Rappel. La scène se déroule à l’Académie française, le 3 mars 2022, en pleine folie de la « plandémie » macronienne, avec la multiplication des lois et mesures liberticides.
François Sureau n’emploie pas le mot dictature dans son discours, mais son réquisitoire la désigne à chaque mot prononcé! « Cette formule imbécile que la sécurité est la première des libertés… » « Les temps sont toujours difficiles pour ceux qui n’aiment pas la liberté ».
Aujourd’hui, Macron, qui se considère en guerre contre la Russie, il est bien le seul, veut imposer une loi de programmation militaire qui, de fait, va instaurer officiellement la dictature par les armes, réquisitions et autres confiscations, et la mobilisation sous les drapeaux! Le fou furieux est en marche! Le discours de François Sureau, à l’occasion de sa réception à l’Académie française (il succédait à Max Gallo), le 3 mars 2022, ne manque pas de sel, quand on sait la proximité qui existait entre lui et Macron. François Sureau avait rédigé les statuts de En Marche ! Epris de liberté, François Sureau fait sans doute partie des intellectuels, qui ont été abusés par les mensonges et la duplicité du psychopathe, dont il n’a pas manqué de dénoncer les attaques contre, notamment, les gilets jaunes, en 2019, suite à la proposition de loi visant à renforcer et maintenir l’ordre public : « Ce texte vise les gilets jaunes, sous prétexte de réprimer des casseurs que le droit pénal ordinaire permet tout à fait de réprimer. Ce sont les manifestations qu’on veut limiter, pas les actes violents. » Il ajoute « je ne sais pas où est le « progressisme » dans cette majorité ou dans ce gouvernement, mais il n’est sûrement pas dans le domaine des libertés publiques. […] Que personne ne voie la contradiction politique entre la lutte revendiquée contre le « populisme » et ce genre de législation est proprement stupéfiant.
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« Les temps sont toujours difficiles pour ceux qui n’aiment pas la liberté ».
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