Par Nicolas ZAHAR
La dette publique officielle de l’Etat (français) serait de 3.100 milliards d’euros. Cette dette représente le cumul des besoins de financement des pouvoirs publics (Etat, collectivités locales, , sécurité sociale), soit la différence entre ses recettes (348 milliards pour 2023, en baisse de 6 milliards par rapport à 2022) et ses dépenses (455 milliards, eux en hausse constantes). Cette mauvaise dette sert de moins en moins à nos investissements qu’à nos dépenses de fonctionnement, devenues majoritaires, et croissantes, d’un Etat obèse pesant 6 millions de fonctionnaires et assimilés avec des coûts croissants des prestations sociales pour des services dégradés.
Les nouveaux emprunts, aux taux de remboursement supérieurs (4% cette année), finançant les remboursements des anciens (174 milliards en 2024 aux taux d’intérêts situés entre -0,5 % et 2 %) et une dette augmentée, font des seuls intérêts de la dette une dépense croissante, devenue le premier poste budgétaire, devant ceux de la rééducation anti nationale et de nos Armées, indispensables elles à notre indépendance (y compris à l’égard de l’OTAN) et à notre sécurité, et dont le retour sur les investissements est l’un des plus profitables à tous niveaux ; les dépenses militaires opérées par l’Etat ne lui coûte en réalité qu’un tiers en valeur résiduelle grâce aux effets bénéfiques induits sur son industrie (exportations incluses), l’emploi, la recherche, l’Education. Nous sommes surendettés malgré des prélèvements obligatoires, impôts et prélèvements sociaux, les plus élevés au monde, représentant 50 % d’un PIB, lui en baisse.
Il faut en réalité ajouter à la dette officielle, la dette « hors-bilan » qui comprend la masse des engagements et garanties de dettes ne figurant pas au bilan de l’État. Ainsi les garanties de dettes contractées par des entités publiques, des entreprises d’État ou d’autres organismes ; parmi ces dettes hors bilan nous avons les pensions et avantages sociaux futurs, aux montants faramineux ; ou encore les assurances et la gestion des risques pour couvrir les coûts liés à des événements imprévus, tels que des catastrophes naturelles. Ce hors bilan est difficile à débusquer ; il était de 4.500 milliards en 2020, ajouté à la dette officielle qui était de 2.668 milliards, cela donne une dette totale de 7.148 milliards en 2020, soit 324 % du PIB. Le ratio entre la dette publique et le PIB permet d’évaluer le niveau d’endettement d’un pays par rapport à la taille de son économie. Pour 2023 ce ratio est de 370 % et sera probablement supérieur à 400 % en cette fin d’année, lorsque le montant du PIB aura péniblement atteint de 2.700 milliards d’euros, avec dette publique totale qui aura dépassée 10.000 milliards, dont les deux tiers seront masqués par le « hors-bilan ».
Il en est ainsi d’ailleurs des actifs bancaires dont les engagements des principales banques privées mondiales sont 100 fois supérieurs à leurs actifs respectifs, si l’on tient compte de leur « hors-bilan ». Et que dire de la valeur de nos billets de banque qui ne sont en réalité qu’une dette détenue par son possesseur à l’égard de l’Etat émetteur ? Une dette soumise à l’inflation, à la dévaluation, voire à la banqueroute, ne reposant que sur la confiance, une confiance remplacée par la peur du château de cartes qui s’écroule.
Pour comparaison les Etats-Unis, dont la dette officielle est de 33.500 milliards de dollars, avec le hors bilan atteindrait 100.000 milliards, soit le montant total de la capitalisation boursière mondiale, ou encore celui du PIB mondial, dont les 2/3 sont le fait des 10 premières puissances économiques (la France est passée de la 4ème place à la 7ème depuis l’arrivée de la gauche au pouvoir). Nous ne parlons là que de dettes publiques, pas de dettes privées, celles des particuliers et des entreprises. Les montants sont si décorrélés de l’économie réelle, et de la croissance possible de celle-ci, qu’ils sont factuellement impossibles à rembourser, ne le seront jamais, et hypothèquent objectivement l’avenir plus ou moins immédiat du système monétaire international basé sur l’étalon-dollar, qui est, nous pouvons l’affirmer, une fausse monnaie. Toutes les monnaies-papier étant arrimées à l’étalon-dollar ne valent en réalité plus rien si on devait les comparer à la valeur réelle de l’or, la monnaie ultime, dont les cours sont manipulés à la baisse. La Banque de France possède 2.500 tonnes d’or, soit la 4ème quantité de réserve d’or au monde après celles détenues par ses homologues des Etats-Unis (8.000 tonnes), d’Allemagne et de Russie (3.000 tonnes chacune). 2.500 tonnes d’or représentent aujourd’hui officiellement 150 milliards de dollars ; si la valeur de l’once d’or n’était pas manipulée à la baisse par des « trackers », des instruments financiers, l’once de Troyes d’or afficherait un montant 100 fois plus élevés ; et les 2/3 de nos 10.000 milliards de dettes seraient couverts par les réserves d’or de la Banque de France.
En 2010, l’audition d’un cadre dirigeant de la banque JP MORGAN devant une commission révélait qu’il y aurait 100 fois plus d’or-papier que d’or physique sur lesquels étaient hypothéqués ses instruments financiers extrêmement spéculatifs, « les trackers », ce doit être 100 fois plus encore aujourd’hui ; la plupart des banques centrales « loueraient » leur or à ces fonds spéculatifs, qui ne les possèdent donc même pas. Si demain les détenteurs d’or-papier souhaitaient disposer de leur or physique en échange de leur or-papier, cela provoquerait des faillites en cascade en même temps qu’une envolée des cours de l’or physique, et probablement une dégringolade des cours de bourse. Les cours de l’or sont donc manipulés ; la valeur intrinsèque de cette monnaie ultime est en réalité supérieure à 2.000 dollars l’once, valeur affichée sur les marchés, à l’heure où nous rédigeons cet article (le 21 février 2024). Le dollar n’a perdu officiellement que 98,25 % de sa valeur depuis 50 ans, lorsque l’once d’or était fixée à 35 $ ; il a en réalité perdu entre 99,98 et 99,99 % de sa valeur.
Les planches à billets du dollar et de l’euro tournent à plein régime alors que les quantités d’or dans le monde sont, elles, limitées ; on extrait environ 3 000 tonnes d’or par an, et il resterait moins de 50.000 tonnes d’or dans le monde encore à extraire, selon l’USGS (United States Geological Survey). De plus les coûts additionnés de prospection, d’extraction, du traitement de l’or et de sa commercialisation atteignent quasiment les cours actuels officiels du métal précieux et ceux-ci ne cessent de croître, conséquence de sa raréfaction. C’est une raison supplémentaire pour laquelle les cours de l’or ne peuvent plus durablement baisser, malgré les manipulations des cours dont il fait l’objet ; la quantité totale d’or dans le monde serait de 150.000 tonnes, et les 2/3 auraient été extraits au cours des 150 dernières années. La moitié de l’or est contenu dans les bijoux, un quart, soit 36.000 tonnes, est détenu par les banques centrales et ce pourcentage ne cesse d’augmenter ; quant au dernier quart il se partage entre des réserves privées d’entreprises et de particuliers, les produits des industries de pointes pour ses propriétés physiques uniques.
Sous la monarchie, la dette publique française était gérable grâce à la souveraineté nationale, qui était incarnée et représentée par son Roi, le Père et Chef de la Nation. Lorsque le poids des usuriers se faisaient sentir trop lourdement, le Roy leur réglait leur affaire pour solde de tous comptes en les chassant du Royaume (ce qui ne les empêchait pas de revenir ensuite), ou en les éliminant en dernier ressort (comme ce fut le cas pour l’Ordre des Templiers dont le montant des richesses inquiétait un Roy qui devait rester le premier en son Royaume, afin de garantir l’indépendance la plus absolue de celui-ci).
Sous l’Ancien Régime -pendant la Régence du Duc d’Orléans-, une brève expérience monétaire et bancaire, lancée par l’aventurier écossais LAW, et inspirée de celle des banques britanniques et de leur système de Ponzi avant l’heure, qui produisaient 10 fois plus de monnaie qu’elles ne possédaient d’or en réalité, finira en 1720 par une banqueroute aux effets heureusement limités et qui dégoûtera les Français de la monnaie-papier.
C’est sous la Terreur républicaine que les Français vont connaître leur première grave crise monétaire : la Révolution va réquisitionner les biens de l’Eglise et ceux des communs comme supports à la création des assignats et leur circulation forcée, une monnaie-papier qui perdra plus des 2/3 de sa valeur en moins de 5 années (1792-1797), obligeant Napoléon Ier à revenir au système bimétallique (vieux comme Crésus), ce sera le système du franc germinal, répandu plus tard par Napoléon III sur la moitié de la planète concurremment aux monnaies bimétalliques britanniques, germaniques, hollandaises et américaines, et ce, jusqu’à la fin de la première guerre mondiale.
Après la première guerre mondiale, le système de l’étalon-or supplantera les systèmes bimétalliques ; puis après la seconde guerre mondiale toutes les monnaies deviendront convertibles en dollars, seule monnaie convertible en or selon une parité fixée à 35 dollars pour une once de Troyes d’or (31,1 grammes) ; on pourrait nommer cela l’étalon-dollar-or.
Le 15 août 1971 lorsque les Etats-Unis sont contraints d’abandonner la parité fixe pour des raisons liées aux déséquilibres monétaires engendrés par la guerre du Vietnam, depuis lors la monnaie ultime devient le dollar, dont les billets sont les seuls au monde à pouvoir être échangés partout quelles que soient leurs dates d’émissions (ce qui n’est le cas d’aucune autre monnaie). Cet ‘étalon-dollar’ sert de référence, de monnaie papier ultime, de réserve et octroie ainsi à la FED le pouvoir de créer la monnaie mondiale ultime, avec l’accord du Congrès américain.
Les principaux actionnaires de la FED sont des banques privées, au premier chef desquelles la JP MORGAN, et elles-mêmes sont détenues par des Fonds d’investissements dont les trois principaux au monde sont BlackRock, Vanguard Group et State Street qui représentent ensemble plus du quart de la capitalisation boursière mondiale ; ils ne cessent de grossir, et pourraient bien représenter le tiers de la capitalisation boursière mondiale en 2025, si l’on se base sur la progression exponentielle de leur poids dans celle-ci.
Mais qui sont les principaux actionnaires de ces fonds ? In fine moins d’une dizaine de multimilliardaires, dont la famille Rothschild et la famille royale britannique, l’incontournable et cynique Georges Soros, Bill Gates, Warren Buffet et quelques figurants comme le libano-mexicain Carlos Slim comptant parmi les dix plus grosses fortunes personnelles au monde. Une telle concentration de la capitalisation boursière mondiale en quelques mains finira par rendre celle-ci obsolète, sans valeur réelle ; les actifs à quelques-uns, peut-être à un seul et les dettes à tout le reste de l’humanité ? C’est absurde et diabolique.
Le système de l’étalon-or, qui est une monnaie en contrepartie or, permet de résister mécaniquement à l’expansion du crédit, de l’inflation, et particulièrement à la financiarisation de l’économie et des monnaies, résistance qui est précisément décriée par les usuriers comme étant aussi un frein aux idoles tyranniques d’une « croissance » artificiellement définie avec son PIB et ses ratios.
Sans un étalon neutre, et universel, la domination est assurée par celui qui peut émettre une monnaie universelle sans limites ; le dollar ne repose sur rien d’autre que sur le dollar, et les monnaies numériques à venir sur rien d’autre que sur un totalitarisme croissant, plus ou moins étendu et généralisé. Un monde multipolaire remettra l’or à sa place d’étalon, de monnaie ultime et universelle. C’est d’ailleurs ce à quoi s’emploient déjà les B.R.I.C.S, puisque toutes les nations possèdent de l’or.
Aujourd’hui, deux mondes s’affrontent : un monde multipolaire qui tente d’émerger via les B.R.I.C.S., et dont l’ambassadeur le plus charismatique est Vladimir Poutine, opposé à un monde monolithique dirigé par les Etats-Unis de Biden et compagnie, et auquel tout « l’Occident est soumis ».
Le « monde occidental » propose aujourd’hui un narratif antirusse, justifiant leur soutien à l’Ukraine dans un conflit orchestré par les Etats-Unis, via l’OTAN, cette organisation qui n’avait plus de raisons d’exister depuis la chute finale de l’Union Soviétique.
En Ukraine, nous assistons à un conflit fratricide qui n’aurait jamais dû voir l’intervention de. L’Occident, en fait les anglo-américains. Pourquoi entretenir un tel conflit ? En entretenant des conflits, ici ou là, l’OTAN justifie son existence par la peur et le chaos et pérennise ainsi sa domination. Tout cela amène à l’épuisement voulu de populations, à des migrations forcées, à la pauvreté voire à la misère, à la soumission et à l’exploitation sans fin des déracinés.
Soutenir un gouvernement ukrainien qui s’est attaqué à la partie russe de sa population au nom des Droits de l’Homme, tout en hésitant à débarrasser l’Afrique subsaharienne de la poignée de terroristes islamistes, ou en fermant les yeux lorsqu’Israël s’emploie à assassiner 30.000 civils palestiniens dans la bande de Gaza parmi une population déjà aux ¾ déplacée, à chasser des Palestiniens de chez eux en Cisjordanie ou à laisser des citoyens juifs israéliens squatter les appartements d’israéliens palestiniens et arméniens, c’est pour le moins paradoxale ; c’est comme pleurer la mort d’un opposant politique en Russie, tout en muselant ses propres opposants.
En fait, tous ces « dirigeants » occidentaux sont les instruments d’un pouvoir inique se voulant mondial, et contre lequel la Russie apporte la plus forte résistance. Ce pouvoir mondialiste est donc lui-même aux mains des quelques citées plus hauts.
Avec un tel poids et de tels fonds, ils sont en mesure de détruire n’importe quelle entreprise ou même la plupart des Etats-Nations. Ils sont partout, investis dans le complexe militaro-industriel américain et s’emploient à acquérir un maximum de terres arables, particulièrement en Ukraine, ce premier grenier à blé du monde, devant la Russie, les Etats-Unis et la France.
De nombreux peuples veulent continuer à vivre, ne souhaitant pas être dilués dans un gouvernement mondial à la botte de quelques tyrans financiers leur imposant un monde terrifiant où les 10 commandements seraient savamment violés, comme cela tend à être le cas actuellement en « Occident ».
Quel meilleur moyen pour imposer sa domination que de proposer aux désordres provoqués par soi-même ses solutions ? Le président Poutine protège son pays, malgré la rapacité de ses oligarques tenus en laisse, un niveau de corruption élevé, des alliances parfois douteuses avec des régimes terrifiants, une démographie compliquée, un niveau d’alcoolisme endémique, un conflit fratricide désastreux… La situation est loin d’être idéale en Russie, mais son économie fait mieux que résister, lorsque celles de l’Occident dépendent un peu plus chaque jour qui passe d’un quarteron de voyous.
Au contraire Macron, ex-associé de la Banque Rothschild, ne travaille pas dans l’intérêt de la France. D’ailleurs les représentants du pouvoir en France se revendiquent européens, sionistes ou LGBT, parfois même les trois à la fois, mais jamais nationaliste. Le souci actuel de ce président qui n’a recueilli que 20 % des suffrages des inscrits, de son gouvernement et de ses soutiens, est d’obéir à leur(s) maître(s). Le palais présidentiel de l’Elysée n’est séparé de Matignon que par l’ambassade des Etats-Unis.
La France n’est plus une puissance mondiale depuis que ses dirigeants sont des mondialistes. Elle n’a plus aucune politique chez elle, comme en dehors de chez elle, depuis qu’elle est devenue progressivement une entité anonyme européenne, otanienne, occidentale ; ces représentants gesticulent devant le grand cinéma mondial pour tenter de faire encore illusion. L’exemple le plus criant réside dans son acharnement pathétique et burlesque à défendre la cause LGBTPZ+, et l’anti culture wok, dans le monde. Il s’agit de promouvoir le chaos jusqu’aux cercles les plus intimes de la famille. Encore un chaos auquel Poutine refuse de se soumettre.
Après tout la monnaie n’est qu’un outil, basé sur la confiance, qui facilite les échanges, la capitalisation (et la thésaurisation), et qui permet de donner une valeur à de nombreuses choses, mais non à tout, car il y a bien sûr des choses qui ne s’achètent pas ; celles-ci n’ont pas de prix ». La monnaie est parfois un bon serviteur, et toujours un mauvais maître. Comme le disait un économiste un peu fou, « toute personne croyant qu’une croissance exponentielle peut continuer à jamais dans un monde fini est soit un fou, soit un économiste » (Keneth BOULDING).
Si demain nous n’avons plus d’électricité, plus grand-chose ne fonctionnera, ni distributeurs de billets de banques, ni pompes à essence, ni engins agricoles, ni feux rouges, ni distribution d’eau, ni communications, ni écoles, ni hôpitaux, ni police, et une armée désorganisée qui ne tiendra que par le sens de l’honneur qui l’anime, à quelques très rares exceptions ; et très rapidement la situation deviendrait intenable quasiment partout, surtout dans les pays développés, les cadavres partout répandus provoquerontt des épidémies. Et pour couper l’électricité, il suffit finalement de pas grand-chose, une catastrophe électro-magnétique, nucléaire, sismique, volcanique, une fine équipe de hackers, un conflit mondial plus ou moins sévère, nucléaire…Nous ne sommes pas résilients, nous sommes vulnérables, il suffit d’une étincelle pour que cela survienne. Toutes les supposées richesses accumulées ne seraient plus d’aucune utilité. En revanche les « communautés » les plus solidaires auraient une chance de survivre davantage que les individus isolés. La France était une communauté solidaire autour de son Roy et de son Eglise animée par la vraie foi catholique, source de réelle civilisation. La République s’est employée au cours de sa Révolution, de sa Terreur, et de ses républiques successives à faire table rase de tout, à détruire l’Eglise et notre civilisation, en s’employant à violer les dix commandements les uns après les autres.
« Le temps n’appartient qu’à Dieu » rappelle Saint-Augustin, lorsque le Protestantisme propose que le temps soit de l’argent. Ce sont deux visions du monde qui s’affrontent, la première est source de civilisation, la seconde en est son antidote. On ne peut servir deux maîtres à la foi ; on ne peut servir le Christ et l’argent à la fois.
Nous devons tous mourir un jour, n’en déplaise à ceux qui considèrent avec colère la mort scandaleuse et qui aspire à l’immortalité plutôt qu’à la vie éternelle ; nous aurons des comptes à rendre à Dieu et à son Fils. Ceux qui ont fait de la Terre un enfer connaitront peut-être l’immortalité mais dans l’enfer qu’ils se seront bricolés volontairement.
Nicolas ZAHAR
Diplômé de Sciences Pô, D.E.S.S. en Ingénierie Financière, diplômé E.S.O.R.S.E.M.
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