#Hydroxychloroquine: LES CHIFFRES SONT INVENTES !Molimard et sa bande sont en passe de remplacer la call girl du Lancet gate

#Hydroxychloroquine: LES CHIFFRES SONT INVENTES !Molimard et sa bande sont en passe de remplacer la call girl du Lancet gate

Patrice Gibertie démonte la dernière étude (biaisée)  mise en avant par le Pr Molimard de Bordeaux pour s’attaquer à l’HCQ.

Molimard fait mieux que la Call Girl Ariane Anderson, il resuce les résultats des fameuses études RECOVERY ET DISCOVERY Et invente des chiffres dignes du Gorafi

L’auteur officiel Jean Christophe Lega a une convention avec Pfizer (n° de déclaration 23901319) ce monsieur est donc en conflit d’intérêts et son étude est de facto nulle et non avenue.

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S075333222301853X#bib20

MAIS COMMENT ONT ILS TROUVE LE % DE PATIENTS TRAITE  A L’HCQ? ILS LES ONT INVENTES

Non il ne s’agit pas de données officielles mais d’une INVENTION ; Ils sont partis du pourcentage de patients traités à l’HCQ dans des études choisies par eux puis ils ont fait une moyenne qui est devenu…le % de patients traités à l’hcq dans le pays.

Mais ces études n’ont jamais été représentatives des pratiques hospitalières!

Comment s’étonner qu’ils nous donnent des taux de traitement de 16% en France et 51% en Belgique ou 80% en Espagne

CES DIFFÉRENCES SONT INCOHÉRENTES ET PROUVENT LE CARACTÈRE FANTAISISTE DES CHIFFRES

Nous avons mené une revue systématique et une méta-analyse d’ études de cohorte pour estimer les taux de mortalité et la proportion d’exposition à l’HCQ chez les patients hospitalisés dans chaque pays représenté dans les études disponibles. Nous avons effectué une recherche documentaire pour identifier toutes les études publiées rapportant le nombre de patients sous tous les traitements examinés dans le cadre du COVID-19. Nous avons effectué une recherche dans Pubmed, du 1er décembre 2019 au 15 mars 2021, en utilisant les mots-clés « coronavirus », « coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère 2 », « SARS-CoV-2 », « nouveau coronavirus », « nCoV », « 2019- nCoV » et « COVID-19 » et « cohorte ». Depuis Pubmed, nous avons sélectionné les études selon les critères d’inclusion suivants : étude multicentrique, taille de l’étude ≥ 500 patients pour éviter l’effet centre, étude rapportant les traitements utilisés dans le COVID-19 et le nombre de patients traités avec ces médicaments . Les études incluant uniquement les patients recevant de l’HCQ, ayant reçu de l’HCQ à partir d’août 2020, et les patients déjà traités par HCQ pour des maladies auto-immunes ont été exclues, ainsi que les études menées dans des pays pour lesquels les données sur la mortalité manquaient

COMME DANS LE LANCET GATE LES CHIFFRES DONNES POUR ÉVALUER LE NOMBRE DE PATIENTS TRAITES A L’HCQ SONT TOTALEMENT FANTAISISTES COMME LE DÉMONTRE L’EXEMPLE BELGE

En France on apprend que 16% des hospitalisés ont été traités à l’hcq…..PIPO ils n’en savent rien , ils ont choisis deux études de référence portant sur 2285 patients …Ils en ont déduit 15,6% de traités à l’hcq pour 100 000 patients

En réalité de 10 à 80%, on n’en sait rien!

En Espagne ils nous disent que 83.5% des hospitalisés sont traités à l’hcq….Pourquoi cette différence? ON N EN SAIT RIEN

Tout part de là de 25 000 cas étudiés ils en déduisent ce qui s’est passé pour 104750

MAIS POUR LA BELGIQUE NOUS AVONS LES VRAIS CHIFFRES OFFICIELS ET LEURS DONNÉES SONT ENCORE UNE FOIS INVENTÉES / LES PREUVES

La démonstration de Véronique Baudoux

Véronique Baudoux

@VBaudoux

Il y a eu en réalité 4542 traités sur 19644 hospitalisés

Il y a eu pour la période concernée deux fois plus de patients traités à l’HCQ que dans la réalité (chiffres du ministère)

Les auteurs estiment ce nombre à 10.018. Comment l’ont-ils obtenu ? En se référant à l’étude nationale belge qui s’est déroulée jusqu’au 24 mai 2020.

De cette étude, ils ont extrait le taux de prescription d’HCQ de 51 % et ils l’ont appliqué à TOUS les patients hospitalisés (19.644) alors qu’en réalité, ce ne sont que 51% des 8910 patients inclus dans l’étude qui ont reçu l’HCQ, soit 4542 personnes

La première erreur méthodologique est donc de généraliser ce taux de prescription de 51 % extrait de l’étude à l’ensemble des patients belges hospitalisés pour covid. Car cela aboutit à un nombre de 10.018 personnes au lieu de 4.542. C’est une grosse différence !La question a été posée lors de la séance à la Chambre des Représentants du 16 juin 2020, et la ministre belge de la santé a répondu que 5.000 personnes avaient reçu l’HCQ en Belgique

Le 24 mai 2020, il y avait eu 17.357 patients hospitalisés pour covid en Belgique. Et 4.542 patients avaient reçu l’HCQ. L’ÉTUDE EN TROUVE DEUX FOIS PLUS QUE LA REALITE

À moins d’accuser Sciensano et la Ministre de la Santé belge de mentir, ce chiffre de 10.018 patients belges ayant reçu de l’HCQ est donc FAUX !

COMMENT ONT ILS TROUVE LE TAUX MOYEN DE SURMORTALITÉ LIE A L’HCQ? ILS L’ONT INVENTE

Il a fallu un an et demi pour publier cette étude annoncée en juin 2022 et dont les résultats ont changé à plusieurs reprises : 9 500 décès [1] , puis 16 000 [2] dans 8 pays et enfin 16 000 dans 6 pays [3] . Cette étude s’appuie sur deux données importantes dont l’interprétation est erronée.

La méthode est la même, partir d’études choisies et extrapoler avec des différences extravagantes (du simple au double pour la mortalité toute cause entre la France et ses voisins .

Le nombre de patients traités par HCQ pour COVID-19 pour chaque pays variait de 10 018 à 551 417, avec une exposition hétérogène variant de 16 % (France) à 84 % (Espagne). Les taux de mortalité ont été calculés à partir des données d’une (Belgique) [19] à 20 cohortes (USA) ( Fig. 2 ) [40] , [41] , [42] , [43] , [44] , [45] , [46] , [47] , [48] , [49] , [50] , [51] , [52] , [53 ] , [54] , [55] , [56] , [ 57] , [ 58 ] , [59] . La mortalité toutes causes confondues des patients hospitalisés variait de 6 % (Turquie) à 23 % (Italie) 

Mais ont ils utilisé ces études pour calculer une surmortalité? Non car il y aurait eu une sous mortalité!

   Le nombre médian de décès liés à l’HCQ en Belgique, en Turquie, en France, en Italie, en Espagne et aux États-Unis était de 240 (fourchette non estimable), 95 (fourchette 92-128), 199 (fourchette non estimable), 1822 (fourchette 1170-128). 2 063), 1 895 (plage de 1 475 à 2 094) et 12 739 (plage de 3 244 à 15 570), respectivement. Dans l’ensemble, en utilisant les estimations médianes de l’utilisation du HCQ dans chaque pays, nous avons estimé que 16 990 décès à l’hôpital liés au HCQ (plage de 6 420 à 20 294) sont survenus dans les pays pour lesquels des données sont disponibles

@VBaudoux

La principale étude parmi les 6 études espagnoles qu’ils ont utilisées (et la seule qui évalue la mortalité de l’HCQ (+AZI) conclut à une diminution de la mortalité dans ce groupe de patients (comme l’étude belge qu’ils utilisent, d’ailleurs)

Idem en Belgique , ils utilisent une étude mais cette dernière n’a pas vu la moindre surmortalité

la fumeuse étude française de la mortalité liée à l’#Hydroxychloroquine donne 240 morts virtuels de malades traités en Belgique avec ce médicament, alors que ces docteurs n’en dénombrent AUCUN !

Le chiffre de surmortalité lié à l’hcq est le même partout, il est complétement inventé : 11%

ILS L’ AVOUENT

Nous avons utilisé l’odds ratio (OR) pour la mortalité liée à l’HCQ estimée à partir d’une méta-analyse précédente d’ ECR (c’est-à-dire OR=1,11) [12] .

Les auteurs citent Axfors et al [11] et al insinuant que quelle que soit la posologie, l’HCQ seule est associée à une mortalité accrue. Cette interprétation est erronée, comme indiqué dans les compléments, ce risque n’existe pas à faibles doses. Cela a été confirmé par Ioannidis lui-même [12] .

DEUX PROBLÈMES DANS CETTE SYNTHÈSE/

1 Elle ne prend pas en compte les études favorables à l’HCQ, c’est à dire les plus nombreuses

2 Elle mélange des études avec dosage normal et d’autres surdosées et même toxiques

https://www.nature.com/articles/s41467-021-22446-z

Recovery et solidarity représentent 90 % du poids d’Axfors et al.  pour les études publiées prises en compte

LE CHIFFRE DE 11% DE SURMORTALITÉ EST DIRECTEMENT TIRE DE L’EXPERIENCE BRITANNIQUE RECOVERY (fichier ci dessous) et des expériences où il y a surdosage

Le traitement recovery c’est 10grammes d’hcq

Télécharger

Il provient de l’interprétation d’une étude qui reprenait les expériences RECOVERY ET SOLIDARITY pour lesquelles la dose d’hcq était…TOXIQUE ET 4 A 12 FOIS PLUS ELEVEE QUE CELUI PRESCRIT PAR RAOULT

En effet, les auteurs ont appliqué un taux moyen de surmortalité de l’HCQ tiré de la méta-analyse Axfors dont on sait qu’elle reprend des études dans lesquelles les dosages d’HCQ sont nettement supérieurs aux dosages utilisés en Belgique.

Etude anglaise Recovery :ils ont assassiné les cardiaques …

Publié le 9 octobre 2020 par pgibertie

La grande étude anglaise  Recovery posait problème, nous en savons plus ; ils ont assassinés les cardiaques ! Cest ce que nous apprennent de nouvelles données …Leur dose d’HCQ était 12 fois plus forte que ce qui est conseillé dans le Royaume Uni (200mg jour): https://www.medicines.org.uk/emc/files/pil.11516.pdf

Rappelons que l’hydroxychloroquine est efficace dès les premiers symptômes, ensuite il faut préférer anticoagulants et stéroïdes.

Elle permet d’éviter l’intubation c’est son intérêt.

Les malades de Recovery étaient. avant de recevoir l’hydroxychloroquine :

Malade en moyenne depuis 9 jours
sous oxygène pour 77% d’entre eux et un sur six déjà intubé

L’hydroxychloroquine ne doit pas être donnée aux cardiaques , un électrocardiogramme est nécessaire . Nous constatons que  les malades anglais étaient non seulement affaiblis mais pour 27% d’entre eux l’hydroxychloroquine posait problème.(422 sur 1561). Aux cardiaques s’ajoutaient des posologies contre indiquées : 119 et 8% surtout des insuffisances rénales sévères.

AU MOINS UN TIERS DES MALADES NE POUVAIENT PAS RECEVOIR DE L’HYDROXYCHLOROQUINE  EN TOUS CAS PAS A FORTES DOSES 

Nous continuons donc de penser qu’un surdosage d’hydroxychloroquine dans l’essai Recovery a potentiellement entraîné une grande toxicité dans les 3 premiers jours de traitement, même si de façon peut-être moins spectaculaire que dans l’essai brésilien, masquant son activité bénéfique. En fait, il y a probablement eu, avec de nombreux arrêts de traitement, également des décès toxiques difficiles à élucider car le surdosage de l’HCQ entraîne une défaillance respiratoire aiguë tout comme le Covid-19 !

Une réalité sur laquelle les auteurs de l’essai restent très discrets, pour ne pas dire muets ! Ils préfèrent attirer l’attention sur la mesure de l’arythmie cardiaque mieux connue des médias et donc du public en se couvrant à l’avance de toute tentative d’enquête de ce côté en spécifiant que l’essai Recovery n’a pas collecté d’informations physiologiques ou d’électrocardiogrammes : «We did not collect information on physiological, electrocardiographic, laboratory or virologic parameters. » Cependant, la présence de défaillance respiratoire dûe à la toxicité de l’HCQ serait donc bien en cohérence avec leurs résultats qui indiquent que les patients sous HCQ avaient 12% de chances en plus de passer en soins intensifs sous assistance respiratoire mécanique, entraînant ainsi des chances accrues de décès.

https://www.francesoir.fr/societe-science-tech/oxford-etude-recovery-ou-sont-passes-les-morts

Axfors et al [13- Suppléments Tableau S3] ont constaté une augmentation du risque de 12 % uniquement pour l’HCQ à forte dose (récupération, sollicitude, plafond de remappage), dans 3 études impliquant 6 711 patients. Le groupe HCQ à faible dose (23 études, 3 301 patients) n’a réduit ce risque que de 1 %, alors que le RC était de 0,97 (0,71, 1,30). il est impossible que l’HCQ à faible dose entraîne un excès de risque de 11 %, risque non démontré par un grand nombre d’études observationnelles (HCQ à faible dose). L’ICMR d’Inde a mis en garde l’OMS contre les doses élevées de récupération .

Ils ont osé! Utiliser la surmortalité provoquée par un surdosage toxique (4 à 12 fois les recommandations d’hcq) puis multiplier ce taux par un pourcentage bidonné de patients traités à l’hcq, le tout multiplié par le nombre bidonné de morts de la covid afin d’obtenir le chiffre exact de victimes de l’HCQ.

Selon le Vidal il n’existe pas de posologie supérieure à 600g par jour

Cette étude est entre autres financée par la Fondation Bill Gates, qui subventionnait également l’hôpital Brigham and Women’s à Boston( Lancetgate).

Les doses d’hydroxychloroquine données aux patients au protocole de l’étude Recovery, sont de 2400mg HCQ dans les premières 24h et 9600mg d’hydroxychloroquine pour l’ensemble du traitement. L’AMM en France considère le taux de surdosage est de 25mg/kg de HCQ soit pour un patient de 75kg, 1875mg pour une journée et impose une hospitalisation au service d’urgence. Cette posologie dans l’essai français hors AMM est de 600mg par jour pour un adulte testé positif au SRAS Cov2.

Le professeur Perronne dit :
« la dose maximum autorisée par l’AMM (Autorisation de mise sur le marché) est de 3 comprimés à 200 mg par jour. Avec Recovery, c’est 12 comprimés le premier jour »

4 fois la posologie normale pour des cardiaques

Il y a eu 421 décès sur 1551 ( dont 422 à problèmes)

La dose de 2,4g sur 24h de Recovery est bien un surdosage et non une dose de charge.

L’ Hcq a une biodisponibilité élevé de 80% (taux disponible du médicament) atteinte en 3h
Sa demi vie est à 40 jours en moyenne
Sur une dose de 2,4g en 24h la biodisponibilité du médicament sera de 1,92g bien au dessus du seuil de surdosage… 

1,92g le 1er jour
2,56g le 2eme jour
3,2g le 3eme jour
4,48g le 5eme jour
7g le 9eme jour

La faible toxicité cardiaque de l’HCQ semble ne pas être responsable de mortalité dans les premiers jours

Par contre il est clair que le surdosage, sur des patients Covid19 hospitalisés en ventilation mécanique (40%) déjà sous thérapeutique et particulièrement affaiblis, a causé une aggravation lente de l’état de santé des patients causant une létalité insidieuse les jours suivants. 

il est évident que le mécanisme de surdosage habituel ait été enclenché:
Toxicité systémique neurologique: céphalés vertige agitation, atteinte oculaire…
Puis signes de toxicité plus grave: Convulsions, nausées, vomissements, arrêt cardio/respi, Hépatite fulminante, TDP… 

Il est tout simplement incroyable qu’aucune donnée sur de possible surdosage ne soit disponible. Seuls, des relevés cardiaques ont commencé 2 mois après l’inclusion du 1er patient, soit 3 semaines de mesures sur presque trois mois d’essai! 698 mesures sur 1561 patients (45%)

Le Royaume-Uni est à ce jour le troisième pays le plus endeuillé au monde par la pandémie.

Les auteurs de l’essai (Peter Horby et Martin Landray) tentent de couvrir une faute inqualifiable dans le bras hydroxychloroquine. Des résultats cachant la réalité, des fautes impardonnables dans les documents, l’auteur du document principal de l’étude Recovery (essai clinique britannique) est le Dr Hayden historiquement proche de Gilead ayant pris à plusieurs reprises la défense du Remdesivir (médicament opposé à l’hydroxychlorique et ayant été récemment approuvé par l’Agence Européenne du Médicament sans évidence de bénéfice thérapeutique avec des effets secondaires très nocifs). L’étude Recovery ouvre un nouveau chapitre des médecins fous.

Les auteurs n’ont pas indiqué le schéma thérapeutique utilisé dans les différents hôpitaux. Ceci est préoccupant car les seuls essais cliniques faisant état d’une tendance à la nocivité (sans signification statistique) ont utilisé des doses totales beaucoup plus élevées que dans le cadre d’un usage compassionnel. Extrapoler un effet cardiotoxique putatif sans tenir compte de l’effet établi dépendant de la concentration de la chloroquine est erroné.

la majeure partie du poids de la méta-analyse d’Axfors provient d’essais cliniques à fortes doses (Recovery /SOLIDARITÉ). Avez-vous procédé à une comparaison du modèle que vous proposez avec les résultats réels des études incluses dans votre analyse pour valider sa pertinence ? 

LA METHODE DE L’ETUDE

ON prend un taux de surmortalité hydroxychloroquine provenant de doses toxiques 12 fois plus élevées que celles prescrites

On le multiplie par un pourcentage de patients traités à l’HCQ totalement inventé

On le multiplie par le nombre de décés covid

ON ARRIVE A UN RÉSULTAT REPRIS PAR LES MEDIA

Source : PGibertie

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À propos de l'auteur Profession Gendarme

L'Association Professionnelle Gendarmerie (APG) a pour objet l’expression, l’information et la défense des droits et intérêts matériels et moraux des personnels militaires de la gendarmerie et de toutes les Forces de l'ordre.Éditeur : Ronald Guillaumont

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