C’est la série infernale ! Tout le monde tombe pour des histoires de drogue, de cul, d’inceste, de viol ou de violences à Sciences Po ou quoi ?
Terrible est le destin de cette école de fils et de filles à papa. On parle de la hiérarchie, mais à la base, c’est pas mieux : c’est quasiment woke à tous les étages.
Décidément, on se met à la place des parents qui déboursent 13 000 à 18 000 euros par an (13 pour le Bachelor, soit un bac+3, et 18 pour le master, un bac+5) pour acheter un beau diplôme à leurs rejetons (en tablant sur un bon salaire de sortie), et qui se retrouvent avec des scandales de mœurs à n’en plus finir.
Cette fois-ci, après la démission de Frédéric Mion pour avoir planqué les histoires d’inceste du grand patron Olivier Duhamel, il y a tout juste deux ans (le pauvre a même pas fini son Bachelor de dirlo), au tour de son successeur Mathias Vicherat de dégager, suite à une histoire de violences conjugales.
Mais n’allons pas trop vite, Mathias n’est pas encore en taule : sa femme l’accuse de violences, certes, mais lui aussi accuse sa femme de violences conjugales. C’est de pire en pire, ces affaires MeToo, bonne chance à la justice pour démêler le vrai du faux.
Si on a l’air de se réjouir de voir le Vicherat dégringoler, parce que le mec coche toutes les cases qu’on n’aime pas trop, rapport à la formation de pseudo-élites ultra formatées, on n’entre pas dans les bastons de couples.
Cependant, c’est sous Vicherat que les frais de scolarité ont explosé, avec une augmentation brutale de 7,5 % en 2023, ce qui a mis les syndicats étudiants en PLS. En réalité, les familles dites modestes paieront 14 000 euros par an pendant trois ans, les plus aisées 20 000 euros. On approche doucement des tarifs de l’université américaine… Il y a bien sûr un système de bourses, mais la Macronie, spécialiste de la paupérisation des étudiants, a rogné à mort sur les montants.
Sous Descoings, l’école avait tenté de tendre la main aux étudiants pauvres des banlieues, mais c’était une énième filouterie socialiste tendance SOS Racisme. Naturellement, grosse pub d’image pour pas grand-chose derrière, à part, encore une fois, la copie du pire des Américains, à savoir l’« affirmative action ».
Personne ne connaît Vicherat à part les étudiants et les gros lecteurs d’E&R, ceux qui ont la moyenne ! Heureusement, on a pensé à tout, voici le portrait craché par E&R du Mathias en question.
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation