12 mesures prêtes à appliquer
en plus de mettre fin au surfinancement biaisé
Les médias ont souvent fait état que les 3 universités québécoises anglophones bénéficient d’un surfinancement disproportionné par rapport aux autres. Droits acquis abusifs, traitement de faveur? Peu importe, cela a trop duré, et il convient que cela cesse.
Dans le même ordre d’idée, il serait souhaitable que l’État québécois procède à la francisation graduelle de ces 3 établissements avec l’objectif d’en faire des établissements francophones, dans le respect de la loi 96 qui affirme que la seule langue officielle du Québec est le français et que tout doit se faire dans cette langue, incluant l’enseignement et son financement.
Cette francisation doit être vue comme une absolue nécessité, une évolution normale de notre société vers un Québec, état unilingue français. C’est dans l’ordre des choses.
Si on en venait à avoir une forte proportion de latinos, devrait-il y avoir alors une université espagnole financée par l’État? Jamais de la vie! Le même principe doit s’appliquer.
Le gouvernement québécois a déjà commencé à corriger certaines lacunes en augmentant les droits de scolarité des étudiants étrangers. C’est un pas dans la bonne direction. Ne nous arrêtons pas en si bon chemin.
Où en sont les choses:
1- Augmentation des droits de scolarité des étudiants étrangers (fait)
2- Fin du surfinancement des 3 universités anglophones (à faire prioritairement)
3- Francisation des 3 universités anglophones (à faire concurramment)
Ci-dessus: l’une des 3 universités manufactures d’anglos se vante de l’être
Voici maintenant une bonne douzaine de mesures prêtes à appliquer visant à faciliter la transition vers le français de ces 3 universités:
- Tous les échanges entre l’administration et les étudiants seront offerts en français. Tous les services aux étudiants également, incluant avec le personnel enseignant. Les employés actuels capables de donner le service en français pourront rester en poste. Pas les autres.
- Le français prévaudra partout sur le campus: bibliothèque, laboratoire, affichage unilingue français, résidences pour étudiants, cafétéria, gymnase, équipes sportives, corridors. Tout le campus universitaire sera un laboratoire d’apprentissage de la vie au Québec en français pour préparer les non-francophones à leur nouvelle réalité.
- Pour être admis, les étudiants devront avoir réussi un cours de français parlé et écrit
- Pour avoir droit aux prêts et bourses, l’étudiant devra avoir réussi un cours de français parlé et écrit
- Les cours se donneront graduellement en français. Tous les enseignants francophones pourront enseigner en français par défaut dès maintenant.
- Les examens seront en français
- Les travaux, mémoires, essais, thèses pourront être présentés en français
- Le personnel universitaire incapable d’enseigner en français sera remplacé
- Chaque université sera affiliée à une autre francophone qui supervisera la transition en gérant les difficultés
- Tous les incidents et entraves au processus de francisation seront rapportés aux autorités qui disposeront de 48 heures pour y apporter un correctif
- Le surfinancement actuel sera réajusté au prorata et le surplus redistribué aux universités francophones
- Le principe de laïcité dont nous avons fait une maîtresse loi et l’une de nos valeurs distinctes, s’étendra à ces établissements: aucun signe religieux ostentatoire permis chez les étudiants (voile islamique, abaya revendicatrice, poignard sikh et turban, kippa juive, etc.) La neutralité sera de rigueur. Si c’est bon pour les enseignants, c’est bon pour les étudiants. La France avant-gardiste a même fait adopter une loi en ce sens cette année. Un enseignement fondamental à établir dans un établissement d’enseignement: la religion est affaire personnelle qui doit être confinée au lieu de culte et à la maison, pas dans l’espace public dont le campus.
Il est à souhaiter que commence cette transition bénéfique le plus tôt possible. Accordons-nous une période de 5 ans pour effectuer en douceur les changements requis au niveau du personnel et du contenu des cours.
Rions un peu: les 3 universités franciseront leur nom: McGill deviendra l’Université MC Gilles, Concordia deviendra l’Université Le Concorde et Bishop deviendra tout naturellement l’Université René… Lévesque!
À la télé, on voit souvent des reportages aux nouvelles où on demande l’avis de professeurs de McGill ou Concordia, qui étonnamment sont souvent des francophones. Ces derniers seront les premiers éclaireurs à effectuer la transition vers tout en français, à servir de guides et d’exemples positifs pour accélérer le processus.
Ci-dessus: faut le faire: photo officielle de l’Université McGill, qui montre un hindou sikh, une asiatique et des musulmanes voilées derrière, Il ne manque que le Noir de service. Aucune trace de Québécois de souche authentique!
Source: McGill anglicise et déquébécise à fond de train
Mais ils se reprennent ici faisant de la propagande wokiste avec 10 Noirs pour 1 Blanc:
Une fois cette transition réussie, on continuera sur cette lancée avec la francisation des hôpitaux et des mairies anglophones. Chacune d’elle se verra fusionnée avec la mairie francophone voisine qui l’englobera. De même pour les commissions scolaires et les cégeps. Aussi simple que ça! C’est dans ce sens que doit se diriger toute la vie au Québec.
Ci-dessus: Hôpital Saint-Mary’s
Jusqu’à présent, les universités anglophones se croyaient intouchables et toutes-puissantes du haut de leur tour d’ivoire, et non tenues d’avoir à rendre des comptes. Que le gouvernement les remette au pas au nom du peuple québécois majoritaire.
Ci-dessus: Hôtel de ville de Otterburn Park
Reprenons une par une le contrôle de toutes nos institutions.
Au Québec, c’est en français que tout doit se passer. Ceux qui sont en désaccord devraient avoir déménagé dans le reste du Canada depuis longtemps.
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Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec