Par Louis Knuffke — Traduit par Campagne Québec-Vie
25 septembre 2023, Washington, D.C. (LifeSiteNews) — Dans cette série en trois parties, le journaliste de LifeSiteNews Louis Knuffke explique pourquoi les procès scandaleusement biaisés de D.C., auxquels il a assisté, pourraient finalement conduire à une victoire pour les enfants à naître. La première partie est accessible ici, et la deuxième partie ici.
TROISIÈME PARTIE
Le sacrifice des sauveteurs récemment emprisonnés pourrait permettre de gagner la bataille pour les enfants à naître
Le sauvetage mené le 22 octobre 2020 à Washington, D.C par les pro-vie aujourd’hui emprisonnés, était un défi direct à la loi FACE. Ils estiment que les enfants à naître sont des personnes humaines qui méritent d’être protégées et que l’avortement et l’infanticide sont des meurtres. Le ministère de la Justice de M. Biden utilise maintenant la loi FACE pour emprisonner ces sauveteurs, car il pense que c’est le moyen le plus sûr d’effrayer les pro-vie pour qu’ils se conforment totalement aux lois sur l’avortement et pour les empêcher d’interférer avec leur industrie du meurtre de bébés, qui brasse des millions de dollars. L’affaire est importante parce qu’une remise en cause de FACE est une remise en cause de l’avortement, et faire respecter FACE, c’est protéger l’avortement.
En effet, le gouvernement fédéral a indiqué qu’il était « urgent » d’utiliser la loi FACE pour garantir l’accès à l’avortement après l’arrêt Dobbs. Il tente à présent de faire un exemple de ces sauveteurs, en mettant l’accent sur cette affaire, notamment parce qu’elle concerne une clinique pratiquant des avortements tardifs dans la capitale du pays.
Les Américains ne devraient pas perdre de vue l’importance de cette affaire, car les démocrates ont fait pression sans relâche pour garantir l’avortement à tous les stades de la grossesse sans aucune restriction, s’opposant même à des projets de loi visant à lutter contre l’infanticide. Ce n’est pas une coïncidence si le ministère de la Justice et le FBI se rallient à une affaire relevant de la loi FACE, qui concerne une clinique pratiquant des avortements tardifs et dans laquelle l’avorteur a admis qu’il serait prêt à commettre un infanticide [si un avortement échouait].
Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie
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