Nouvelles du 17 février 2024 Par le Général Dominique Delawarde

Nouvelles du 17 février 2024 Par le Général Dominique Delawarde

4 points au menu du jour

1 – Pourquoi cette guerre ? Outre l’objectif de long terme d’affaiblir puis de démembrer la Russie en
appliquant le processus employé pour l’ex Yougoslavie, il a aussi un autre objectif: prendre sous contrôle US un maximum de richesse et les exploiter au profit des compagnies US. Un article d’août 2022 résume bien comment les grandes compagnies transnationales occidentales se sont appropriées une large partie des terres agricoles ukrainiennes depuis 2021. Ces compagnies ont évidemment beaucoup à perdre dans une défaite de l’Ukraine. Ceci peut expliquer le soutien jusqu’au-boutiste au régime kiévien qui a bradé les terres agricoles de son pays.

Se faire du blé en Ukraine

3 Août 2022

Le blé ukrainien est-il américain ?

Alain Jejcic

Depuis l’entrée en vigueur de la loi sur la vente des terres agricoles il y a exactement un an, trois grandes corporations transnationales états-uniennes ont acquis pratiquement un tiers des terres cultivables ukrainiennes. Selon la « Australian national review » les états-uniens posséderaient désormais 17 millions des 62 millions d’hectares de l’Ukraine (superficie totale du pays) ; 28% de l’Ukraine serait donc américaine !

Les acheteurs, les propriétaires sont des firmes US bien connues puisqu’il s’agit de Cargill, Dupont et Monsanto. Ce qui cependant est moins bien connu c’est que derrière ces enseignes célèbres ayant pignon sur rue apparaissent des fonds d’investissements – structures financières quelque peu obscures, caractéristiques de l’agiotage « new age »-. Celles-ci, passablement obscures mais puissantissimes, disposent de capitaux qui font tourner la tête se chiffrant en trillions (c’est-à-dire en milliers de milliards) de dollars. Au nombre de celles qui opèrent en Ukraine on compte en particulier Vanguard, Blackstone et Blackrock dont les capitaux sont respectivement dix, six et 0.9 trillions de dollars.

Pour donner la mesure de l’état des choses, la revue australienne mentionne l’exemple de l’Italie où les terres cultivables représentent 16.7 millions d’hectares. Ainsi, le pouvoir des marionnettes kiéviennes a fait en sorte que trois compagnies étatsuniennes possèdent désormais en Ukraine plus de terres cultivables que l’Italie, membre du G7.

Du coup, lorsqu’on évoque le blé ukrainien et son exportation, la question se pose de quoi parle-t-on exactement ? Pourquoi omet-on systématiquement de mentionner les fonds d’investissements américains pourtant très importantes parties prenantes dans l’affaire et, pourquoi pas, principales bénéficiaires ?

Mais, outre ce questionnement à première vue platement économique, la question se pose de savoir comment et pourquoi l’Ukraine en est arrivé là ?

Lorsque le pays faisait partie de l’Union soviétique, la terre appartenait à l’état par l’intermédiaire des kolkhozes. Après la disparition de l’Union soviétique, les paysans, employés des kolkhozes, ont reçu en fermage les terres étatiques qu’ils cultivaient jusqu’alors. Par la suite, le statut de ces terres a été transformé pour devenir, au terme de longues procédures administratives, pleine propriété de ceux qui les cultivaient naguère, les anciens kolkhoziens. S’en est suivie alors une courte période pendant laquelle ont été autorisées des transactions, c’est-à-dire la vente et l’achat des terres. Mais, pour finir, dès 2001, un moratoire a été décrété mettant un terme à toute transaction. Cet état des choses a perduré peu ou prou durant les vingt années suivantes, jusqu’en 2021.

Du coup, comme ils ne pouvaient ni vendre ni acheter la terre, de nombreux anciens kolkhoziens, devenus propriétaires à la suite de la disparition de l’Union soviétique, se sont retrouvés devant le choix soit de continuer à travailler la terre, comme auparavant, soit, ce qui était nouveau pour eux, de la donner en location au prix de 150 dollar l’hectare l’an a des « opérateurs », surgit d’on ne sait où dans la foulée de la dislocation de l’Union soviétique. Ainsi, à l’ombre du moratoire des « opérateurs » sont devenus d’authentiques latifundiaires, pis des entreprises monopolistiques agricoles. De la sorte, si la terre continuait à appartenir, du moins formellement, aux anciens kolkhoziens, dans les faits elle était entre les mains « d’opérateurs » privés, rouages important, si ce n’est essentiel compte tenu de l’importance démographique de la paysannerie ukrainienne – représentant environ 30% de la population du pays -, du système oligarchique à la tête de l’Ukraine.

Cependant, la question de la propriété des terres agricoles en Ukraine demeurait en suspens, problème politique important, central, particulièrement sensible en pays slave qu’est l’Ukraine. La qualité de tchernoziom ukrainien, parmi les meilleures terres arables du monde, ajoutait encore à cet enjeu traditionnel d’autant plus que la production agricole ukrainienne participait de plus en plus aux échanges internationaux. Du coup, le débat s’enrichissait pour savoir s’il fallait, outre l’abolition du moratoire sur les transactions des terres agricoles, ouvrir aux ressortissants étrangers la possibilité d’acheter des terres en Ukraine. Un peu à la fois, progressivement l’idée s’imposait avec l’ouverture de plus en plus effective du pays.

Volodimir Zelensky, averti de la question, proposait de soumettre la question au pays par voie référendaire. Lors de manifestations paysannes il proclamait haut et fort que « la terre appartenait aux Ukrainiens » tout en stigmatisant « les Chinois et les Arabes » qui s’apprêtaient, selon lui, « à emporter notre terre par wagons ».

Le débat faisait rage et Zelensky, en habile bateleur, savait jouer du sentiment populaire pour lui conférer une orientation nationaliste, chauvine, voire xénophobe.

En dépit de l’opposition très majoritaire à l’abolition du moratoire sur la vente des terres agricoles on mettait en avant avec insistance la « justification ». Il fallait le faire, disait-on, car il s’est passé beaucoup de temps depuis l’adoption de cette mesure sans que le parlement ukrainien, la vrhovna Rada, ait mis en place un mécanisme suffisamment transparent pour organiser la vente et l’achat des terres comme le prévoyait la loi de 2001.

A cet égard, il importe de mentionner qu’au même moment des sondages d’opinion indiquaient que 81% des personnes interrogées se prononçaient contre la vente de la terre aux étrangers et que seuls 13% soutenaient la démarche préconisée par le Gouvernement. Par ailleurs, deux tiers des sondés estimaient qu’une décision aussi importante devait faire l’objet d’une consultation par référendum alors que plus de la moitié (58%) estimaient que la terre agricole devait demeurer propriété de l’état à l’exemple du Canada et de l’Israël (références importantes pour l’opinion publique ukrainienne).

Finalement, c’est le compte-rendu du mois d’avril 2021 du Fond Monétaire International, le plus important créditeur de l’Ukraine, qui emportait la décision en mettant l’abolition du moratoire comme condition sine qua non à l’attribution d’un nouveau paquet de crédits à l’Ukraine. Et le gouvernement ukrainien de s’exécuter contre l’avis très largement majoritaire de son opinion public. Dès lors les « opérateurs » avaient les mains libres pour transmettre les terres qu’ils avaient en gestion aux « investisseurs étrangers », ultima ratio du système économique ukrainien. Au préalable, ils devaient les acquérir, comme la loi désormais les autorisait de le faire, auprès des « petits porteurs » ex-kolkhoziens. L’opération, classique dans son genre, rondement menée, comme en témoigne le délai entre l’adoption de la loi par la vrhovna Rada et sa mise en application – à savoir l’acquisition par les compagnies américaine -, a évidemment rapporté gros à quelques malfrats proches du pouvoir kiévien.

Alors, après l’implantation d’une trentaine de laboratoires biologiques américains sur l’ensemble de son  territoire, l’Ukraine ajoutait, par la vente massive de ses terres agricoles aux corporations transnationales sous tutelle des fonds d’investissement américain, une dimension supplémentaire à son alignement atlantique. Si les laboratoires biologiques n’ont pas encore livré leurs secrets, en revanche en ce qui concerne les terres agricoles les choses semblent plus simples à élucider en répondant à la question : le blé exporté d’Ukraine est-il américain ?

P.S. Gageons que les inspecteurs qui vont examiner le navire libérien transportant la première cargaison de blé ukrainien au large du port d’Istanbul ce jour (3 août dans la matinée à partir de 10 heures GMT) auront la possibilité de répondre à la question. Ayant entre les mains les bordereaux et la documentation réglementaire, ils connaîtront ipso facto le propriétaire des céréales ukrainiennes.

A.J. le 3 août 2022 
https://www.librairie-tropiques.fr/2022/08/se-faire-du-ble-en-ukraine.html

2 – Rôle de la CIA dans les opérations de déstabilisation du monde :
Pour mes amis anglophones, le professeur Jeffrey Sachs explique comment la CIA, agissant dans
l’ombre et de manière autonome, se retrouve au cœur de toutes les opérations de déstabilisation qui se
déroulent sur la planète.
https://informationclearinghouse.blog/2024/02/14/how-the-cia-destabilizes-the-world/15/

3 – La dernière farce de Navalny. Par Dominique Delawarde :
A chaque fois qu’une importante élection russe se profile, un opposant de Vladimir Poutine disparaît dans des conditions troubles. Nous avons déjà eu droit à de nombreux feuilletons abracadabrantesques. Anna Politkovskaïa en octobre 2006, Litvinenko en Novembre 2006, Nemtsov en
février 2015, Skripal en mars 2018, Navalny une première fois en août 2020, sauvé de justesse parce que Poutine autorise son transfert en Allemagne, Navalny une deuxième fois en février 2024 et cette fois ci, c’est la bonne. Tout a toujours été attribué à Poutine. Des films à la gloire du tueur en série Poutine ont été tournés à Hollywood, histoire de mieux s’attaquer à la popularité inoxydable de cet homme et de lui bâtir une image de tyran sanguinaire à l’échelle de la planète.

J’ai, pour ma part, écrit des articles sur plusieurs de ces faits troublants dont certains ont fait un
véritable tabac à l’époque de leur parution :
https://reseauinternational.net/affaire-skripal-verite-ou-mensonge/
https://reseauinternational.net/lettre-de-vladimir-a-theresa-general-dominique-delawarde/
et
https://www.breizh-info.com/2020/09/06/149905/affaire-navalny-verite-ou-mensonge-par-le-
general-dominique-delawarde/?amp

Reprenons la dernière farce Navalny 2024 pour tenter de l’expliquer aux lecteurs intelligents.
Pour les autres, ils peuvent passer leur chemin.

Après son interview par Tucker Carlson, la popularité de Poutine est à son zénith tant en Russie
même, que sur l’ensemble de la planète. L’occident médiatique et politique est déstabilisé, et ce, d’autant plus que sur le front de la guerre en Ukraine, la défaite d’Advdiivka se profile inexorablement. Ca fait beaucoup, beaucoup trop pour un homme que l’occident planétaire a toujours voulu présenter comme un tyran sanguinaire à la face du monde mais qui gagne à être connu.

Les services occidentaux ressortent donc leur méthode éculée qui consiste à bâtir une nouvelle et
belle histoire pour porter un coup décisif à la réputation de Poutine. Et nous voilà dans le remake de l’affaire Navalny de 2020. Tout aussi maladroite et cousue de fil blanc. Les services occidentaux et les médias complices prennent vraiment les citoyens européens de base pour des cons qui ne se poseront pas de questions. Ils ont d’ailleurs raison car il faut bien reconnaître que des cons, ce n’est pas ce qui manque dans l’occident otanien. En soudoyant les bonnes personnes, des relais des services occidentaux en Russie s’arrangent pour envoyer Navalny «ad Patres» sans trop laisser de traces. C’est même étrange que l’on n’ait pas retrouvé sur place le téléphone portable ou la carte d’identité égarée de Vladimir Poutine….

Pourtant, certaines questions se posent et les deux plus gênantes sont évidemment:

1 – Cui Bono? A qui profite le Crime ? La réponse à cette première question désigne souvent le meurtrier dans la quasi totalité des enquêtes criminelles. Elle élimine d’emblée le candidat Poutine mais elle accable les services de l’occident otanien. Leur intérêt ? Réduire à néant le bonus engrangé par Vladimir Poutine dans son interview avec Carlson; occulter, sur le plan médiatique, la piteuse retraite en cours d’Advdiivka.
Faire oublier Gaza

Mais il y a une autre question qui tue. L’épouse de Navalny, Ioulia Navalnaïa, était, par le plus
grand des hasards, bien sûr, invitée à s’exprimer à la 60 ème conférence de Munich sur la Sécurité.
L’invitation avait été lancée, par une heureuse coïncidence, avant l’annonce de la mort de Navalny. Il est
évident que le discours d’une jolie veuve est toujours plus crédible, respectable et poignant que le discours d’une simple opposante qui cherche à discréditer son président en exercice.

Mais l’indignation de la veuve de 47 ans, Ioulia Navalnaïa, est un peu moins crédible, lorsqu’on sait
que, n’espérant pas revoir son mari avant la fin de sa peine d’emprisonnement de 19 ans, elle l’avait déjà plus ou moins remplacé. Le pion Navalny n’ayant plus aucune utilité dans le jeu politique des occidentaux en Russie puisqu’il était en prison pour longtemps, il convenait pour nos «services» de le remplacer par une personne plus charismatique: sa femme.

Pour la «booster» en politique, un film documentaire venait d’être réalisé sous le titre «Navalny»
dans lequel la jolie future «veuve» jouait son propre rôle. Aucun des lecteurs de ces lignes ne s’étonnera que ce «forcément très bon documentaire» ait obtenu l’Oscar du meilleur documentaire, en mars 2023, à New York.

Il faut dire que ce documentaire avait été réalisé pour CNN (tiens donc …) par un jeune, beau et
séduisant sayan canadien de 29 ans, Daniel Roher,
dont chacun peut imaginer la mission qu’il avait reçu en s’attelant à cette tâche. Évidemment, la jolie veuve qui goûtait aux joies de la célébrité en occident otanien ne pouvait rester indifférente à sa nouvelle vie de star.

Selon le Time of Israël, ce beau et jeune sayan réalisateur aurait appelé en mars dernier les Israéliens à s’inspirer du dissident russe Navalny et à ne pas « esquiver la lutte contre l’autoritarisme ». A voir ce qui se passe aujourd’hui à Gaza, où un régime sioniste autoritaire et toxique sème la mort sans limite, il n’a pas été entendu.

https://fr.timesofisrael.com/le-realisateur-oscarise-de-navalny-invite-le-monde-a-resister-aux-regimes-toxiques/
Sans épiloguer trop longtemps sur cette bonne farce, jouée par nos services pour tenter de salir l’image de Poutine et de limiter son score à la prochaine présidentielle russe, on peut aussi se demander pourquoi le chœur des vierges médiatiques de l’occident otanien s’est exprimé si vite et si fort, en meute, comme il sait si bien le faire. Pourquoi Wikipédia qui avait sa mise à jour sur la biographie de Navalny toute prête a réagi si vite, sans se poser de question, pour mettre le décès en ligne et son narratif présumé «impartial» de l’affaire. Pour conclure, les responsables russes seraient, eux aussi, en droit de poser quelques questions à l’occident otanien :

1 – QUI a tué les 2 frères Kennedy à 5 ans d’intervalle ? (version crédible SVP). Revoir, pour
mémoire, l’excellent documentaire suivant qui pose les bonnes questions.
anglophones: https://www.youtube.com/watch?v=a37FM542MXE
francophones: https://geopolitique-profonde.com/articles/kennedy-assassinat-guyenot

2 – QUI a pendu le prétendu suicidé Epstein, sayan et agent du Mossad, dans sa prison de «Haute
sécurité …» le 10 août 2019, parce qu’il devenait encombrant et dangereux ?

3 – QUI a jeté à la mer Robert Maxwell, magnat de la presse britannique retrouvé noyé, sayan et agent
du Mossad, parce qu’il devenait encombrant et dangereux ?

4 – QUI a tué Gonzalo Lira, cinéaste américano-chilien pro-Poutine dans une prison ukrainienne.
POURQUOI la meute médiatique occidentale ne s’est-elle pas mobilisée pour traiter ce
scandale avec la même ardeur qu’elle le fait pour feu Navalny ?

5 – Vladimir Poutine n’avait il pas raison en disant à Tucker Carlson que la propagande
occidentale était championne du monde au point qu’elle réussirait à imposer son narratif
quellesque soient les preuves présentées ?

Bonne chance à Ioulia Navalnaïa dans son nouveau rôle de star sélectionnée, adulée et
promue par la CIA, pour être la nouvelle «opposante numéro 1» à Vladimir Poutine jusqu’au
jour où nos services décideront qu’elle n’est plus «utile». Il lui faudra alors faire très attention.
La CIA n’a pas d’ami ….

A chacun de se forger son opinion sur cette affaire «Navalny II» que je qualifie sans
hésitation, pour ma part de comédie, voire de farce grossière.

4 – Ukraine: Le Bulletin nmr 173 de situation sur le bras de fer OTAN-Russie présenté par Xavier Moreau.

On y constate, une fois de plus, que le personnel politique et médiatique français est totalement
déconnecté des réalités économiques et militaires de la guerre OTAN-Russie en Ukraine. Notre ministre des affaires étrangères reprend à son compte le mantra de Bruno Lemaire et d’Emmanuel Macron : «Nous allons effondrer l’économie russe» et «chez nous tout va bien». Ces déclarations vont à l’encontre des constats effectués par le FMI et la Banque mondiale, institutions qui ne travaillent pas au profit de la Russie.

https://odysee.com/@STRATPOL:d/174com:7?src=embed&t=3067.344648

Même les bobos les plus crédules et les plus stupides réalisent que la méthode Coué, fondée sur
d’énormes mensonges, délivrés devant la représentation nationale par un ministre en exercice, ne suffit pas pour gagner une guerre et pour convaincre une opinion de plus en plus sceptique. D’ailleurs, les choses ont évolué depuis 48 heures (date de l’enregistrement du bulletin 173).

Les forces ukrainiennes battent désormais en retraite dans la ville d’Advdiivka. Elles tentent désespérément d’échapper à l’encerclement. Après Bakhmout, c’est une nouvelle défaite importante pour les otano-kiéviens. Le drapeau russe a été hissé au centre de la ville.
https://southfront.press/breaking-russian-flags-waving-in-the-center-of-avdiivka/

La Russie va donc poursuivre sereinement son offensive en nous laissant continuer à ruiner
notre économie dans un soutien jusqu’au-boutiste et sans espoir au régime kiévien.
Le chien aboie, la caravane passe … mettre le son: humour – 11 secondes.

Général Dominique Delawarde (ancien chef situation-renseignement-guerre électronique à l’État Major de Planification opérationnelle)

Source: Lire l'article complet de Profession Gendarme

À propos de l'auteur Profession Gendarme

L'Association Professionnelle Gendarmerie (APG) a pour objet l’expression, l’information et la défense des droits et intérêts matériels et moraux des personnels militaires de la gendarmerie et de toutes les Forces de l'ordre.Éditeur : Ronald Guillaumont

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