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par Jacques Henry
Il est nécessaire de mentionner ici quelques rappels au sujet de ce qui fait l’objet de cet article : les tests PCR. Mise au point par Kary Mullis cette technique envahit tous les laboratoires du monde impliqués dans la biologie moléculaire au milieu des années 1980. L’idée était d’utiliser une DNA polymérase résistante à la température nécessaire pour que la structure en double hélice de l’ADN soit fragilisée afin que cette DNA polymérase puisse fonctionner sans encombre. Le véritable secret de cette technique résidait dans le fait qu’une fois les deux brins d’ADN séparés, la présence d’un petit morceau d’ADN complémentaire présent dans le milieu réactionnel permettait alors la poursuite du fonctionnement de l’ADN polymérase orientée alors pour copier l’ADN présent en refroidissant le milieu réactionnel puis en chauffant à nouveau pour obtenir de l’ADN simple brin etc, … J’ai moi-même utilisé cette technique pour «aller à la pêche» au gène d’un enzyme d’origine végétale dont quelques amino-acides avaient été déterminés en position N-terminale. Le nombre de cycles d’amplification utilisé était alors une quinzaine, nombre évitant d’introduire un bruit de fond parasite risquant de compliquer la suite des investigations. Kary Mullis avait bien précisé que cette technique ne pouvait en aucun cas être utilisée comme outil de diagnostic médical. Et pourtant …
Dès le mois d’avril 2020 la technique de Kary Mullis fut adaptée à l’identification de l’ARN du SARS-CoV-2 en ajoutant une transcriptase réverse qui copiait l’ARN du virus en ADN double brin pour que la technique PCR puisse être opérationnelle. Dans le but d’augmenter le nombre de «cas» positifs afin d’entretenir la panique, il fut convenu que le nombre de cycles d’amplification serait d’au moins 40, une décision politique mais une aberration scientifique «chimiquement pure». Les autorités de santé dont le CDC aux USA validèrent l’utilisation à grande échelle du test PCR + transcriptase réverse ou RT-PCR pour différencier dès l’apparition des premiers symptômes entre une grippe à virus influenza et la maladie coronavirale elle-même tant redoutée puisqu’il n’existait pas de traitement existant car dans le même temps l’hydroxychloroquine avait été déclarée hautement toxique mais pourtant la seule molécule porteuse d’espoir. La communauté médicale savait en effet depuis le début des années 2000 que cette molécule utilisée comme anti-malaria dans le monde entier était efficace pour traiter les malades victimes du SRAS, l’ancêtre du SARS-CoV-2. Tout allait donc très bien pour les laboratoires producteurs de tests.
Le petit problème qui subsistait avec ces tests était qu’ils n’étaient pas à la portée du grand public car il fallait disposer d’un équipement spécifique. Ces même laboratoires mirent donc au point un test dit «antigénique» consistant à faire migrer le long d’une piste en polymère un échantillon de salive ou un prélèvement effectué dans les fosses nasales qui allait rencontrer des anticorps dirigés contre la protéine de la capside du virus dont les propriétés antigéniques sont très peu variables d’une souche à l’autre. Une bande colorée devait apparaître au cours de cette migration indiquant que le test était positif. Cette mise au point du test dit antigénique fut inspirée de celle des tests «SIDA» pratiquée à grande échelle lors de la «panique SIDA» des années 1980. Avec un petit encouragement du CDC indiquant que ces tests «antigéniques» étaient plus fiables que les tests RT-PCR (normal puisque le nombre de cycles d’amplification était juste délirant) une véritable mine d’or fut offerte aux laboratoires impliqués dans la production de ces tests antigéniques.
En Mars 2021 la FDA approuva les tests antigéniques et les autorité européennes de santé suivirent quelques jours plus tard. Les entreprises impliquées dans la production des tests antigéniques vendus par les pharmaciens et achetés préalablement par les gouvernements comblèrent de satisfaction tous les acteurs de cette gigantesque arnaque qui rapporta au bas mot plus d’une centaine de milliards de dollars répartis à des firmes comme Abbott, BTNX, Roche, Merck, Boehringer, Biomérieux et bien d’autres.
Il faut être réaliste. Un test PCR revient pour le fabricant de réactifs, enzymes, nucléotides, milieu réactionnel, polymérase transcriptase y compris les tubes dans lesquels l’addition d’eau distillée reconstituera le milieu réactionnel revient à environ 50 centimes de dollar. Il est acheté une douzaine de dollars par les gouvernements et au passage les laboratoires d’analyse médicale et autres officines réalisent au passage un bénéfice non négligeable. Au final on comprend quelle fut l’ampleur de ce que l’on peut appeler une mine d’or peut-être d’une ampleur supérieure à celle réalisée avec les ARN messagers de Moderna, Pfizer et les autres. Et le monde politique était complice et pour cause, lisez la suite de cet article.
Le résultat espéré par le monde politique avec ces tests était bien là : le nombre de cas confirmé par les tests antigéniques explosa lorsque le variant omicron apparut car même antérieurement à l’apparition de ce dernier variant, les tests PCR puis antigéniques avaient contribué à rendre la «vaxxination» obligatoire malgré le fait que les producteurs de cette thérapie génique étaient parfaitement au fait de la totale inefficacité de leur mixture pour enrayer l’épidémie outre son caractère dangereux comme de nombreuses révélations l’ont indiqué plus tard et jusqu’à ces mois derniers. Cette fausse pandémie fut donc un vaste complot organisé avec trois approches, les tests PCR, les tests antigéniques et cette thérapie génique qui a probablement entrainé plus de décès que le virus lui-même afin d’assurer des profits insolents aux divers laboratoires acteurs eux-mêmes de ce complot. Finalement ce sont au moins deux générations de contribuables qui paieront pour ce scandale…
Tout fut organisé par les financiers comme indiqué maintenant : cette finance transnationale, BlackRock et Vanguard, le fond souverain norvégien et les gestionnaires de fond à la recherche, précisément durant cette épidémie coronavirale, recherchait des opportunités d’investissement et cette opportunité leur fut également offerte par les décideurs politiques car ils sont les principaux actionnaires des divers laboratoires pharmaceutiques et de produits d’analyse biologique, et être avides de profits c’est leur métier. Pour se ménager des profits futurs encore plus stratosphériques ils ont obtenu que l’OMS, dont le principal contributeurs (véritable actionnaire) est Bill Gates et ses diverses fondations, s’arroge le droit d’émettre des alertes épidémiques que tous les gouvernements devront appliquer selon l’autorité de cet organisme onusien de mettre en œuvre de nouvelles mesures similaires à celles décrites ci-dessus. L’épidémie coronavirale a été un tel succès pour eux qu’ils en redemandent !
Ainsi la financiarisation de la santé conduira à un asservissement des peuples selon l’arbitraire hors de contrôle des puissances financières pour la plus grande satisfaction des tenants d’un totalitarisme à la mode de ce mégalomane de Klaus Schwab et avec un fou dépravé comme Bill Gates qui contrôle l’OMS… George Orwell n’aurait jamais pu imaginer un tel scenario ! Maintenant si on croit que je suis complotiste, ce n’est pas le cas : je dénonce au contraire un complot dont peu d’analystes ont évoqué l’ampleur…
source partielle : Michel Chossudovsky via Jacques Henry
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