De façon global, Soral a raison (le concret, l’Anglaise).
Par contre, je ne m’acharnerai pas sur Franck Ropers. Ce gars essaye de faire des choses positives (santé, développement personnel, prévention). Après on pourra dire : c’est du business. Ce que sont les arts martiaux, etc. Mais en ce monde qu’est-ce qui n’est pas business ? Ensuite, Franck Ropers vend-il de la mauvaise marchandise ? Ben, il propose des activités pour différents publics. Avec les années, je me suis désintéressé un peu des arts martiaux / self défense / sports de combat, notamment pour raison de santé. Et aussi parce qu’il m’a semblé assez tôt que c’était une question d’individu : soit pour être champion, soit comme combattant de rue (où les poings sont effectivement le plus importants). Donc, ça dépend pour qui. Aussi la mentalité dans ces activités (arts martiaux / self défense / sport de combat) n’est pas très engageante (disputes évitables, polémiques, coups bas : c’est le cas de le dire). Pour ce qui me concerne, le « mytho jitsu », tout devient mytho en ce monde : la guerre, l’Histoire, le sport, le showbiz, TOUT. Tout est supercherie. Même le MMA. Il suffit d’aller sur YouTube et de voir les bagarres réelles et brouillonnes aux couteaux, battes, entre sauvages, non experts : le pratiquant de sport de ring se fait découper. Même les sports de combat durs, du point de vue de la survie deviennent du mytho MMA. Si demain Tyson Fury ou Francis Ngannou s’en prennent à moi, que je fasse de l’Anglaise ou du Penchak, je fais au minimum 6 mois de coma. Donc, mis à part si possible, éviter le problème, je dois vite, mais alors très vite (en mode survie si la peur ne me paralyse pas, mais me fait agir en pilote automatique) trouver l’outil qu’il faut pour éventuellement m’en sortir. Finalement, pour le développement du corps, la persévérance, le perfectionnisme ; les arts martiaux / self défense / sports de combat, c’est OK, c’est formateur, c’est exigeant. Pour le reste, quand tout va mal (survie, loi de Murphy, quand on a pas l’aviation), bof, article 22 on se débrouille comme on peut.
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