Le commentaire le dit : Marseille est devenue l’épicentre de la contestation en France. Contestation de la France, oui !
Ira-t-on un jour sur Mars ?
La ville de Marseille a beaucoup d’atouts : la porte de la Méditerranée, sa situation géographique entre deux continents, son équipe de foot qui a gagné une coupe d’Europe il y a 300 000 ans, son accent pagnolesque, son groupe de rap maison, son immigration algérienne pour aller se faire soigner à l’œil à la Timone, et ses racailles qui mettent de l’ambiance.
Sandrine Rousseau, la brillante sociologue d’EELV, une femme d’une intelligence remarquable qui suscite la jalousie de nombreux confrères patriarcatistes, nous a pourtant bien expliqué que le pillage avait à voir avec la pauvreté : si tu es pauvre, tu as le droit de piller.
On ne sait pas si on a le droit de violer quand on est pauvre en amour, mais dans la logique sandriniste, on suppose que oui. Cela fera l’objet d’un autre article.
Cependant, cette approche ultramoderniste n’a pas été saisie par le maire divers droite de Franconville, probablement rétrograde.
Une ville utile et agréable
On sent que le cumul des émeutes, de la pleine lune et des ingénieries foireuses du pouvoir ont fait légèrement basculer le débat politique. Marseille, cette ville-laboratoire de l’immigration de masse en France, avec son tiers d’étrangers plus ou moins récents, ou ses deux-tiers de Français plus ou moins récents, nous montre donc, avec 10 ans d’avance, ce que peut devenir la France. En cela, elle est utile.
Les Français savent désormais à quelle sauce ils vont être mangés : à l’harissaïoli !
Les pouvoirs publics ont dû déployer le RAID, comme dans une opération antiterroriste, pour venir à bout des émeutiers, ou plutôt des pillards. Émeutier, ça fait politique ; pillard, ça fait droit commun. Au total, 500 commerces ont été vandalisés. Les coquins se sont vantés de leurs « achats » sur les réseaux sociaux. Quel toupet !
On comprend alors pourquoi beaucoup de Français regardent vers l’étranger (celui qui est à l’étranger, pas l’étranger sur le sol français, hein), même si ça signifie abandonner notre beau pays à la barbarie. Dans quel état va-t-on le retrouver dans 7 ans, à l’horizon 2030, celui de l’agenda mondialiste du Forum économique mondial ?
Quant à l’horizon 2050, on n’en parle même pas : il fera 50 degrés à l’ombre et Paris sera Tombouctou. Ce qui est raccord, quelque part.
Même si l’animateur n’évoque la fuite des conflits qu’en 5e position des raisons de quitter la France, on peut y ajouter les conflits intérieurs, dont celui provoqué par le choc migratoire. Et la tyrannie woke, cette folie sociétale qui pousse à s’éloigner de la connosphère. La question des clivages (sanitaires, sexuels) et la guerre de tous contre tous est abordée à partir de la douzième minute.
On a une pensée pour les habitants de Marseille qui voient leur ville magnifique sombrer dans la… Méditerranée. C’est peut-être un effet de la montée des eaux due au réchauffement climatique, comme nous le serinent les sachants.
On finira sur une note positive et optimiste, grâce à Libé, qui nous explique que la nuit du 2 au 3 juillet a été calme (juste parce qu’il n’y a plus rien à voler). La preuve : la photo montre que tout va bien.
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation