@Lerins : Il ne faut pas s’illusionner sur le pouvoir d’un Président étatusien. Il y avait cette excellente série US, SCANDAL, montrant le gouvernement visible et le gouvernement fantôme, celui où le véritable Président des États-Unis, le Command, a à sa disposition un groupe paramilitaire d’élite capable de renverser, sur son ordre, n’importe quelle décision du Président élu / de paille.
Lorsque dans son entrevue avec Tucker Carlson, Trump avoue ne pas en être certain, mais avoir le sentiment que Epstein a été éliminé, il laisse entendre qu’un Président US est tenu à l’égard des décisions de l’État Profond, dont le Command est la main agissante aux États-Unis.
Lorsque Trump avait ordonné le retrait complet des troupes américaines de Syrie, nous pouvons logiquement penser que son statut de Chef des armées rendait son ordre exécutoire. Et bien, non. Une partie des troupes seulement lui a obéi, maintenant le gros du contingent a reçu du Command l’ordre de se maintenir (cf ce que dit Aïssa dans l’émission sur la Syrie).
Ce n’est pas non plus Trump qui aurait retiré les troupes d’Afghanistan, mais le haut-fonctionnaire de l’État Profond, sachant que la momie sénile qui succèderait et sa vice-présidente loufoque ne sauraient pas mener l’armée sur ce terrain d’opérations.
Le command intimide et fait chanter des sénateurs, qui connaissent son visage, d’où l’incohérence de certains votes républicains, alignés sur ceux des Democrats. Pourquoi la Cour Suprême, en possession de l’ensemble du dossier sur la fraude aux machines, n’a t-elle pas invalidé l’élection de Biden, alors qu’elle est presque entièrement conservatrice ? Intervention du Command.
Pour la pénalisation de l’avortement, l’État Profond a laissé courir, sachant qu’il existe d’autres moyens d’arriver à ses fins…
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