Pour dénoncer la politique économique désastreuse du couple Bornstein-Macron, le petit Tanguy était très bien. Depuis qu’il représente le RN sur le conflit IP (israélo-palestinien), c’est la cata.
Le présentateur revient sur l’arnaque de la com’ israélienne qui a fait croire que l’hôpital al-Shifa cachait des armes de destructions massives du Hamas, on exagère à peine, et qui a retrouvé trois pétoires dans les sous-sols. Tanguy rétropédale alors…
BFM : « Est-ce que votre soutien est toujours aussi inconditionnel ? »
Tanguy : « Nous, nous n’avons jamais eu de soutien inconditionnel, ça n’a pas beaucoup de sens. Un soutien inconditionnel, ça c’était la présidente notamment de l’Assemblée nationale, madame Braun-Pivet. Nous on soutient les Israéliens et le gouvernement israélien face à une attaque terroriste, face à un mouvement terroriste, Israël est une démocratie, c’est notre allié, il a le droit de se défendre, ils se défendent. »
BFM : « Jusqu’à un certain point ? »
Tanguy : « Nous n’avons aucune raison de penser qu’ils ne respectent pas ce que nous devons tous respecter, y compris la France d’ailleurs quand elle est en conflit, c’est le droit international, c’est le droit de la guerre, c’est le droit humanitaire.
Aujourd’hui, on n’a aucun élément qui permet d’apprécier si Israël ou pas n’a pas respecté ces différents droits internationaux. Nous, nous pensons pour le moment qu’ils le respectent, et la grande force je le rappelle de la démocratie israélienne c’est que si malheureusement il devait y avoir des accidents ou un non-respect de ce droit, il y aurait des enquêtes en Israël…
Dans tous les conflits précédents, Israël a été capable de mener des enquêtes, de sanctionner des officiers ou des femmes et des hommes politiques qui avaient eu des mauvais comportements, ce qui n’est pas le cas évidemment du Hamas, qui ne sanctionne personne et qui commet des horreurs ou des atrocités… »
Le mensonge israélien est contagieux. Même sur BFM, qui est pourtant expert en la matière, devant le delirium de Tanguy, on a la mâchoire qui tombe.
Les journalistes commencent à prendre la mesure du massacre, et certains n’ont pas attendu les débordements sanguinaires et génocidaires de l’armée israélienne pour s’opposer à un récit unique, celui de la défense de la démocratie israélienne.
C’est le cas du journaliste de TV5 Monde, Mohamed Kaci, devant le responsable du mensonge israélien à la télé française :
Aujourd’hui, les journalistes sont à la croisée des chemins : Israël est allé trop loin dans son expansion dévastatrice, écrasant les droits humains, montrant son vrai visage, celui de la haine biblique.
Devant cet état de faits, qui sont indubitables, des journalistes mainstream commencent à douter. Certains rétropédalent, d’autres deviennent plus prudents dans leur défense inconditionnelle de la politique israélienne.
C’est le moment de vérité, là où il faut choisir entre la résistance et la collaboration, l’avenir et le néant, la gloire et la dégradation nationale.
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