Extraits.
l’état final d’une décadence annoncée, est arrivé. Et ce qui était attendu est arrivé. Depuis trois jours, la confirmation de ce que la France n’est plus qu’une Rome décadente est intervenue, et nous sommes aux premières loges pour y assister.
Tous l’ont compris, à commencer par la mafia qui s’est décidée à nous gouverner, qui sait qu’il ne lui reste plus que trois ans pour gouverner, et qui, pris en une décadence abyssale, entourée de proxénètes, drogués et trafiquants avariés, a décidé de se défaire de toute limite et de tous ceux qui jusqu’ici les inhibaient.
Elisabeth Borne sortie contre sa volonté parce que « trop saine » pour ceux qui nous dirigeaient, Gabriel Attal aux dents de lait propulsé, nomme son ancien amant aux affaires étrangères qui admet avoir pour seule expérience « avoir voyagé », tout
Ce qui me fait le plus peur, c’est qu’ils n’aient que pour seule obsession le pouvoir et la reproduction du pouvoir, et que parmi leurs premières instructions, à peine celui-ci acquis, se soient glissées celles de cibler, viser, détruire, comme nous l’avonsp rouvé.
Comment justifier que le cabinet d’un premier ministre à peine nommé soit impliqué, dès le premier jour de sa désignation, dans une tentative d’intimidation contre un citoyen et avocat coupable d’avoir révélé ce qui était au sujet du chef de gouvernement à peine nommé, à savoir qu’au-delà de ne pas avoir d’expérience professionnelle, de n’avoir construit son parcours que sur le népotisme et la consanguinité, son seul diplôme avait été arrangé ?
Ceux qui pensent qu’on exagère n’ont pas idée de par qui ils sont gouvernés. L’enregistrement de la soeur du Premier ministre m’insultant et me menaçant, en pleine rue, en faisant référence à des affaires judiciaires dans lesquelles le premier ministre est impliqué jusqu’au cou, et qui constituent une aberrante instrumentalisation du judiciaire à des fins privées, n’est que la trace la plus superficielle d’un quotidien où il nous faut encaisser violences, pressions, intimidations et coups montés.
Combien savent, qu’en pleine place de l’Opéra, j’ai été, en plein jour, tabassé, et que toutes les images de vidéosurveillance de la place la plus surveillée de France aient été « effacées » ? Combien de journalistes se sont intéressés à la succession de coup montés qui ont pourtant fait l’objet de procédures judiciaires, dûment archivées ?
Combien font autre chose que de relayer la propagande de leurs maîtres, en un pays où la quasi-totalité des médias est achetée et entre les mains des proches de l’Elysée ?
Vous n’y croyez pas ? je vous donne un autre exemple, parmi tout ce qui, au quotidien, ne cesse de remonter. Coline Fay, citoyenne française de 26 ans détenue à Dakar pour avoir manifesté pacifiquement, devait être libérée le 9 janvier après deux mois de détention ordonnée politiquement, et expulsée. Son enfermement a été prolongé, sur instruction du nouveau gouvernement.
L’axe Paris-Dakar, responsable de soixante morts et de milliers de blessés a été touché, se pense renforcé au point de désormais ouvertement menacer.
Sommes-nous seuls ? Il vous appartiendra d’en décider. Mais notre combat ne repose pas pour cela. Il repose sur la vérité et la souveraineté. Lorsque nous étions une douzaine, auprès de Wikileaks, entourés d’appareils de renseignement qui voulaient nous dévaster, nous l’étions seuls. Et cela ne nous a pas empêchés d’avancer. Jusqu’à permettre, à bien des êtres, d’approcher de plus près la vérité, et de par conséquent s’émanciper. Bien des êtres, y compris les gilets jaunes, qui découvrirent, le 24 décembre 2018, par un leak que j’avais déterré, que la taxe carburant que le gouvernement nous avait vendue comme devant financer la transition écologique, n’allait être adoptée que pour financer le CICE, c’est-à-dire les exemptions d’impôts pour les plus favorisés.
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