Par WD
On sait par la pratique qu’un élément pathogène français s’appelle un gauchiste. Il ne parle pas , il vomit. Dans les événements actuels où la France brûle, où les dégâts sont innombrables et le coût exorbitant, les gauchistes continuent leur travail de sape sociétale. Ils veulent reformuler la loi du 28 février 2017, loi appelée Cazeneuve promulguée au lendemain de l’agression aux cocktails Molotov de 4 policiers à Viry-Châtillon (Essonne) où ils ont failli être brûlés.
La majorité de la gauche veut donc en finir avec cette loi car elle la juge «Un permis de tuer ». Cette loi délivre certaines règles d’usage de l’arme de service des policiers. Depuis des mois les agressions tant sur les personnes que sur les biens explosent partout. Les chances pour la France violent, égorgent, terrorise les rues. L’incivilité rode de jour comme de nuit. Le climat d’insécurité n’est pas virtuelle, elle n’est pas le fruit de l’imagination d’une droite réactionnaire, elle bien réelle, trop palpable pour être encore invisibilisée par la presse gauchiste.
Les gens ne sont plus dupes des machinations et des démagogies gauchistes. Une preuve qui vaut un référendum, la création d’une cagnotte par Jean Messiha pour soutenir le policier « coupable » d’avoir abattu le gentil petit délinquant multirécidiviste. À cette heure (4/07/23), elle s’élève à plus d’1,4 millions d’euros. La cagnotte concurrente, celle qui soutient ce mineur délictueux capitalise 193.896 euros. Nous regrettons qu’il n’y ai pas de cagnotte pour les commerçants victimes des pillards. Certains disent que ces émeutes fleurent bon la guerre civile. Une partie des émeutiers veulent en découdre avec la France. Ils brûlent et saccagent tous les symboles de la république, du bien mobilier à celui de l’immobilier, et se permettent même de violenter des élus. L’autre grosse partie de cette faune, se contente de profiter de la situation pour piller les magasins. Leur action n’est pas sociétale, elle est celle du parasite opportuniste.
Le seul discours objectif, bien que martial, que nous avons entendu ces jours-ci est celui de Tatiana Ventôse. Avec un tel prénom, on dirait une incursion russe dans le débat, ce qui n’est pas de bon aloi dans l’air du temps bien frelaté. Elle ne fait qu’exprimer le sentiment général. En Iran, tous les agitateurs Sorosiens sont pendus. Pas moins de 354 instigateurs « révolutionnaires » se sont fait étirer le cou cette année. La méthode est certes barbare, mais elle est radicale. L’Iran ne se gratte pas pour éliminer ses parasites et autres ferments infectieux.
Sans parler de ces émeutes actuelles où les dégâts sont considérables, (et dans un contexte de marasme économique absolu la facture va faire très mal, le MEDEF parle de plus d’1 milliards), nous ne pouvons que déplorer le climat dangereux ambiant. L’indolence coupable de l’exécutif nous laisse pantois. 40 ans de socialisme délivrent ce laxisme, cette complaisance coupable, cette déconstruction sociétale. Malgré le bilan catastrophique de leur idéologie, les gauchistes persistent dans leur délire. Pour leur pensée agrégeant la gadoue et la leptospirose, c’est toujours les forces de l’ordre les coupables. C’est elles qui perturbent le trafic de drogue bon-enfant, la violence amicale dans les rues, les viols collectifs trop proches d’une orgie pour être condamnable. Les gauchistes ont un très sérieux problème conatif. Il faut impérativement les soigner.
La gauche délétère n’est pas que dans les mairies ou à l’Assemblée nationale, elle est dans la magistrature et les Think tankfrançais. Elle inverse les valeurs où la victime devient le coupable. Elle est le fer de lance de l’invasion programmée, cette « chance pour la France ». La violence quotidienne qui sévit partout dans les rues n’est pour elle qu’un exutoire pour combattre l’extrême droite. Elle est dans le déni complet de la réalité. Elle est même la complice d’intérêts supérieurs qui la dépassent totalement.
N’oublions pas que la gauche anti-fasciste soutient l’Ukraine, dernier pays nazis officiel. C’est dire la pauvreté intellectuelle qui réside dans son raisonnement. Le tambour fait aussi bien.
Source : WD
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