Or déréguler c’est plus de règles ? Sauf pour les « autres » sur lesquels s’amoncellent toujours plus de contraintes. Pour eux-mêmes, malades de la sciences infuse, la dérègle dérègle tout. Ils s’en goinfrent de coups d’état tels la banalisation du mal. Le but reste de rendre anodins tous les prurits de leurs caprices arbitraires. C’est-à-dire non nécessaires ! Le chaos ne vient que d’en haut.
Ce chaos construit, inventé dans les grands détails. Ce pourquoi nous en percevons les trop grosses ficelles. Dans ce texte, des documents de toutes sources vont permettre de se forger sa propre conscience claire et distincte. Claire et distincte, oui, ce qui semble trop souvent négligé. Plus maintenant. Le cœur est lourd, trop de violences viennent de l’illégitimité des pouvoirs
1 — Plus jamais de partis politiques, des élections directes.
Simone Weil, comme sociologue de la « Note sur la suppression des partis politiques », a bien plaidé les avantages inouïs de voter directement. Sans plus de filtres douteux. Sans intermédiaires bouffis de conflits d’intérêts. De quoi sortir une bonne fois pour toutes des sales habitudes. Au point où les banlieues, toujours très oubliées, auraient enfin leurs propres représentants. En tout direct. La société transfigurée à jamais.
2 — Les causes flagrantes d’une situation explosive ?
Une ambiance antisociale se fabrique peu à peu. Lorsque vous ressentez toujours plus d’impunité, vous vous installez dans cette impunité. Vous n’êtes pas les auteurs de cette intouchabilité, vous la vivez au quotidien. Le mal se banalise, vous vous y êtes habitués. Autant dire que les causes ne sont pas vues. C’est ce qui s’est passé dans la police dire nationale, donc de service public, payée ave es impôts communs, donc pas privatisée comme une…milice appartenant à une « faction factieuse ». A force d’être déshabituée de Respecter Tout le monde, ou encore à se savoir « au service » de toute la population. Que cette police doit protéger et non agresser. Les inhibitions qui… empêchent les passages désinhibés à l’acte assassin aveuglent sur la gradation responsable des réactions : enfin on ne tire pas directement « pour tuer » pour un minuscule refus d’obtempérer. Et l’on ne considère pas tout le monde « comme des délinquants » s’ils ne sont pas d’accord avec les gouvernements.
Trop d’impunités, non fondées, rendent Irresponsable. Donc dangereux.
Les causes majeures des drames qui surgissent dans la routine irréfléchie de mal se comporter oui ces causes déclenchantes viennent directement des politiques mises en œuvres. Politiques qui désapprennent à la police nationale à respecter automatiquement les populations comme citoyens libres et « respectables ».
3 — Obtempérer et à quoi, sinon aux valeurs de la République ?
Et s’il n’y avait que des gouvernements « privatisés » (appartenant à une caste privée illégale) qui ne veulent que détruire les institutions ? Exact, ces gouvernements ne produisent que des « non valeurs » (soit l’ultra infantilisme de s’enrichir à n’importe quel prix, même celui du sang – ou l’ultra violence qui contient toutes les autres !). La caste illégale – qui « achète » les gouvernements et leurs police-Justice – devient les limpides ennemis des « valeurs de la République ». Celles pour lesquelles il fut demandé (à une autre époque) d’obtempérer. Entendez bien d’ ob-tempérer, soi semer la modération de la paix, comme les ex-gardiens de la paix. Donc 100 jours d’apaisement sans apaisements ? Sinon « au nom de quoi » la police non nationale peut-elle exiger d’obtempérer. Pas de la réPublique en tout cas ! Pire encore ? Si les politiques abandonnent tous les pouvoirs illimités et sans raisons à la police nationale, vers quelles dérives nous dirigeons-nous ? Un avant-goût réside bien dans l’IGPN ? Qui toujours absout les méfaits des forces dites de l’ordre. Les éborgnés, par des armes de guerre, des Gilets Jaunes nous ont assez prouvé cette immunité, surtout pas « républicaine », des FDO.
4—)- Ces manies maniaques de toujours « forcer » les citoyens ?
Tout vient de là. Ne permettre que la force comme seul fonctionnement de la société. Aux citoyens légaux, forcer leurs non consentements et hurler que ce sont des consentements. Verrouiller à l’avance toutes les décisions et oser qu’il faille les respecter ces décisions comme « ayant force de lois ». Justement elles ne sont pas de « vraies » lois : vraies lois toutes « votées » par le Parlement : c’est écrit dans la…loi. Respects, donc, dus aux lois votées naturellement et aux « processus démocratiques » par les gouvernements. A la place, sabotages des corps intermédiaires : ce qui met, de manière aussi irresponsable, les politiques directement en face des foules. D’où les inévitables violences policières. Violences policières qui sont reconnues par le monde entier : impossibilité donc d’encore le nier.
Cet usage nu et si imprévoyant (on fonce sans réfléchir) crée l’unique poudrière de l’hyper violence « ruisselant » par le haut. Hyper violences donc à la place des respects donc dus aux lois votées normalement et aux « processus démocratiques » par les gouvernements. La source principale des violences explosives est là et pas ailleurs.
Il ne peut être mis sur le dos des populations ce qu’elles subissent en premières lignes. Quitter l’hyper autoritarisme et ses monologues insensés devient ce qu’il faut faire.
Pourquoi ? C’est le dysfonctionnement hyper bloqué d’un pouvoir rigide qui ne veut ni voir ni entendre qui « crée » l’escalade permanent de la violence. Irresponsabilités et aventurismes de cette politique du « chaos par les violences » (si connue de néolibéraux sans loyautés !). C’est la violence interne du macronisme qui provoque tous les problèmes de dérapages incontrôlables.
Résoudre les conflits c’est, avant tout, trouver où est l’amorce. L’iskra. Et la désamorcer.
C’est aller au plus près de l’interrupteur (en l’occurrence auprès des gouvernements). Et l’éteindre fermement. L’interrupteur interrompt bénéfiquement la folie en marche.
Réguler la politique « désaxée » devient l’acte d’urgence absolue !
Source: Lire l'article complet de Le Grand Soir