VIDÉO
Dans l’entretien, Mathieu Bock-Côté dit redouter « devenir étranger dans son pays »
« La lutte contre la prétendue « extrême-droite » justifie aujourd’hui une suspension progressive des libertés, le retour de mécanismes d’ostracisme et un contrôle social croissant, prétendant éradiquer le mal du coeur de l’homme. »
- 00:00 – Intro
- 04:13 – Est-il temps de fermer les universités?
- 16:00 – Le club de la gauche
- 19:36 – Dénonçons nous les uns les autres, bienvenue dans la société des balances
- 26:00 – Le totalitarisme soft
- 31:13 – S’opposer aux revendications diversitaires
- 36:51 – Frôler la mort pour trouver l’inspiration
- 42:11 – France-Québec : Mathieu Bock-Côté va-t-il un jour rentrer chez lui?
- 48:00 – Se sentir étranger dans son propre pays
- 57:00 – La perte de nos repères essentiels
- 01:04:56 – L’extrême-droitisation : une manière de disqualifier ses adversaires?
Saviez-vous que le sociologue, franc-tireur de l’actualité, l’abonné aux tribunes de débat et sérieux chroniqueur au Figaro chante Astérix est là en se rendant vers les plateaux de télé? Oui, la chanson de Plastic Bertrand, pur jus 1985. Vintage! Les paroles sont importantes, révélatrices peut-être? « Ça va faire mal, ça va cogner la bagarre. Seul contre les Dieux, contre l’odieux César…»
Mathieu Bock Côté serait-il alors l’Obélix du commentaire politique, véritable menhir de la résistance face aux légions wokes qui menaceraient la civilisation? Chose certaine, le brillant essayiste livre maintenant le combat chez les Gaulois, terre féconde de la résistance à ces « invasions barbares » contre lesquelles il n’a de cesse de nous mettre en garde. Franz Olivier Giesbert disait du sociologue québécois que sa « fusée était montée très vite » dans le ciel français. Pourrait-il choisir de ne plus jamais atterrir chez lui, au Québec?
Dans l’entretien, MBC dit redouter « devenir étranger dans son pays »… le Canada. À choisir, il fera donc le pari de Paris si la fenêtre référendaire devait se fermer pour de bon. Au menu de cette conversation riche; l’extrême droitisation de ceux qui ont une parole dissidente, la délation qui devient vertu, la tyrannie de la technocratie ET la quête de gloire! Il publiait cet automne, Le totalitarisme sans le goulag.
Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec