Le mois dernier, Doctors for COVID Ethics (D4CE), un groupe international de médecins et de scientifiques, a publié un nouvel ouvrage intitulé “mRNA Vaccine Toxicity” (toxicité des vaccins àARNm), qui présente une évaluation approfondie des mécanismes et des manifestations de la nocivité de la technologie des vaccins à ARNm, sous l’angle de l’immunologie, de la pathologie, de la pharmacocinétique, de l’épidémiologie et de l’histoire de la médecine.
Le livre peut être téléchargé gratuitement ou commandé en version imprimée.
D4CE, dirigé par le microbiologiste et immunologiste Sucharit Bhakdi, se compose de plus de 100 médecins et chercheurs de 30 pays qui “s’opposent à l’actuel abus de la science et de la médecinepour détruire la santé, les moyens de subsistance et même la vie des gens”, et estiment que “cet abus inclut, sans s’y limiter, les mesures de ‘santé publique’ prises dans le cadre de la ‘pandémie’ artificielle de COVID”.
Dans les mois qui ont suivi la délivrance par l’Agence européenne des médicaments (EMA) de l’autorisation d’urgence pour les vaccins COVID-19, D4CE a écrit une série de lettres ouvertes à l’EMA pour l’avertir des dangers à court et à long terme pour la santé de ces produits expérimentaux et pour demander leur retrait immédiat.
Au cours des deux dernières années, le groupe a organisé cinq symposiums en ligne et publié de nombreux articles, lettres, présentations vidéo et autres ressources sur les menaces actuelles pour la santé et la liberté que représentent les mandats de santé publique du COVID-19.
Rédigé et édité par le Dr Michael Palmer, biochimiste et signataire fondateur de D4CE, “mRNA Vaccine Toxicity” comprend des chapitres rédigés par Bhakdi, Brian Hooker, Ph.D., directeur principal de la science et de la recherche de Children’s Health Defense (CHD), Margot DesBois, collaboratrice scientifique de CHD, et le biochimiste David Rasnick, Ph.D.
Dans la postface du livre, Catherine Austin Fitts, présidente de Solari Inc. et éditrice du rapport Solari, donne un aperçu des implications plus larges de ces informations scientifiques et encourage les lecteurs à transmettre ces connaissances et à s’opposer au déploiement futur de technologies médicales nocives.
L’avant-propos de la présidente du CHD, Mary Holland, reproduit intégralement ci-dessous, donne un aperçu du contenu de l’ouvrage :
Toute personne vivant aujourd’hui peut être pardonnée de souffrir d’un syndrome de stress post-traumatique (SSPT) à propos de tout ce qui concerne le COVID – les fermetures, les discours alarmistes, le masquage, les tests, la censure, la suppression de traitements efficaces, les injections expérimentales forcées à base de gènes, les blessures et les décès omniprésents. Après trois années d’horreur, il est humain de vouloir tourner la page et d’oublier.
Pourtant, ce livre montre clairement que nous le ferions à nos risques et périls. Cette guerre non déclarée contre l’humanité n’est pas terminée et nous devons nous armer de connaissances.
L’objectif de ce livre est d’expliquer ce que la toxicité du vaccin à ARNm COVID-19 signifie pour les futurs vaccins à ARNm. Il décrit trois mécanismes potentiels susceptibles d’expliquer ce qui s’est passé : (1) la toxicité des nanoparticules lipidiques ; (2) la toxicité des protéines de pointe induites par le vaccin ; et (3) la réponse du système immunitaire à ces nanoparticules.
Elle conclut que la réponse du système immunitaire aux protéines spike est le facteur toxique le plus important, parce qu’elle correspond aux résultats des autopsies concernant l’inflammation et les dommages au système immunitaire et qu’elle est conforme aux mécanismes théoriques de la nocivité.
La conclusion du livre est sombre : “Chaque futur vaccin à ARNm incitera nos cellules à produire son propre antigène spécifique, lié au microbe particulier qu’il cible. Nous devons donc nous attendre à ce que chacun de ces vaccins induise des dommages immunologiques d’une ampleur similaire à ceux que nous avons observés avec les vaccins dirigés contre le COVID-19”.
Sachant qu’une myriade de vaccins à ARNm sont en cours de développement ou déjà sur le marché – contre la grippe, le VRS, le VIH, le paludisme, le cancer, les allergies, les maladies cardiaques, pour n’en citer que quelques-uns – cette connaissance est aussi effrayante qu’essentielle.
Le livre met en garde : “Avant toute chose, nous devons accepter que nous sommes effectivement dans le collimateur de nos gouvernements. Au lieu de nous fier à leurs conseils perfides et malveillants, nous devons donc veiller sur nous-mêmes et sur nos proches, faire nos propres recherches et chercher des conseils de santé honnêtes partout où ils se trouvent, que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur des lieux établis de la science et de la médecine.”
Vous tenez entre vos mains un abécédaire indispensable. L’ouvrage est complet, s’appuyant sur un large éventail de publications scientifiques, raisonnablement court et très lisible – 156 pages de texte et 20 pages de citations – et constitue une lecture obligatoire en matière de virologie, d’immunologie et de toxicologie. Il contient d’excellentes citations, des illustrations des mécanismes viraux et immunitaires, et des photographies de tissus colorés de personnes décédées à la suite d’une injection de COVID-19.
Le chapitre sur l’épidémiologie des effets indésirables du vaccin à ARNm COVID-19 est très instructif, car il met en lumière l’ampleur des préjudices subis à ce jour. Nous apprenons ici que 13 milliards de doses de vaccin COVID ont été administrées dans le monde, soit près de deux doses pour chaque habitant de la planète. Les États-Unis ont distribué 650 millions de doses, provoquant des millions d’effets indésirables.
Les types de lésions sont remarquables par leur ampleur : myocardite, coagulation du sang dans tout le corps, lésions neurologiques, immunologiques et reproductives. Pourtant, les CDC ont l’audace de qualifier ces vaccins de “sûrs” et de les recommander à toutes les personnes âgées de 6 mois et plus, au moins une fois par an.
Le dernier chapitre, rédigé par David Rasnick, explique comment le sida et le VIH sont devenus le “schéma directeur de la perversion de la science médicale” que nous vivons encore aujourd’hui. Dans les années 1980, le Dr Tony Fauci a lancé la “science par communiqué de presse”, en proclamant et en imposant un récit sur le sida qui n’a jamais été prouvé.
Rasnick explique de manière convaincante que l’orthodoxie du SIDA est fausse, n’ayant jamais été prouvée malgré 40 ans et des milliards de dollars investis. Il écrit :
“Aussi incroyable que cela puisse paraître, il n’y a pas eu une seule étude scientifique conçue ou menée pour déterminer si le SIDA – ou même le VIH – est sexuellement transmissible. . . .
“Depuis la Seconde Guerre mondiale, mais surtout au cours des dernières décennies, l’étouffement des débats et la persécution des dissidents se sont imposés dans pratiquement tous les grands domaines scientifiques aux États-Unis. Elle est particulièrement virulente dans les sciences dites biomédicales. . . .
“L’alliance du gouvernement, des grandes entreprises et des universités, contre laquelle le président Eisenhower avait mis en garde en 1961, domine aujourd’hui le monde… L’escroquerie du COVID-19 est l’escroquerie du SIDA à grande échelle… Nous sommes au milieu d’une prise de pouvoir totalitaire mondiale et les choses vont s’aggraver dans les mois à venir”.
La conclusion générale du livre fait écho à Rasnick :
Il n’est pas possible d’interpréter les actions des autorités comme des “erreurs honnêtes”. Trop de choses se sont produites qui indiquent sans équivoque que les vaccins COVID-19 à base de gènes sont le fruit d’un agenda sinistre. L’approbation précipitée sans nécessité, les menaces directes et la coercition, la censure systématique de la science honnête et la suppression de la vérité sur les nombreuses victimes de vaccins tuées ou gravement blessées durent depuis bien trop longtemps pour que l’on puisse douter de l’intention et de l’objectif poursuivis.
“Nos gouvernements et les organes administratifs nationaux et internationaux mènent une guerre non déclarée contre nous tous… Cette guerre dure depuis des décennies et nous devons nous attendre à ce qu’elle se poursuive et s’intensifie.”
Bien que ces informations fondées soient à la fois alarmantes et déprimantes, la connaissance est un pouvoir. Si nous acceptons la réalité que les dommages passés et futurs des vaccins à ARNm sont à la fois intentionnels et inévitables, nous pouvons nous protéger et protéger nos proches.
On est mieux armé quand on est prévenu. Lisez ce livre et gardez-le à portée de main comme référence jusqu’à ce que nous ayons tourné la page sur ce chapitre sombre de l’histoire mondiale.
Margot DesBois
Source : Lire l'article complet par Mondialisation.ca
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