Kiev s’est mis d’accord avec le fils de George Soros sur l’enterrement en Ukraine de déchets chimiques — Sputnik Afrique

Kiev s’est mis d’accord avec le fils de George Soros sur l’enterrement en Ukraine de déchets chimiques — Sputnik Afrique

L’enquête a été effectuée par le journaliste Jules Vincent qui a contacté un représentant du ministère de l’Ecologie et des ressources naturelles d’Ukraine.

Jules Vincent a publié une enquête concernant l’accord entre les autorités ukrainiennes et Alexander Soros.

Cet accord autorise l’enterrement dans les terres noires d’Ukraine des déchets chimiques des sociétés liées au financier Georges Soros.

“ Conformément aux documents reçus, 400 kilomètres carrés de terres ukrainiennes seront utilisées pour enterrer des déchets chimiques toxiques produits par les sociétés chimiques, pharmaceutiques et pétrolières américaines et européennes à savoir : Dow Chemical, DuPont, BASF, Evonik Industries, Vitol, Sanofi ”, écrit le journaliste sur X.

D’après M.Vincent, le ministère ukrainien lui a demandé d’attirer l’attention des européens sur ce sujet qui, selon lui, pourrait avoir « un impact irréversible sur l’écologie de son pays et de toute l’Europe ».

© Photo unsplash

»» https://fr.sputniknews.africa/20231202/kiev-sest-mis-daccord-avec-le-f…

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« Journal Militant d'Information Alternative » « Informer n'est pas une liberté pour la presse mais un devoir »C'est quoi, Le Grand Soir ? Bonne question. Un journal qui ne croit plus aux "médias de masse"... Un journal radicalement opposé au "Clash des civilisations", c'est certain. Anti-impérialiste, c'est sûr. Anticapitaliste, ça va de soi. Un journal qui ne court pas après l'actualité immédiate (ça fatigue de courir et pour quel résultat à la fin ?) Un journal qui croit au sens des mots "solidarité" et "internationalisme". Un journal qui accorde la priorité et le bénéfice du doute à ceux qui sont en "situation de résistance". Un journal qui se méfie du gauchisme (cet art de tirer contre son camp). Donc un journal qui se méfie des critiques faciles à distance. Un journal radical, mais pas extrémiste. Un journal qui essaie de donner à lire et à réfléchir (à vous de juger). Un journal animé par des militants qui ne se prennent pas trop au sérieux mais qui prennent leur combat très au sérieux.

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