2 févr. 2024 «Mettre la capacité de dissuasion nucléaire à la disposition de l’Europe»: Macron rompt unilatéralement la doctrine nucléaire française «Oui définitivement», a-t-il lâché lorsqu’on lui a demandé si la France utiliserait l’arme nucléaire pour protéger l’UE. «Une partie de nos intérêts sont dans l’Union européenne, et cela nous confère une responsabilité particulière en ce qui concerne notre capacité de dissuasion», a-t-il insisté (https://www.youtube.com/watch?v=YMqxl…) lors de sa visite officielle en Suède, nouveau pion de l’OTAN (https://t.me/kompromatmedia/4826). Passée relativement inaperçue, cette déclaration est pourtant majeure puisqu’elle remet en cause le fondement même de la doctrine nucléaire française. Elément central et structurant de la stratégie politique globale en matière de sécurité et de défense, elle repose sur le principe d’anéantir quiconque viserait les intérêts vitaux du pays. Comme le rappelaient (https://www.senat.fr/rap/r16-560/r16-…) les sénateurs, «elle est la garantie ultime de la sécurité et de l’indépendance nationale». Une «indépendance nationale» qui vient donc, l’air de rien, d’être liée aux 27 pays de l’UE. A ce rythme, Bruxelles prendra la place de la France (https://www.jeunes-europeens.org/Que-…) au Conseil de sécurité de l’ONU avant la fin du mandat.
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Le discours intégral d’Emmanuel Macron en Suède devant la communauté de défense
BFMTV30 janv. 2024 Emmanuel Macron a débuté ce mardi une visite d’État de deux jours en Suède afin de signer un nouveau partenariat stratégique bilatéral avec le pays. Il a tenu un discours devant la communauté de défense.
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