C’était la rentrée parlementaire ce 12 septembre et à cette occasion la plupart des députés se rendent à l’Assemblée nationale. Du coup, de nombreux journalistes sont aussi présents. Il s’agit donc d’une belle occasion de montrer aux « élus » que les citoyens sont là, voire d’entamer quelques discussions. Problème : seulement une vingtaine de personnes ont répondu à l’appel.
Des enjeux gigantesques, une mobilisation famélique
Certes, l’annonce de l’évènement s’est faite tardivement, un peu dans la précipitation. Certes, c’était un jour de semaine.
Mais cela témoigne tout de même d’une diminution drastique de la mobilisation, diminution que l’on constate depuis la fin du passeport vaccinal en mars 2022. Pourtant, rien n’est réglé. Au contraire, depuis cette « crise sanitaire », les nuages noirs ne font que s’amonceler.
Alors que tous ces sujets étaient extrêmement vagues, voire inconnus, aujourd’hui des « innovations » comme l’identité numérique, les monnaies numériques de banque centrale (MNBC), la biométrie, la 5G, l’intelligence artificielle (IA), le transhumanisme, l’Internet des objets et des corps, etc. s’accumulent. Comme on l’a vu, les lois toujours plus liberticides se succèdent à un rythme infernal.
Dans le même temps, les rares lanceurs d’alerte qui osent prendre la parole sont poursuivis par leurs ordres ou leurs employeurs… dans l’indifférence générale. Rappelons que Julian Assange est dans une prison de haute sécurité en Angleterre et est menacé d’extradition aux États-Unis. Qu’Edward Snowden a du s’enfuir… en Russie. Un comble pour ceux qui décrivent ce pays comme l’une des pires dictature de la planète! Si on ne réagit pas, qu’en sera-t-il dans un an, cinq ans, 10 ans? On se dirige tout droit vers une société de contrôle à la chinoise.
Tout cela, tous les résistants le savent. Ils savent que cela s’en vient, inéluctablement. Contrairement à la covid, on est prévenu. On ne pourra pas dire qu’on ne savait pas. Alors pourquoi cette baisse de la mobilisation? Parce qu’on ne peut rien faire? Absolument pas : nous avons notre destin entre nos mains et c’est justement le temps d’agir.
La raison est plus terre à terre : nous sommes revenus à un semblant de normalité et chacun retourne à ses affaires. On ne bouge que lorsque l’on est impacté directement, que l’on ne peut plus aller au restaurant ou cinéma. Mais ce n’est pas une foi que la décision est prise, que le système est en place, c’est à dire une fois qu’il est trop tard… qu’il faut réagir. C’est bien avant, quand on réalise que cela s’en vient.
C’est donc maintenant que nous devons être mobilisés. Plus que jamais!
L’espoir est là
Revenons à cette manifestation du 12 septembre. Même s’il y avait finalement peu de monde, elle suscite un très beau vent d’espoir.
Il régnait parmi les manifestants une ambiance magnifique, beaucoup de bienveillance. Nous avons pu « rencontrer » les « élus », leurs assistants et quelques journalistes. Même si on en a vu assez peu car ils ont du arriver très tôt et qu’il y a plusieurs entrées, nous leur avons tendu nos prospectus et la plupart ont accepté de les prendre. Bien sur, beaucoup iront directement à la corbeille. Certains passaient au milieu de nous, sans nous regarder. Comme Bernard Drainville par exemple, le ministre de l’Éducation, entouré de ses gardes du corps. Cela montre bien que si c’est nous qui les payons, ils ne travaillent pas pour nous mais pour ceux qui les ont fait élire.
Le plus important était qu’ils sentent la pression, que nous étions là.
Nous avons aussi vu Paul St-Pierre Plamondon, le chef du Parti Québécois… avec un énorme sac arc en ciel. Pas surprenant qu’il veuille une commission parlementaire sur le transgenrisme. Chacun ses priorités!
- Le premier lorsqu’un député qui ne voulait rien savoir de nous, nous a lancé avant de partir : « on travaille pour vous! ». Se croit-il lui-même?
- Tandis qu’une député nous a dit : « Je fais confiance aux autorités ». Ce qui montre le niveau abyssal de nos « représentants » et que nous sommes bien « représentés ». Le minimum ne serait-il pas de se poser quelques questions? De faire ses propres recherches? Quand on est payé 130 000$ par an, ce à quoi il faut ajouter 125$ par jour de présence, soit sans doute plus de 15 000$ supplémentaires en cas de présence à chaque journée, c’est un devoir!
Rester mobilisé
Nous sommes dans une période de transition. L’oligarchie, qui ne se cache pas, prépare la suite. Actuellement, sous couvert de l’OMS et de menace sanitaire mondiale, elle met en place un passeport vaccinal mondial. Celui-ci, qui ne devait qu’être temporaire, sera donc inscrit dans le marbre. Vous n’êtes pas à jour de vos vaccins? Vous ne pourrez plus franchir une frontière. Les autres innovations que nous avons décrites plus haut, comme l’IA, les MNBC, l’identité numérique, etc. complèteront le système de contrôle qui s’étend peu à peu sur nous.
Nous savons ce qui s’en vient. Il est de notre devoir de rester mobilisés. Si ce n’est pas pour nous, faisons-le au moins pour nos enfants.
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