Introduction :
L’ignorance, la peur et la manipulation sont les piliers sur lesquels s’appuient les dirigeants des principaux pays « occidentaux », pour asservir les peuples. Face à cette entreprise de démolition très bien organisée, c’est à chacun de nous qu’il revient de s’informer et se réinformer, afin de comprendre ce qui se passe réellement.
Agissons en responsable et diffusons cette information aux personnes qui sont encore dans la peur et le désarroi. Mes différents écrits participent à cette action. Je vous recommande de ne pas croire un seul mot de tout ce qui est écrit dans mes documents ou dit dans mes vidéos. VÉ RI FIEZ LE.
Pour vous y aider, je vous donne l’accès à mes sources. Vous êtes ainsi en mesure d’avoir une opinion, éventuellement différente de la mienne, et bâtir ainsi, VOTRE vérité. La seule qui a valeur à mes yeux.
« Sois le changement que tu veux voir dans ce monde »
(Gandhi)
Un cours de droit… pratique !
Le titre de ce billet vient d’une phrase que j’aime beaucoup. Elle est tirée du livre de Richard BACH « Illusions – Le messie récalcitrant ». Elle illustre bien la quête de chacun de nous, lors de son passage sur terre.
En tant qu’enseignant, j’essaie le plus souvent possible de faire mienne cette autre phrase du même livre : « Enseigner c’est rappeler aux autres qu’ils savent aussi bien que toi ».
j’ai plaisir à partager avec vous cette histoire de prof de droit que j’ai trouvé « par hasard », sur le fil Telegram d’Adina de Souzy :
« Le premier jour de cours, un professeur de droit entre en classe et la première chose qu’il fait est de demander le nom d’un étudiant assis au premier rang :
– Quel est votre nom ?
– Je m’appelle Nelson.
– Sortez de ma classe et ne revenez plus jamais, a crié le professeur .
Nelson est perplexe, mais se lève rapidement, rassemble ses affaires et quitte la classe. Les étudiants étaient effarés, scandalisés, mais personne n’a rien dit.
– Très bien ! Commençons ! dit l’enseignant.
– À quoi servent les lois ? a-t-il demandé ?!
Les étudiants étaient encore choqués par son attitude, mais peu à peu, ils se sont concentrés sur les questions du professeur et ont commencé à répondre :
– Pour avoir de l’ordre dans notre société.
– Non ! répond le professeur.
– Faire payer les gens qui font le mal pour leurs actions.
– Non ! Quelqu’un connaît-il la réponse à cette question ?
– Pour que justice soit faite, dit une fille timidement
— Enfin, pour la justice.
– Mais qu’est-ce que la justice ?
Même si tous les étudiants étaient agacés par l’attitude de l’enseignant, ils ont continué à répondre :
– Protéger les droits du peuple…
– Bien ! Rien d’autre ? – dit le professeur.
– Distinguer le bien du mal, récompenser ceux qui font le bien…
– Ok, pas mal ! Mais répondez à cette question :
– Ai-je bien fait de virer Nelson de la classe ? »
Tout le monde était silencieux, personne ne répondait.
– Je veux une réponse claire et unanime !
– Non ! Ils ont tous répondu d’une seule voix.
– Je peux dire que j’ai commis une injustice ?
– Oui !
– Et pourquoi personne n’a rien fait à ce sujet ? Pourquoi voulons-nous des lois et des règles si nous n’avons pas la volonté de les mettre en pratique ? Chacun d’entre vous a l’OBLIGATION de s’exprimer/réagir lorsqu’il est témoin d’une injustice !
Va chercher Nelson ! « , a-t-il déclaré. Sachez que lorsque nous ne défendons pas nos droits, nous perdons notre dignité et cette dignité ne peut être négociée ».
« Si tu es prêt à sacrifier un peu de liberté pour te sentir en sécurité, tu ne mérites ni l’une ni l’autre »
(Thomas Jefferson)
Chers lecteurs épris de liberté, prenez soin de vous. Je vous aime et vous salue.
Source : Sérénité Patrimoniale
Source: Lire l'article complet de Profession Gendarme