pseudo-demandeurs d’asile pour respecter le pourcentage réel?
- Faut-il minimiser les résidents permanents et leur préférer des travailleurs temporaires faciles à remplacer et qui coûtent moins chers en services sociaux?
- Faut-il mettre fin au regroupement familial qui fait venir des tas de gens qui n’ont pas à se franciser, en plus de vieux parents malades qui viennent se faire soigner à vie gratis à nos dépens?
- Le fédéral nous doit 1 milliard de dollars à cause de la crise migratoire actuelle qu’il a provoquée. Devons-nous exiger d’être remboursés?
Les probabilités sont élevées pour que la population réponde majoritairement oui à ces questions précises (et non à la question 4), indiquant clairement la voie à suivre aux autorités. La volonté du peuple est la base de la démocratie.
À défaut qu’un tel référendum puisse voir le jour, il pourrait être remplacé par un sondage Léger posant ces mêmes questions détaillées qui éclaircirait ce qu’en pense la population et qui deviendrait un outil d’appui utile pour aller exiger notre dû à Ottawa.
Devant la réaction négative, hostile et prévisible de la part d’Ottawa à laquelle il faut s’attendre, les Québécois devront comprendre que le temps est enfin venu de procéder unilatéralement à l’indépendance de notre nouveau pays.
Prenons notre destinée en main sans plus tarder. Libérons-nous enfin du carcan fédéral.
Note: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir davantage votre réflexion sur le sujet
Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec