On croyait que c’était enfin fini. Mais TF1 remet le couvert…
Une raison de plus de ne plus avoir de télé.
Marseille, de Pagnol à Soprano
Mon histoire débute à Marseille. La ville qui a servi de laboratoire au « vivre ensemble ». C’est vrai que ça sonne mieux que « on va vous grand remplacer par le tiers monde ».
Ça commence par l’avenue la plus sale du monde : la Canebière. Entrelacée de petites ruelles occupées par diverses communautés qui semblent s’être lancées le défit d’avoir la rue la plus dégueulasse. Parmi elles, les Comoriens remportent la partie haut la main. Aucun ne parle français, ou très peu. Et ne vous aventurez pas dans ces lieux immondes, vous sentirez rapidement que vous êtes de trop. Sans oublier le bruit et l’odeur… Bon, il y a quand même un avantage. On est pas près d’y voir défiler la Gay Pride.
En bas de la Canebière se trouve le fameux Vieux Port. Mais la poissonnière qui arnaquait les touristes a disparu, remplacée par un kebab à l’hygiène douteuse. Tout comme les bistrots où l’on entendait jadis chanter l’accent du Sud. D’ailleurs, on commence à croire que ce n’est pas une sardine qui a bouché le port, mais un mouton halal. Plus haut, au quartier de La Plaine, on y brasse les pires parasites de la ville. Un véritable centre de concentration de gauchistes en tout genres. Bobos en sandales, pseudo-artistes ratés, toxicos, connards crades malpolis sapés comme des sacs à merde et même des fils de pute qui sont tout ça en même temps.
Au Prado, on protège les luxueuses villas de la mixité sociale à l’aide d’un mur aussi imposant que celui de Jérusalem-Est. Les caméras en plus. Ça permet de voter à gauche l’esprit tranquille. Ou à droite, c’est pareil.
Finalement, l’endroit ou l’on peut vivre à peu près correctement reste les quartiers Nord. Je ne dis pas ça parce que j’y suis né, mais les cités problématiques ont été pacifiées grâce au trafic de drogue. Nettement plus efficace que n’importe qu’elle politique répressive qui consiste surtout à emmerder les automobilistes. Dans certains immeubles, comme à la Castellane dans le 15e arrondissement, si chère à Zidane qui s’en tient bien loin depuis, il y a même un magasin pour acheter ton shit et ta coke. Je crois même qu’ils prennent la carte bleue, mais je ne sais pas s’ils la rendent. De temps en temps, il y a un petit règlement de compte à la Kalachnikov, mais tant qu’ils se tuent entre eux ça arrange un peu tout le monde.
De Bassens au Panier
Pour mon premier boulot, j’ai découvert Bassens. La cité la plus pourrie parmi les cités les plus sordides. Même la Tchétchénie ancienne version c’est Monte-Carlo à côté. J’ai encore en tête le gamins de 2 ans qui se pisse dessus, tout seul au milieu des débris, en face d’un immeuble qui a complètement cramé. Il était tellement sale que même un pédophile affamé n’aurait pas voulu le toucher de peur de choper une maladie du Moyen Âge. Sa mère l’avait probablement balancé dehors juste après l’avoir accouché. Les gueules des habitants étaient toutes tordues et arboraient des restes de dentition. La civilisation a foutu le camp, il ne reste plus qu’à fuir avec elle.
Direction le Panier, le quartier le plus ancien de Marseille. Celui qui fait fantasmer les bobos et les cons qui se branlent sur Plus belle la vie, avec ses pédés, ses faux accents et ses pseudo-acteurs foireux. S’imaginant que c’est un reportage style Strip-tease. Le Panier, c’est le centre d’Alger, mais avec plus d’Algériens. Je n’ai pas vu un Blanc. Mais j’ai vu de la merde. Encore et toujours.
Il fut un temps, Marseille c’était Pagnol et Fernandel. Aujourd’hui c’est Jul et Soprano. Les rappeurs les plus débiles que le monde infect du rap a pu chier. Le chant des cigales a été remplacé par le bruit des moteurs diesel entassés dans d’interminables embouteillages. Même l’accent a changé. Un espèce de mélange de baragouinages gitans, arabes et de mecs qui ne savent pas parler français.
La réalité, c’est que les Marseillais n’habitent plus à Marseille, parce que Marseille, ce n’est plus la France. Pour en trouver, il faut aller dans l’arrière-pays provençal, les Alpes ou le Sud-Ouest. La faute au vivre ensemble forcé, à l’insécurité, à la saleté générale, à la pollution, à la flambée des prix de l’immobilier et à l’impossibilité d’avoir un logement social avant une famille de Maliens ou de Roumains. Merci au TGV qui ajoute les bobos parisiens aux chances pour la France. Marseille est invivable. Marseille rend fou.
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation