Nous avons eu l’honneur de recevoir Vincent Mc Doom à l’occasion de la réédition de son livre « L’homme que je suis ». Rejeté dès sa naissance au sein d’une fratrie de 21 frères et sœurs, Vincent, différent des autres, est élevé dans un environnement catholique par sa grand-mère paternelle, surnommée affectueusement « Mama Fa ». Il se voit confronté à un destin tragique à l’âge de 9 ans, victime de viol par son oncle.
mise à jour le 30/11/23
Vincent Mc Doom, au-delà des paillettes, partage son histoire de la rue à la mode. Engagé, franc, et prêt à défendre ses convictions.
Malgré ces épreuves qui s’enchaînent les unes après les autres, son rêve persiste, un rêve incarné par la tour Eiffel, Paris, et le monde de la mode. Son chemin le conduit d’abord à arpenter les cages d’escaliers et le métro parisien, une épreuve initiale qui mène finalement à rencontrer les personnes qui changeront sa vie. Son parcours, une véritable épopée, témoigne d’un combat acharné. Loin de se contenter des paillettes et des moulures au plafond, sa franchise reste intacte, son engagement en faveur des enfants occupe une position centrale, et il n’hésite pas à critiquer ouvertement des figures publiques telles que Jean-Marc Morandini, Gabriel Matzneff ou Jack Lang. Il aborde sans réserve des sujets sensibles, tels que la communauté LGBT, qu’il qualifie de « communauté alphabet », et dira “Je n’ai pas besoin d’être dans la rue avec une plume dans le cul, dans la Gay Pride, en train de dire que je suis différent.” Vincent exprime aussi son désaccord face au transsexualisme, qu’il perçoit comme réellement préjudiciable pour les enfants. “On est en train de voir cette imposition aux enfants… La place d’une travestie, la place d’une drag queen, la place de ces personnes-là n’est pas dans une école. On envoie un enfant à l’école pour apprendre les mathématiques et d’autres matières.” On vous laisse avec Vincent qui risque d’en décoiffer plus d’un !
Source : Le Média en 4-4-2
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