« Il est plus facile d’emprisonner un policier qu’un violeur » : récit du malaise dans la police marseillaise

« Il est plus facile d’emprisonner un policier qu’un violeur » : récit du malaise dans la police marseillaise

Depuis quelques années, les affaires se multiplient autour des forces de l’ordre de la cité phocéenne. Du scandale de la Bac nord au mouvement de protestation actuel, retour sur dix ans d’incompréhension entre la base et la hiérarchie.

Par Nicolas Boutin

Publié le 9 août 2023 à 18h00

Près de 5% des policiers ont refusé d’aller au travail, selon le ministère de l’Intérieur. Les patrouilles se font rares et les commissariats tournent au ralenti depuis deux semaines.© ROMAIN BEURRIER/REA

Plus de policiers visibles dans les rues de Marseille. Le commissariat du XIVe arrondissement fermé. De multiples arrêts maladie, de la cité phocéenne jusqu’à Nice. La grève du « zèle » qui s’étend jusque dans la capitale. Le festival d’Avignon presque livré à lui-même. En pleine période estivale, la fronde des policiers après le placement en détention d’un agent de la brigade anticriminalité, Christophe I., pour violences en réunion, un soir d’émeutes, a marqué les esprits. « Un mouvement inédit », « du jamais-vu », admettent les policiers

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L'Association Professionnelle Gendarmerie (APG) a pour objet l’expression, l’information et la défense des droits et intérêts matériels et moraux des personnels militaires de la gendarmerie et de toutes les Forces de l'ordre.Éditeur : Ronald Guillaumont

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