Un crématoire pour faire face aux décès de personnes non prises en charge, et pourquoi pas ? C’est ce qui nous pend au nez, et à celui des destructeurs du service public hospitalier français, quand on voit les stats des gens qui crèvent aux urgences, faute de soins. Faute de soins, faute de personnel, faute d’argent, faute du politique. Tout le monde regarde du côté de la chaîne de décision (…)
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