Photo Le Progrès
Au lendemain des émeutes qui ont touché le centre-ville de plein fouet, Lucie Lopes, une jeune lyonnaise de 23 ans, se réveille pour aller au travail. C’est le 1er juillet : en allumant son téléphone, elle découvre les scènes de violence qui ont frappé la Presqu’île entre les Pentes de la Croix-Rousse et la rue Victor-Hugo. Des magasins ont été pillés, des vitrines détruites, des poubelles incendiées.
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Source : Police & Réalités
Note de la rédaction de Profession-Gendarme :
Cette information, qu’elle concerne une police municipale ou la police nationale, est la preuve qu’on marche sur la tête et qu’il n’y a même plus une amorce de réflexion dans la tête de ceux qui procèdent à de telles verbalisations.
Est-ce le résultat de la course aux numéros qui accroissent les primes des « chefs » ?
Peut-être ! mais c’est surtout le résultat de comportements débiles de personnels qui ne savent pas refuser les ordres du même tonneau, que ce soit sur la voie publique dans l’action quotidienne ou en maintien de l’ordre. Ou l’imbécillité pure et simple (au sens étymologique du terme) de gens qui ont perdu leur bâton éthique !
Ils s’étonneront après d’être voués aux gémonies !
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