par Patrice Gibertie
Le Gardasil serait efficace contre les 4 papillonavirus qu’il couvre selon une étude. Problème il existe plus de 200 espèce dont 40 cancéreuses. Et là, il y a un problème les virus non couverts sont favorisés et se propagent ce qui donnent une efficacité NÉGATIVE pour les vaccinés.
Efficacité «négative» du vaccin quadrivalent HPV contre des types de virus non couverts par le vaccin
Les souches non présentes dans le vaccin sont sélectionnées et se développent : donnent + de lésions précancéreuses chez les vaccinés que les non-vacc.
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Danger pour les ados à la rentrée 2023 ! Le gouvernement pousse à la vaccination contre le papillomavirus (Gardasil) vaccin dangereux et inefficace qui favorise de nouveaux virus
Ce que dit la science
Plus de 200 souches de papillomavirus humain (PVH) ont été identifiées, et environ 40 d’entre elles «pourraient» causer le cancer, y compris le cancer du col de l’utérus, du pénis, de la bouche, du vagin, de la vulve et de l’anus. Parmi ceux-ci, le cancer du col de l’utérus est le type le plus courant de cancer attribué au PVH. Certaines souches sont également responsables des verrues génitales.
90% des infections au PVH disparaissent d’elles-mêmes sans traitement, car un système immunitaire qui fonctionne bien permet de contrôler le virus. Dans de rares cas cependant, une infection par un PVH à haut risque qui reste non traitée et non contrôlée peut se transformer en cancer.
Étant donné que l’infection par le PVH produit rarement des symptômes jusqu’à ce qu’elle devienne cancéreuse, il est conseillé aux femmes d’effectuer au moins un dépistage tous les trois à cinq ans, ce qui permettra d’identifier la présence du PVH et de le traiter.
Janvier 2020, une étude du Royaume-Uni a soulevé des doutes importants quant à savoir si le vaccin Gardasil prévenait le cancer du col de l’utérus, comme le prétend Merck. L’étude souligne le fait qu’il n’a jamais été prouvé que le Gardasil prévient le cancer du col de l’utérus (ou tout autre type de cancer).
Au contraire, le Gardasil est désormais suspecté d’AUGMENTER le risque de développer un cancer du col de l’utérus !
Plusieurs études (dont une du CDC qui a toujours soutenu le vaccin jusqu’à présent) ont montré qu’en supprimant certaines souches de PVH, les vaccins Gardasil créent une niche écologique pour d’autres souches jusque-là «plus faibles» qui tout d’un coup se retrouvent avec le champ libre pour se multiplier et pouvant entraîner d’autres cancers.
Les données de santé publique semblent étayer la conclusion selon laquelle le Gardasil pourrait augmenter le taux de cancer du col de l’utérus. Après l’introduction du vaccin contre le PVH en Grande-Bretagne, les taux de cancer du col de l’utérus chez les jeunes femmes âgées de 25 à 29 ans ont augmenté de 54%.
En Australie, 13 ans après la sortie du Gardasil et son introduction chez les adolescentes, il y a eu une augmentation de 16% chez les femmes de 25 à 29 ans et de 30% chez les femmes de 30 à 34 ans.
Pendant ce temps, les taux diminuent pour les femmes plus âgées grâce au dépistage (qui n’ont pas été vaccinées). En d’autres termes, le Gardasil peut augmenter le risque de cancer en permettant à d’autres virus PVH de prendre la place (phénomène de remplacement) de ceux que le Gardasil est sensé inhiber.
Dans les essais cliniques du vaccin Gardasil, Merck a «dopé» le placebo avec son adjuvant le sulfate d’hydroxyphosphate d’aluminium amorphe (AAHS), neurotoxique.
Le résultat a été qu’un nombre approximativement égal de sujets dans le groupe vacciné et dans le groupe placebo ont subi des effets indésirables. Cela a permis aux effets indésirables dans les deux groupes d’apparaître similaires et de donner l’impression que le vaccin Gardasil PVH était «aussi sûr qu’un placebo», ou aussi sûr que l’eau salée dans la tête du quidam moyen.
En fait, une quantité importante de sujets dans les deux groupes de traitement souffraient de nombreuses conditions médicales graves, y compris des symptômes de maladies auto-immunes… pour ce qui a été publié !
Les vrp de Big pharma sont à l’œuvre
La campagne de vaccination (gratuite) contre le papillomavirus au collège débutera à la rentrée, via le recueil de «l’autorisation des deux parents». Puis les premières doses seront administrées à l’automne, à des dates variables selon les régions.
Des «doutes persistants sur l’innocuité du vaccin». C’est en avançant cet argument que l’association E3M (Entraide aux malades de myofasciite à macrophages) réclame, devant le tribunal administratif de Paris, la suspension de la campagne de vaccination prévue, à partir de la rentrée prochaine, dans l’ensemble des collèges français.
Son référé, déposé ce lundi 3 juillet par les avocats Jean-Paul Teissonnière et Philippe de Castro, sera examiné dans les prochaines semaines. Une décision est attendue au cours de l’été. Dans le viseur d’E3M : le Gardasil. Ce vaccin, développé par les laboratoires MSD depuis 2006, vise à combattre les infections à papillomavirus humains (HPV), qui, chez la femme, peuvent être à l’origine de cancers du col de l’utérus.Chez l’homme, ces virus sexuellement transmissibles, peuvent provoquer des cancers du pénis ou du canal anal –Quelle est la composition exacte de ce nouveau vaccin ? La substance est protégée par un secret industriel dont E3M réclame la levée. «Nous avons besoin que des études indépendantes soient menées, notamment pour lever les doutes sur sa toxicité», indique l’association dans sa requête.
Comme indiqué dans sa requête, plusieurs arrêts du Conseil d’État établissent notamment «un lien de causalité entre un vaccin contenant de l’aluminium et les symptômes de la myofasciite à macrophages», maladie invalidante.
Aux États-Unis
Le tribunal ordonne à Merck de remettre les bases de données d’événements indésirables Gardasil.
Un tribunal de district de Caroline du Nord a ordonné au géant pharmaceutique Merck de remettre toutes ses bases de données d’événements indésirables Gardasil aux plaignants poursuivant le géant pharmaceutique pour des blessures prétendument causées par le vaccin contre le VPH. […]
Les bases de données, qui comprennent des informations provenant du système de notification et d’examen des événements indésirables de Merck (MARRS) – la version de Merck du système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) – devraient contenir tous les rapports relatifs aux événements indésirables du Gardasil soumis par les médecins, les patients et les publications, a déclaré l’avocat des plaignants Michael Baum à The Defender. Merck a jusqu’à présent refusé de mettre l’intégralité des bases de données MARRS à la disposition des avocats des plaignants.
source : Patrice Gibertie
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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