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« L’humanité », de toute façon, ça ne semble pas être pour les goys (d’après le Talmud en tout cas) :
Voici ce qu’en dit la très politiquement correcte (pour rester poli) encyclopédie Wikipedia :
En hébreu moderne et en yiddish, le mot goy est le terme consacré pour le gentil. Il n’y a pas d’autre terme en yiddish, et il est souvent utilisé de façon neutre. En français, en revanche, comme le terme gentil existe (bien que vieilli), l’usage de goy peut être considéré comme injurieux, même s’il reste à simplement désigner le non-juif. Il en est de même en anglais. Certaines structures « politiquement correctes » sont désormais utilisées plus fréquemment, comme « Gentil » ou « non-Juif ».
Donc puisqu’il n’y pas vraiment d’humains, il n’y a pas vraiment de crise humanitaire. C’est d’une logique implacable qui donne à la fin ce genre de réponse :
Journaliste : Quel est votre avis sur la crise humanitaire à Gaza ?
Ambassadeur d’Israël en GB : « Il n’y a pas de crise humanitaire »
– Il n’y en a pas ?
– Il n’y en a pas. pic.twitter.com/PVCHthCahH— Caisses de grève (@caissesdegreve) October 16, 2023
D’ailleurs, à propos de goys, depuis que Sarah Saldmann a dérapé en utilisant ce mot, on peut constater la stratégie subtile (mais, bien que goys, nous ne sommes pas si idiots) consistant à normaliser le mot « goy », l’air de rien, comme s’il ne s’agissait que d’un gentil sobriquet (davantage gentil que sobriquet, d’ailleurs) :
Lellouche, Dechavanne et Salamé : « y avait très peu de goys à la manifestation ». Autant que sur vos plateaux de télé consanguins. pic.twitter.com/rHh1Q2ZlV0
— Vinteuil (@Vinteuil_) October 15, 2023
Du coup, comme s’interroge (avec humour, précise-t-on à l’adresse de la XVIIe chambre correctionnelle) un internaute : « du coup, si on peut parler de goys, a-t-on le droit de parler de youpins ? »
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation