Antigauchiste, le clip !
Vingt-deux, revoilà Mathilde ! Après avoir dénoncé le retour de Hitler (sur les murs) pendant la promenade de Poupette, la féministe antifa chante. Elle chante la douleur des femmes, la douleur des harcelées, des grosses, des moches, c’est son créneau, on n’invente rien. Ses coordonnées dans la Matrice sont : grosse, féministe, antifasciste. Tout ce qu’elle peut dire entre dans cette triangulation.
Pour celles qui ont bien voulu apparaître sur son clip (on reconnaît Garrido et une victime de malotru), elle chante l’Hymne des femmes. Puisqu’on est dans la fragmentation et la corporation, cela appelle un hymne des hommes, puis des homos, des gros, des minces, des petits, des riches, des pauvres… Des pédos aussi ?
Un hymne des catégories socio-professionnelles (CSP) plus et moins, des pêcheurs à la ligne, des mangeurs de roquefort, des fumeurs de crack, des adorateurs de Mbappé, des amateurs de grosses, des casseurs de couilles… Un hymne des individus, des organismes, des organes, des tissus, des cellules, des molécules, des atomes au bout du compte (c’est du bouddhisme) ?
La chanson
La choré
Gauchisation = déstructuration
Nous sommes allés voir les commentaires sur son TikTok, c’est à peine imaginable. Échange situé à droite de la vidéo :
Mathilde : Solidarité avec toutes les victimes d’homophobie et d’antisémitisme.
Lolarockab : il y a une montee en puissance de l’intolérance et des violences je trouve. ça m’effraie assez.
Mathilde : Je comprends
Maureen : Je sors à peine du récit autobiographique d’une survivante des camps, ma lecture me hante depuis 3 jours. Je suis à deux doigts de chialer devant ça
Mathilde : Je comprends.
Incroyable ce que le gauchisme a pu démolir comme cerveaux innocents. Très efficace sur les structures mentales, ce poison, quand même. Bravo aux empoisonneurs, ils ont fait du bon boulot !
Du côté des empoisonnés, il y a ceux qui se sont laissé détruire, ceux qui ont résisté, plus ou moins bien, et ceux qui ont contre-attaqué. Chez certains, il reste des morceaux de gauchisme mal digérés ; chez d’autres, il n’y a plus rien à faire.
Mathilde, par exemple, est gauchisée à 100 % (d’où sa fierté limitée et sa totale absence de conscience politique hors du cadre gauchiste autorisé), c’est-à-dire déstructurée. Son discours peut être remplacé par une IA. D’ailleurs, la propagande médiatico-éducative (le combo merdias-ÉducNat) qui a modifié sa structure mentale et qui a formaté son discours est une IA. Mathilde est une machine, programmée, prévisible, mais aussi désastreuse, pour elle et pour son environnement : elle rejette du matin au soir (le nombre de ses vidéos agressives est effarant) le poison que le combo lui a injecté. Un rejet à sa sauce personnelle, bien sûr, qu’elle pense être du talent.
C’est là l’extrême vice de l’idéologie gauchiste : faire croire à ceux qui en sont atteints qu’il s’agit d’une supériorité mentale, alors que c’est le contraire. Finalité orwellienne : la maladie devient la voie de la guérison, le salut. Oh les malins ! Le Diable a un QI de 350, mais complètement tordu.
Sauver Mathilde ?
Il est quasiment impossible de déprogrammer un gauchisé à 100 %. Il mourra gauchiste, après avoir fermé les yeux sur les contradictions qui vont nécessairement jaillir dans son existence (on pense au couple bobo qui enseigne l’antiracisme à son enfant unique qui se fait racketter à la sortie du collège). Car le réel viendra constamment mettre en défaut sa structure mentale, ou ce qu’il en reste. Cela s’appelle une souffrance existentielle, due à une mauvaise carte mentale du réel.
Pourquoi il est important de connaître les lois physiques ? Pour ne pas mourir bêtement (tomber dans un ravin, par exemple, ou traverser une autoroute à pied). De la même façon, connaître les lois humaines permet de ne pas souffrir inutilement. Las, le gauchisme les nie pour imposer ses propres lois – les droits des minorités –, qui ne marchent pas.
On n’a évidemment rien contre Mathilde, qui chante sa souffrance, c’est-à-dire son décalage par rapport au réel, une pathologie non répertoriée qui s’appelle gauchisme. Le gauchiste est par essence inadapté : le comble, c’est de devoir refuser une partie du réel pour sauvegarder sa structure mentale. D’où son inextinguible besoin de gauchiser les autres, et de considérer que seul le gauchisme est viable, n’y voyant aucune contradiction avec les pires thuriféraires du totalitarisme. Pour survivre en effaçant le doute, le gauchiste devient donc forcément totalitaire et contagieux.
Si le mal au dos est le mal du siècle, alors le gauchisme est la maladie mentale du siècle, celle qui nous mène tout droit à la décivilisation, à la barbarie, à la guerre fratricide.
Après Willy, sauvez Mathilde !
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Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation