Thierry Breton, l’européiste à l’origine de la casse des retraites, s’offre un château

Pour sa retraite ?

C’était il y a un an et un mois, très exactement. Invité en pleine tempête sociale à donner son avis sur le cas français, le commissaire européiste Thierry Breton affirmait qu’il n’était pas à l’origine de la réforme des retraites, très mal vécue par les Français. Et pour cause : elle n’était pas nécessaire.

L’euroligarque ment puisque c’est l’Europe qui depuis Maastricht oblige la France à faire des économies sur son budget (d’où l’amaigrissement des services publics), avec pour nouvelle mission (ou injonction) de ramener le déficit à 3 % en 2027.

Macron n’est que la courroie de transmission des directives européennes. Les textes antisociaux de l’UE sont toujours en avance sur la casse sociale française, comme par hasard.

Admirons comment Breton évite les mots « économies », « austérité » :

Breton  : « Un pays ne peut pas vivre en permanence sur le dos des générations à venir… »

La journaliste : Il faut se serrer la ceinture ? On doit faire des économies ?

Breton  : Revenir dans une normalité, travailler autrement, voilà,

Le journaliste : Ça veut dire quoi travailler autrement ?

Breton  : On a réussi à le faire. Vous savez, quand j’étais ministre des Finances [de 2005 à 2007, NDLR], pardon de le dire, mais oui, j’ai baissé la dette. On peut le faire, ça a pas été non plus hyper douloureux.

La journaliste : C’est l’austérité ?

Breton  : Non, en 2005-2007 on n’a pas eu d’austérité, non.

Le journaliste : Non mais vous appelez de vos vœux aujourd’hui, c’est une forme d’austérité ?

Breton  : Bien sûr que non, je n’arrête pas de vous dire le contraire !

Le journaliste : Comment on passe de 6 % à 3 ?

Breton  : Pourquoi on était à 6 ou 7 ? Pourquoi ?

Le journaliste : Parce qu’il y a eu le covid, le « quoi qu’il en coûte »… Et aujourd’hui il y a la guerre en Ukraine.

Breton  : Voilà, vous venez de le dire, on sort donc, Dieu soit loué, de cette situation du covid, vous venez de le dire,

Le journaliste : Et on entre dans la guerre en Ukraine.

Breton  : Oui, mais ça n’a rien à voir, ce n’est pas du tout la même chose.

Rappelons à ce désinformateur professionnel que ce sont les autorités euromondialistes qui ont décidé de geler l’activité pendant le covidisme pour créer de la dette, et arrimer un peu plus les entreprises à l’État et les États à la Banque, dont la Banque centrale européenne.

Les Leyen, Breton et leurs obligés, les Macron et les Scholz, ont créé de la dette alors que rien ne le justifiait, à part une fausse pandémie qui aura coûté, rien qu’en faux vaccins, plus de 70 milliards à l’UE, c’est-à-dire à ses 450 millions de citoyens, roulés dans la farine à une échelle inimaginable.

« Je pense que le vaccin a démontré, je ne le pense pas j’en suis certain, a démontré son efficacité… On a démontré que le vaccin fonctionne et protège. » (Thierry Breton)

L’argent gratuit, qu’il soit pour les multinationales du Big Pharma ou pour le régime corrompu de Kiev, sans oublier le puits sans fond des frappes migratoires, c’est l’explication de la paupérisation des peuples européens, France en tête. L’UE est la tirelire des mondialistes, et ils sont en train de vider les caisses.

Un an plus tard, qu’apprend-on ? Que ce monsieur Austérité qui ne dit pas son nom vient de s’offrir un magnifique château en France.

Le château de Gargilesse-Dampierre (Indre) a été racheté il y a quelques mois par le commissaire européen Thierry Breton. S’il préfère rester discret sur cette acquisition, il souhaite que la vocation artistique, impulsée par l’ancienne propriétaire, perdure. (Le Berry républicain)

Voyons voir ce que notre ministre de l’Austérité s’est offert…

Vous avez dit nuit du 4 Août ?

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Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation