Manon Aubry est l’une des nouvelles têtes pensantes de LFI, le parti du lider maximo Jean-Luc Mélenchon, devenu l’ennemi numéro 1 du CRIF (qui du coup nous lâche un peu la grappe). Ce parti, qui se veut révolutionnaire, mais aussi féministe, ce qui est incohérent, exerce sa lutte contre le patriarcat capitaliste partout où il le peut. Par exemple dans le secteur stratégique des micros-cravates.
@manonaubryfr Est-ce que vous aviez remarqué à quel point les micros étaient… sexistes !? Promis, dès que j’en aurais fini avec les ultra riches et les évadés fiscaux, fabriquants de micro-cravates, je m’occupe de vous !
Dans la même veine, épinglée par Le Figaro, qui garde 5 % de fond sexiste, nous avons Johanna Rolland, maire de Nantes, la ville détruite par le gauchisme antifa et l’invasion migratoire. Alors que les Français, Nantais compris, souffrent de la dégradation de leurs conditions de vie dans tous les domaines (boulot, social, énergie, culture, information), la socialiste Johanna (adjointe d’Olivier Faure, le numéro 1 du PS mort) ne pense qu’à faire de sa ville la première ville « non sexiste ».
Doit-on comprendre que le couple hétéro et la famille « un papa-une maman-des enfants » y seront interdits ?
Johanna veut que la ville appartienne autant aux femmes qu’aux hommes. C’est vrai qu’à Nantes, comme à Jalalabad, les femmes sont interdites de sortie, de ciné, de bar, de bosser, de boire, d’étudier et même de baiser. Le Figaro a relevé les grands changements civilisationnels qui attendent les heureux Nantais.
Elle a commencé par faire applaudir son adjointe à l’Égalité, à la ville non-sexiste, à la lutte contre les discriminations et à la vie associative, Mahaut Bertu, élue qui avait affirmé il y a deux mois, à propos de la venue finalement annulée de la féministe Marguerite Stern, qu’elle ne partagerait « jamais les positionnements politiques qui réduisent les femmes à des “femelles”, à un utérus, à un appareil reproducteur ». L’édile nantaise a ensuite partagé sa vision d’une ville qui « appartient autant aux femmes qu’aux hommes », dans laquelle ces dernières pourraient « se promener », « courir », « danser », « s’amuser sans risque pour leur sécurité », alors que des faits divers viennent régulièrement entacher l’image de la ville.
Concrètement, pour arriver à ce paradis pour toutes, Johanna veut un « budget sensible au genre », sur le modèle du budget climat. Cela permettra de répondre aux outrages sexistes de rue (la mairie ne fait pas le rapport entre l’immigration subsaharienne qu’elle appelle de ses vœux et l’augmentation des agressions contre les Françaises, comme à Paris dans le quartier de La Chapelle), à augmenter la présence des femmes prétendument sous-représentées dans la culture avec les journées du Matrimoine, par exemple avec le groupe scolaire « Claire Bretécher » ou la féminisation des noms de rues. Vivement la rue Johanna Rolland !
Les mômes dans les écoles vont aussi morfler car ils seront sensibilisés aux « questions de genre ». On expliquera donc à des petits qu’ils ne sont ni fille ni garçon et que les pédos qui leur offrent des bonbecs ne sont pas si méchants que ça. On résume, n’est-ce pas ?
Un Français du coin pas d’accord avec la submersion migratoire
Rappel : le prêtre vendéen assassiné par un migrant
Du fait que RMC a oublié de dire que l’assassin était un migrant, voici la version complète des faits :
Johanna Rolland chez Léa Glucksmann pour soutenir
le maire démissionnaire de Saint-Brévin qui voulait accueillir
toute la misère du monde chez ses administrés
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation