Capture TikTok @Linda Kebbab
Dans le sillage de l’attentat tragique survenu à Arras, où des policiers ont été confrontés à une situation critique, la syndicaliste policière Linda Kebbab a évoqué des préoccupations concernant l’usage des armes létales par les forces de l’ordre.
Selon son témoignage, les policiers qui sont intervenus en premiers lors de l’attentat ont opté pour l’utilisation d’un taser plutôt que de leurs armes à feu, par crainte de possibles répercussions.
Linda Kebbab, qui est reconnue pour son engagement envers les droits des policiers, a expliqué que, malgré la présence d’une victime à proximité de l’assaillant, les fonctionnaires ont décidé d’utiliser un taser pour neutraliser la menace.
Elle a souligné que, dans ce cas particulier, l’utilisation du taser s’est avérée efficace. Cependant, elle a averti que ce n’était pas toujours le cas, et que l’efficacité de cette arme non létale peut varier en fonction des circonstances.
Il est important de noter que l’usage des armes létales par les forces de l’ordre est soumis à des règles strictes et à des procédures spécifiques, et que chaque situation est unique. Les policiers sont confrontés à des défis complexes et doivent prendre des décisions difficiles dans des circonstances souvent imprévisibles.
L’enquête sur l’attentat d’Arras est en cours, et les autorités examineront toutes les facettes de l’incident, y compris les choix faits par les policiers sur le terrain. Le témoignage de Linda Kebbab souligne l’importance d’une réflexion continue sur l’utilisation des armes létales et non létales par les forces de l’ordre, dans le but de garantir la sécurité publique tout en préservant la vie humaine.
Source : Actu Forces de l’ordre
A voir également :
Voiture de police attaquée : « Un guet-apens meurtrier », dénonce Linda Kebbab
26 sept. 2023 Aujourd’hui dans « Punchline », Laurence Ferrari et ses invités débattent des policiers visés par des violences.
Source : Youtube
Source: Lire l'article complet de Profession Gendarme