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Shakespeare remarque …
«Why should the private pleasure of some one
Become the public plague of many moe ?
Let sin, alone committed, light alone
Upon his head that hath transgressed so ;
Let guiltless souls be freed from guilty woe :
For one’s offence why should so many fall,
To plague a private sin in general ?»
Pourquoi le plaisir privé d’un individu quelconque
Doit-il flétrir la vie d’une multitude ?
Que celui qui a péché
Subisse seul la peine de son crime !
Et que les châtiments du coupable soient épargnés aux innocents !
Pourquoi tant d’hommes doivent-ils pâtir du crime d’un seul,
Touchés dans leur propre chair par faute d’autrui ?
– Lignes 1478 à 1485, «The Rape of Lucrece» (W. Shakespeare)
Sur le refus par les néo-cons de négocier une fin à la Guerre dans l’ex-Ukraine et les failles dans la personnalité des cibles de Vovan et Lexus, qui leur donnent la clef des entourloupes :
L’enfant entêté
«L’entêtement est l’obstination dans une idée reconnue mauvaise. Il se distingue de la fermeté et de la ténacité L’obstination manifeste une double tare de l’intelligence et de la sensibilité, l’insuffisance de la raison que de bonnes raisons n’entraînent pas, et une exagération maladive de l’amour-propre – quand ce n’est pas un déséquilibre mental. L’entêtement manifeste principalement une hypertrophie du sens propre. L’entêté se croirait diminué s’il cédait à un conseil raisonnable, reconnaissait son tort ou son erreur. Plus on insiste, plus il se raidit et s’obstine. Alors il triomphe : son amour-propre se flatte dans la résistance. Plus tard, esprit fermé, étroit, exclusif, il ne saura point consentir les concessions nécessaire à la vie en commun ; il ne voudra comprendre ni les raisons, ni les hommes ; il se complaira dans l’intolérance, dans un inintelligent sectarisme.
Le seul remède contre l’entêtement, c’est le calme et la patience. Le maître n’engagera pas la lutte avec l’entêté : ce serait nourrir sa manie. Cette patience, dédaigneuse dans son indifférence, est ici le remède topique, puisque l’entêté est foncièrement un vaniteux».
source : Leçons de pédagogie. Chapitre : l’Éducation de la volonté, p. 186
par A. Mathieu, Inspecteur du primaire et E. Blanguernon, Inspecteur d’Académie. Paris, 1912
Mendelssohn Moses
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