Maître,
1) Pourquoi cette nouvelle étude sur les injections à ARN messager intitulée N1-methylpseudouridylation of mRNA causes +1 ribosomal frameshifting, parue dans la revue Nature en date du 6 décembre 2023 (https://www.nature.com/articles/s41586-023-06800-3), est inquiétante ?
Cette nouvelle étude réalisée par de de nombreux chercheurs démontre que nos concitoyens « vaccinés » à l’ARN messager anti-COVID se sont fait injecter des informations génétiques ordonnant aux cellules composant leur corps de produire d’autres éléments biologiques (protéines) que ceux correspondants à ce qui était annoncé par leurs fabricants et les autorités sanitaires européennes et françaises.
On ne connait pas les raisons pour lesquelles ces protéines inconnues ont été programmées par les fabricants de « vaccins ».
Aucun contrôle du codage génétique n’a été réalisé avant injection.
De nombreuses autres études démontrent les possibilités innombrables de modification du codage génétique des ARN messager notamment celle-ci :https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34960236/
(voir particulièrement figure 8).
Le graphique de l’étude Danoise qui a constaté au minimum trois types de lots, illustre ces manipulations du codage génétique à l’insu des vaccinés (https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/eci.13998) :
2) Pourquoi cette nouvelle étude peut non seulement aider les vaccinés souffrant d’effets secondaires mais aussi l’ensemble des personnes vaccinées ?
Cette nouvelle étude démontre qu’il y a eu une grave tromperie sur les codages génétiques injectés : le codage de l’ARN messager injecté a été manipulé. Cette manipulation ne peut pas être le fruit du hasard : elle est forcément intentionnelle. Cette tromperie, qu’il y ait effet indésirable ou pas, permet à tous les injectés de déposer plainte afin de demander réparation de leur préjudice que ce soit pour leurs effets secondaires ou pour le fait que, sans leur consentement, et sans même qu’ils ne le sachent, ils ont reçu des ARNm dont le code génétique peut être modifié. N’est ce pas une manière détournée de transformer petit à petit, l’être humain en un mouton obéissant, sans qu’il n’en soit conscient, ou, par la suite, en robot humanisé ?
Robot ou non, il y a lieu de rappeler que le dernier rapport accessible facilement au public, de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (A.N.S.M.) de mai 2023, indique que sur 156.711.100 injections, 193.571 cas d’effets indésirables ont été déclarés, soit une déclaration sur 809 injections dont 25% (48.392) graves !
Il faut savoir que le vaccin contre la grippe donne lieu à une déclaration pour 1.000.000 d’injections, soit 1.236 fois moins élevé, et que, auparavant, toutes les campagnes vaccinales avaient été arrêtées dès que l’on enregistrait quelques dizaines d’effets secondaires graves.
Or, la 1ère chose que font nos responsables de santé publique, est de consulter régulièrement le site de l’A.N.S.M. Les journalistes peuvent le faire également.
Alors que penser lorsque les politiques et les grands médias nous rabâchent qu’il n’y a pas d’effets indésirables, alors qu’ils savent très bien que, pour la 1ère fois dans l’histoire de la vaccination, le nombre d’effets indésirables est colossal ? Et ceci d’autant plus que l’A.N.S.M. indique que, comme très peu de victimes font la déclaration à la pharmacovigilance, elle n’a connaissance, au mieux, que de 10% de la réalité !
3) Concrètement, comment les vaccinés peuvent-ils agir ?
Les vaccinés souffrants d’effets secondaires ou ceux se sentant trompés par la manipulation génétique opérée sur les ARN messagers qui leur ont été injectés et qui sont inquiets des effets délétères que peuvent engendrer sur leur santé à moyen et long terme ces manipulations, peuvent télécharger le modèle de plainte ci-jointe rédigée par un groupe de juristes et de scientifiques.
Ils peuvent ensuite l’adresser directement à Madame, ou Monsieur le procureur de la République. L’adresse à renseigner est celle du Tribunal Judiciaire dont le vacciné dépend.
Il est préférable d’envoyer sa plainte en courrier recommandé avec avis de réception afin de pouvoir prouver la date de réception.
Si aucune réponse n’est reçue au bout de trois mois (instruction), il sera alors possible pour le vacciné souhaitant obliger la justice à enquêter, d’adresser sa plainte au Doyen des juges d’instruction afin d’obliger l’instruction (l’intervention d’un avocat à ce stade n’est pas obligatoire mais conseillée).
Une caution proportionnelle à ses revenus lui sera demandée, caution qui lui sera restituée en fin de procédure.
4) Qui peut saisir la justice concernant ces faits révoltants ?
Je veux insister sur le fait que n’importe quelle personne s’estimant simplement trompée par cette campagne de vaccination anti-Covid-19 peut déposer cette plainte. Il n’est pas nécessaire de justifier d’un quelconque effet secondaire. Car l’enjeu se situe ici bien au-delà : nous ne pouvons pas laisser davantage nos institutions médicales valider une telle pratique mettant en jeu les intérêts fondamentaux de la nation et l’intégrité de chacun, ainsi que de l’espèce humaine.
Note de la rédaction de Profession-Gendarme :
Nous vous invitons à lire notre publication du 31 décembre 2023 sous le titre suivant et concernant la tromperie par la manipulation génétique opérée sur les ARN messagers qui vous ont été injectés : MANIPULATIONS CODAGE GÉNÉTIQUE ARNm VACCINAL NOTAMMENT anti-COVID19
Modèle de Plainte a télécharger sur le lien suivant ou ci-dessous (25 pages au format .pdf : https://www.profession-gendarme.com/./wp-content/uploads/2023/12/document-Plainte-1.pdf
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