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par Ngel Juuf
…au regard de la dissimulation frauduleuse pour le long terme, des effets secondaires des vaccins, rien ne vaut de jouer à une roulette dont les dés sont pipés d’avance par une culture industrielle dont la rentabilité est de maintenir les gens malades au lieu de les guérir…
En matière de politique vaccinale et sous le prétexte de l’amélioration de la condition sanitaire des enfants, l’Afrique fait à nouveau face à une récidive pharmaceutique préjudiciable. Depuis 2022 et face au rejet massif par l’Afrique des injections ARNm Covid-19, les firmes pharmaceutiques affichent une politique plus hardie pour introduire en Afrique, toute une gamme de nouveaux vaccins tout en voulant faire table rase des expérimentations malheureuses vécues par le passé par les couches vulnérables notamment infantiles.
Rappel à titre indicatif
Nigeria, juin 2007 : le gouvernement intente des actions en justice suite aux essais illégaux de médicaments anti-méningite de la firme Pfizer qui ont tué ou handicapé des enfants.
Tchad, décembre 2012 : une vaccination contre la méningite tourne au drame vu que des enfants injectés sont victimes de troubles neurologiques et de paralysie.
Guinée Bissau, 2017 : 30 ans de dossiers médicaux consultés par les experts mondiaux Soren Morgensen et Peter Aaby, révèlent que les filles vaccinées avec le DTC (diphtérie-tétanos-coqueluche) ont été 10 fois plus nombreuses à mourir que les enfants non vaccinés.
Angola, Cameroun, Congo, Nigeria, Tchad, Zambie, septembre 2020 : l’OMS reconnaît que le vaccin oral liquide contre la polio a donné naissance dans ces pays, à des souches plus virulentes alors que le virus sauvage commençait à disparaitre de lui-même comme l’avait constaté le CDC Usa depuis 2016 !
Guinée équatoriale, 19 mai 2022 : AFP annonce que des centaines de jeunes filles ont été hospitalisées après avoir reçu le vaccin diphtérie-tétanos.
Gabon, suite à la folie sanitaire Covid d’injecter de l’ARN dans une population saine, ce sont 300 femmes vaccinées qui ont pris d’assaut les médecins généralistes et gynécologues pour les interpeller au sujet de la disparition de leur cycle menstruel. L’omerta au sujet de ce préjudice s’avoisine à celle qu’ont connue les femmes rendues stériles à leur insu par des vaccins contenant l’hormone bêta-GCh.
Le palu et l’humain
Le palu est transmis aux humains lors de piqûres de moustiques avec lesquels nous cohabitons sous les ères géologiques ! Dans les écosystèmes encore préservés telles les forêts d’Afrique et d’Amazonie qui sont de véritables eldorados de moustiques, la nature veut que l’on fasse son palu pour en être immunisé à vie par l’usage de plantes et autres traitements naturels ! En règle générale, les virus et les microbes ont toujours fait partie de la vie et la nature ne tolère aucune construction moléculaire qui n’appartient pas à son univers bactérien. D’ailleurs, on n’a pas vocation d’injecter dans l’organisme, à tout bout de champ, des anticorps pour toutes les maladies. En harmonie avec la nature, le système immunitaire de notre corps ne contient-il pas seulement 30 milliards de cellules, contre 100 mille milliards de bactéries et 3 mille milliards de virus !
On ne gère pas le palu avec le labo et ses produits
Les médicaments chimiques antipaludiques ont abouti comme pour la polio, à donner naissance à une résistance à leur traitement. Par exemple, selon des chercheurs britanniques et thaïlandais, les parasites du paludisme résistants à des médicaments clés se sont rapidement répandus en Asie du Sud-est. Détectés pour la première fois en 2007, les parasites sont passés du Cambodge au Laos, à la Thaïlande et au Viêt Nam. Par conséquent, les chercheurs soulèvent l’hypothèse de la perspective terrifiante d’une propagation en Afrique et en Inde, de ladite résistance aux pilules chimiques antipaludiques. En définitive, 80% des parasites du paludisme sont à présent résistants aux médicaments du labo.
C’est pourquoi, au lieu d’engranger des guerres de tranchées contre les virus vus comme des ennemis, par l’usage prépondérant et démesuré de sérums, d’artifices antibiotiques ou autres greffes virales, il vaut mieux ne pas les manœuvrer en vue de les transformer génétiquement ; ce qu’ils refusent, deviennent alors plus acerbes et se protègent par l’émission d’une fréquence aux propriétés vibratoires indétectables par la bactériologie et la virologie présentement désarmées à ce sujet.
Le fardeau de la dépendance pharmaceutique
L’Afrique est déjà transformée en une décharge pour des médicaments inefficaces, dangereux, expirés dont la plupart ont été interdits pour des raisons de sécurité, en Europe et aux Usa par exemple. Parce qu’elle traîne un système médical dépendant de l’offre étrangère, l’Afrique couve une absence totale de souveraineté pharmaceutique et prête le flanc à l’offensive des puissantes multinationales des médicaments et des vaccins dont le char d’assaut contrôle au passage, autorités sanitaires et médias. Mises en demeure, les populations sont dans l’ignorance des échecs et des dangers des campagnes de vaccinations déroulées en Afrique.
Le terrain est présentement propice pour le fantassin vaccinal contre le palu. Dans un pays comme le Malawi, une manœuvre vaccinale contre le palu a eu lieu en 2019 et, en 2022, le Burkina annonce la mise au point d’un vaccin antipalu qui serait efficace à 30%. En mars 2023, le Cap Vert a accueilli une réunion technique de l’Initiative pour l’élimination du paludisme au Sahel. En avril 2023, le Ghana se positionne comme le premier pays au monde à approuver un nouveau vaccin qui serait efficace à 75% contre le palu des enfants de moins de 3 ans que l’Université d’Oxford va concocter.
Le Serum Institute of India (SII) salue l’initiative des autorités ghanéennes et se propose comme candidat pour l’approvisionnement en vaccin vu sa capacité à fabriquer plus de 200 millions de doses par an. En 2022, le SII avait affiché ses intentions de s’implanter en Afrique pour y distiller une large gamme de vaccins dont le DTC tueur et d’autres sérums combinés et nuisibles au système immunitaire des couches vulnérables infantiles. Signalons que le 25 novembre 2021, l’Association du barreau indien (IBA) avait déposé une plainte auprès de la Cour suprême indienne pour «meurtre par vaccination» contre Bill Gates et Adar Poonawalla qui est le directeur général de SII. Quant au mastodonte français Sanofi, il entend désormais se positionner comme un partenaire privilégié et devenir le premier fournisseur de solutions médicales sur le continent.
En matière bioéthique, le pire est à prévoir, suite au largage depuis quelques années dans certains pays africains, de milliers de moustiques mâles stériles génétiquement modifiés dans le but d’observer le comportement des mutants dans les environs. La revue Sciences a classé une telle aventure dans la gamme d’armes biologiques de destruction de l’écosystème en présence. Tenant compte des interférences virales qui vont s’opérer entre moustiques sauvages et moustiques OGM, le taux de mortalité du palu risque de connaître un coup d’accélérateur sans précédent dans l’histoire épidémiologique des pays. Dans ce cas de figure, la réponse automatique est connue d’avance pour dissimuler tout préjudice vaccinal : «Votre maladie n’a rien à voir avec le vaccin contre le palu, un consensus d’experts garantit qu’il est sans danger !»
Le succès factuel du traitement naturel du palu par les plantes
Pour pouvoir continuer son commerce avec la maladie, l’industrie pharmaceutique ne saurait composer avec les thérapies naturelles. Rentabilité psychopathe oblige ! Cependant, les citoyens disposent du droit naturel du refus de livrer leur corps à toute opération médicale imposée et dont les expérimentations rivalisent en scandales délibérés par les tribunaux. La reconnaissance de l’efficacité de remèdes naturels se fonde sur de nouvelles données qui établissent sur des bases factuelles, la communication avec le milieu scientifique.
En 2007, sur la base d’études cliniques, Pr Valentin Agon du Bénin a mis au point, «Api Palu», un traitement à base de palmier à huile et autorisé dans 5 pays africains. C’est un concentré d’extraits antipaludique efficace à 97% sur les plasmodiums falciparum, vivax, ovale.
En 2015, la pharmacienne Youyou Tu se voit décerner le Prix Nobel de médecine pour ses travaux sur l’Artémisia annua, une plante particulièrement efficace contre le palu et utilisée en médecine traditionnelle chinoise depuis des millénaires.
En 2018, Dr Jérôme Munyangi publie les résultats d’un essai contrôlé randomisé sur 1000 patients porteurs du falsiparum et répartis en 02 cohortes. La parasitologie révèle que chez les patients sous tisane Artémisia annua, la charge parasitaire disparaît avec une efficacité de 97%. Par contre, chez les patients sous ACT, des parasites subsistent dans leur sang malgré une efficacité de 80%.
Contourner la barrière pharmaceutique dressée contre le traitement du palu par les plantes
Malgré les succès factuels du traitement du palu par les plantes, l’establishment médical déconseille voire interdit cette thérapie naturelle qui hypothèque la nécessité et la pertinence de toute approche vaccinale. Cette opposition est une mesure qui en dit long sur les visées voulant faire de la malaria, un business.
C’est pourquoi, dans la vision de son destin, l’Afrique a besoin des insoumis de la recherche qui s’engagent sur des bases scientifiques, à promouvoir les solutions locales qui existent avec les plantes que l’on peut de surcroît cultiver localement.
La baguette magique du vaccin ne peut plus être de saison après tout le préjudice causé à un continent pénalisé par sa dépendance pharmaceutique chronique. Qui plus est, au regard de la dissimulation frauduleuse pour le long terme, des effets secondaires des vaccins, rien ne vaut de jouer à une roulette dont les dés sont pipés d’avance par une culture industrielle dont la rentabilité est de maintenir les gens malades au lieu de les guérir. Les scientifiques au service de la santé humaine nous invitent à comprendre que «la vaccination condamne des personnes, pas aujourd’hui, pas demain, mais des mois voire des années plus tard».
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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