« En réaction, le vice-président de la Fédération française d’échecs, Jean-Baptiste Mullon, a assuré auprès de Libération que la France n’allait « pas suivre la décision de la Fide », jugée « transphobe ». « A priori, la Fide n’a pas le pouvoir d’imposer cette décision aux championnats nationaux. Donc en ce qui concerne la fédération française, nous restons libres d’appliquer nos règlements, où nous ne faisons aucune différence entre les joueurs », a-t-il avancé. »
Abruti, si tu ne faisais pas de différence entre les joueurs, il n’y aurait pas de catégorie masculine et féminine ! Et s’il n’y en avait pas, la première femme serait classée au-delà de la 100 ème place et aucune femme ne serait championne…
AS.
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